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Municipales 2020. À Sérifontaine, Jean-Claude Carbonnier conduira la liste « Redynamisons notre ville »

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Jean-Claude Carbonnier, tête de liste à Sérifontaine (ici devant et 4e en partant de la gauche).

Jean-Claude Carbonnier, tête de liste à Sérifontaine (ici devant et 4e en partant de la gauche). (©L’Eclaireur-La Dépêche)

Né au hameau du Bourguerelle à Sérifontaine, Jean-Claude Carbonnier a travaillé en tant que comptable 3 ans à Tréfimétaux, puis est entré dans la gendarmerie où il est resté 25 ans. Ensuite il devient cadre dans un grand magasin pendant 15 ans. Il est formateur de réservistes.

La vie de sa commune l’intéresse et il devient premier adjoint. Aujourd’hui, il a décidé de briguer la mairie. Le candidat explique :

Nous sommes un groupe de 23 personnes, groupe formé il y a un an et composé d’un noyau de 6 élus sortants, ayant démontré au cours du mandat précédent leur disponibilité et leur savoir-faire.

Lire aussi : Sérifontaine. La tension monte d’un cran entre le maire et son premier adjoint

« Mettre en avant les compétences »

Le reste de l’équipe comprend 7 retraités et 10 actifs, plusieurs de ces membres s’investissent déjà pleinement au sein de certaines associations.

Les critères retenus pour intégrer le groupe ont été la compétence, la disponibilité, et l’esprit d’équipe.

Jean-Claude Carbonnier ajoute :

La diversité est enrichissante. Nous préférons mettre en avant les compétences et les expériences de chacun au lieu de proposer des programmes complaisants qui seront difficilement applicables, et ce pour différentes raisons.

Une équipe prête à fonctionner

Chaque adjoint au nombre de 5, sera secondé afin d’accomplir au mieux les tâches, de 2 ou 3 conseillers qui se trouveront ainsi impliqués dans la vie active d’un conseil municipal. Le rôle de chacun est déjà défini et l’équipe est prête à fonctionner.

Depuis un an, un travail de fourmi a été réalisé. Chaque jour, l’équipe recueille les opinions de chaque rencontre faite dans la rue, chez les commerçants ou au cours des activités professionnelles, sportives ou culturelles.

Pas besoin de questionnaire pour connaître les besoins et revendications des habitants de Sérifontaine. Ils sont connus et en perpétuelles évolutions.

Lire aussi : Municipales 2020. À Sérifontaine, Patrick Thibaut officialise sa candidature dans la foulée de ses voeux

« Ce type d’événements est stérile »

Le groupe ne mettra pas en place de séance publique.  Jean-Claude Carbonnier explique poursuoi :

« Par expérience, nous savons que ce type d’événements est stérile. Sur 1 900 électeurs, combien seront présents ? L’auditoire sera composé essentiellement de membres et sympathisants des listes concurrentes et nous assisterons à des joutes oratoires peu constructives.

Le candidat communiquera d’ailleurs le plan de marche de l’équipe dans les semaines à venir.

Les 23 co-listiers
1 – Jean-Claude Carbonnier, 2 – Laure Deneubourg, 3 – Patrick Hautemer, 4 – Fabienne Tassin, 5 – Cyrille Ladent, 6 – Béatrice Foubert, 7 – Jacques Giraud, 8 – Marion Quillet, 9 – Alain Charlot, 10 – Nelly Danse, 11 – Erik Valadaud, 12 – Catherine Larivière, 13 – Alexandre Desseaux, 14 – Edwige Ballester, 15 – Pierre-Charles Thibaut, 16 – Sarah Hartman, 17 – Mathias Dosso, 18 – Sylvvie Boiteau, 19 – Michel Gricourt, 20 – Stéphanie Neau, 21 – Didier Courbet, 22 – Héléna Morin, 23 – Jean-Raymond Fernande.

Lire aussi : Municipales 2020. À Sérifontaine, le Collectif Citoyen a présenté son programme


Encore des vols à l'arraché dans des petites communes du Pas-de-Calais

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Deux femmes ont été victimes de vols à l'arraché dans le Pas-de-Calais, mardi 21 janvier 2020.

Deux femmes ont été victimes de vols à l’arraché dans le Pas-de-Calais, mardi 21 janvier 2020. (©Skeeze/Pixabay/Illustration)

Encore des femmes victimes de vols à l’arraché dans le Pas-de-Calais. Alors que, récemment, la gendarmerie notait une recrudescence de ces vols dans de petites communes, deux femmes en ont été victimes mardi 21 janvier 2020.

Deux vols à l’arraché dans le Pas-de-Calais

En fin de matinée, à Isbergues, une femme âgée s’est fait dérober son sac par deux individus dans la rue, la faisant chuter au sol. Dans le même laps de temps, dans la commune d’Étaples, une autre femme s’est fait dérober son portefeuille sur le marché. À chaque fois, les malfaiteurs sont parvenus à prendre la fuite.

Lire aussi : Dans le Nord, une retraitée se fait arracher son sac à main et est retrouvée inconsciente dans la rue

Dans le Pas-de-Calais, en janvier, ce type de vols, parfois violents, se sont multipliés, particulièrement dans des petites communes. Phénomène inquiétant et surprenant sur lequel les gendarmes restent vigilants.

Interview : Christian Rizzo, la danse en actions

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"C’était la fin des années 80, le monde de la nuit s’ouvrait à moi, pour devenir ce que je considère encore aujourd’hui comme l’une des scènes expérimentales les plus importantes. J’ai pu être le témoin d’une créativité absolument incroyable"

(©Mario Sinistaj)

Chorégraphe, plasticien, scénographe et metteur en scène d’opéras, Christian Rizzo est avant tout un artiste entier, qui incarne véritablement l’âme de ses créations et projets. Directeur du Centre chorégraphique national Montpellier Occitanie depuis 2015 (qu’il a dénommé ICI—CCN), il s’applique à ancrer cette institution sur son territoire, et à contribuer à leur rayonnement tant national qu’international.

Dans son travail, les arts se croisent avec poésie pour offrir une judicieuse et paradoxale alliance entre l’abstraction et la fiction. Processus créatif, vision et ambition, inspiration, Christian Rizzo se livre à nous et ouvre en grand les portes de son univers.

Métropolitain : Vous avez fait vos débuts à Toulouse en montant un groupe de rock, en créant une marque de vêtements et en passant par les arts plastiques à la villa Arson, à Nice. Comment êtes-vous arrivé au monde de la danse ?

Christian Rizzo : Les comédies musicales ayant bercé mon enfance, la danse a toujours été une pratique désirée. En tant que garçon, issu d’un milieu défavorisé, ce désir n’a pu être entendu. Passionné par la culture rock, j’ai beaucoup observé la présence scénique cathartique de ces artistes. Leurs mouvements, leur énergie étaient une émanation de ce que la danse pouvait représenter. Les arts plastiques se sont invités à un moment où je ne savais pas encore précisément quelle pratique artistique je souhaitais développer.

C’était la fin des années 80, le monde de la nuit s’ouvrait à moi, pour devenir ce que je considère encore aujourd’hui comme l’une des scènes expérimentales les plus importantes.

J’ai pu être le témoin d’une créativité absolument incroyable. Quant à la danse, elle a fini par s’immiscer, fortuitement. Accompagnant un ami à une audition, j’ai été sélectionné. Cela m’a permis de rencontrer un jeune chorégraphe (William Petit) qui préparait le concours chorégraphique international de Bagnolet. Il m’a engagé, et tout a commencé ! J’ai pu très vite être repéré par de nombreux chorégraphes français et internationaux avec lesquels j’ai par la suite collaboré.

Ma démarche tente de concilier – sans les opposer – l’abstraction et la fiction, "Ma démarche tente de concilier – sans les opposer – l’abstraction et la fiction, en les plaçant sur un même plan"

« C’était la fin des années 80, le monde de la nuit s’ouvrait à moi, pour devenir ce que je considère encore aujourd’hui comme l’une des scènes expérimentales les plus importantes. J’ai pu être le témoin d’une créativité absolument incroyable » (©Mario Sinistaj)  » (©Mario Sinistaj)

Métropolitain : En regardant votre travail, on ressent l’influence qu’ont pu avoir ces trois pratiques artistiques dans vos créations. Comment laissez-vous de la place à chacun ?

Christian Rizzo : Ce sont des pratiques qui sont importantes et dont j’ai pu faire l’expérience. L’acte créatif permet de plonger en soi. La mode, les arts plastiques et le rock sont en moi, de manière intrinsèque. Ils constituent mon ADN et nourrissent chacun de mes projets de création, sans avoir besoin de les convoquer ou de leur assigner une place particulière. Leur place est évidente. Plus particulièrement, la mode m’a permis de collaborer avec Christian Lacroix et la Maison Hermès. Elle continue de m’influencer fortement. Certains créateurs, certains défilés ont une grande importance, car ils ont – selon moi – largement contribué à traduire une pensée réflexive sur les représentations du corps.

Pour définir mes créations, on a beaucoup parlé d’une « danse plasticienne ». Cette définition me surprend car il s’agit moins de décrire une œuvre chorégraphique qui inviterait les arts plastiques, que de conduire les arts plastiques à entretenir une relation avec la danse. Aujourd’hui, les savoir-faire artisanaux me passionnent notamment en ce qu’ils constituent des pratiques qui articulent gestes, rigueur, poésie et matériaux. Je me sens proche de ces pratiques artisanales : je suis un artiste qui travaille à partir de matériaux, je fabrique, y compris la danse.

"La politique tarifaire est volontairement accessible, et de nombreux
événements sont gratuits, alors n’hésitez pas, et osez sauter le pas !"

« L’acte créatif permet de plonger en soi » (©Mario Sinistaj)

Métropolitain : Justement, comment qualifieriez-vous votre démarche créative ?

Christian Rizzo : Ma démarche tente de concilier – sans les opposer – l’abstraction et la fiction, en les plaçant sur un même plan. L’une comme l’autre sont les deux faces d’une même pièce. Dans mon travail, il est toujours question de paradoxe, pour tenter la cohabitation de sujets qui pourraient être considérés comme antagonistes : le réel et l’imaginaire, la fiction et l’abstraction, la virtuosité et le quotidien…

Je procède ainsi, à la croisée du social et du romantisme, conduit par mon besoin de rencontrer l’autre. Mes créations ne cessent d’enquêter sur les rapports entretenus entre la communauté et la singularité de chacun. La communauté pour moi, reviendrait à une formule : « 1+1+1+… ». Autrement dit, la formule du respect de l’unité qui la compose. J’essaie de comprendre et de faire comprendre, par le biais de l’art chorégraphique, des notions que l’on ne comprend plus parce qu’on a le nez rivé dessus. Je tente ainsi de proposer du temps pour le recul et la perspective, afin de nous permettre de réinterpréter le monde, et tenter ainsi de le ré-enchanter en lui souhaitant un avenir. Il en va ainsi de mon projet pour le CCN Montpellier Occitanie.

"Mon projet pour le CCN se traduit en actes concrets afin de l’inscrire de manière visible sur son territoire d’implantation que j’aime tout particulièrement"

« Mes créations ne cessent d’enquêter sur les rapports entretenus entre la communauté et la singularité de chacun » (©Mario Sinistaj)

Métropolitain : Vous avez pris, en 2015, la direction du Centre chorégraphique national Montpellier-Occitanie. Quel rapport entretient votre projet avec le territoire ?

Christian Rizzo : Je suis très heureux d’avoir obtenu la confiance des partenaires du CCN pour assurer la direction de cette institution phare du domaine chorégraphique, tout en lui donnant une nouvelle direction, une nouvelle vision dynamique et de nouveaux objectifs prenant appui sur son histoire. Mon projet pour le CCN se traduit en actes concrets afin de l’inscrire de manière visible sur son territoire d’implantation que j’aime tout particulièrement. Au regard des moyens dont il dispose, c’est un projet qui soutient et accompagne les artistes de manière responsable. Ce projet doit nous conduire à être fiers de l’existence de ce CCN, à considérer qu’il n’est pas une institution hors-sol, déconnectée de son territoire, de ses besoins et préoccupations.

C’est un projet de terrain, cultivant le désir d’itinérance et de partenariats, d’ouverture aux publics les plus larges. Le CCN est une plateforme de maillage très forte, entretenant une rencontre constante entre artistes, publics, intervenants pédagogiques et chercheurs.

Montpellier et l’Occitanie sont des territoires où la danse s’est considérablement développée et structurée. Aujourd’hui, d’autres territoires interviennent en soutien renforcé à la création chorégraphique contemporaine, à la recherche et à l’expérimentation. La concurrence est acharnée, et mon projet pour le CCN permet à Montpellier et à la région Occitanie de continuer à compter parmi les territoires qui promeuvent de manière exemplaire la danse contemporaine dans sa traduction la plus large.

"Tout en cultivant un goût de la discrétion, je souhaite mettre ma notoriété au service du CCN et de ses partenaires"

« La concurrence est acharnée, et mon projet pour le CCN permet à Montpellier et à la région Occitanie de continuer à compter parmi les territoires qui promeuvent de manière exemplaire la danse contemporaine dans sa traduction la plus large. » (©Mario Sinistaj)

Métropolitain : Et ailleurs ? Le Centre chorégraphique ayant une notoriété et une dimension nationales et internationales

Christian Rizzo : J’ai la chance de faire partie des quelques chorégraphes français dont les créations connaissent un rayonnement national et international particulièrement fort en termes professionnel, médiatique et public. Tout en cultivant un goût de la discrétion, je souhaite mettre ma notoriété au service du CCN et de ses partenaires. Mes créations sont présentées et soutenues par une diversité de théâtres, festivals et musées : des plus emblématiques aux plus émergents. Il est pour moi très important d’être présent à tous les niveaux, avec engagement et humilité. Depuis 2015, le CCN est présent en Asie, en Amérique du Nord, en Amérique du Sud, en Afrique, ainsi que dans toute l’Europe. Ainsi, nous avons réussi à rayonner (et faire rayonner nos partenaires publics) dans plus de 40 pays.

En terme de coopérations internationales nous entretenons des relations avec de nombreux opérateurs culturels. A titre d’exemple, nous avons signé une convention triennale avec l’un des plus importants théâtres à l’échelle internationale, situé à Hong-Kong, que j’ai inauguré avec l’une de mes créations. Le Ministère de la culture de Taïwan m’a récemment remis le prix de la culture au titre des coopérations nouées avec les artistes et équipements de ce pays. C’est la première fois que ce prix a été remis à un artiste.

Les prestigieux festivals DecemberDance (Belgique) et le Taiwan International Festival of Arts ont fait appel à moi et au CCN pour assurer la programmation de leurs événements. Ainsi, les grands équipements culturels internationaux sont très attentifs à ce que produit mon projet pour le CCN. Tout ce que nous entreprenons à l’échelle locale a une résonnance à l’échelle internationale, et réciproquement. Avec l’équipe du CCN, nous agissons pour soutenir la création chorégraphique contemporaine, la recherche et l’expérimentation en art, les faire rayonner, et les valoriser pour en faire des leviers durablement structurants.

« J’ai la chance de faire partie des quelques chorégraphes français dont les créations connaissent un rayonnement national et international particulièrement fort en termes professionnel, médiatique et public » (©Mario Sinistaj)

Métropolitain : Quels sont vos objectifs pour le Centre chorégraphique ?

Christian Rizzo : Le CCN Montpellier Occitanie est le seul équipement culturel français et européen à intervenir en structuration de l’ensemble de la filière professionnelle en danse contemporaine. C’est un atout considérable dont il faut avoir conscience ! L’objectif premier est de développer et faciliter les rapports qu’entretient l’art contemporain, et particulièrement l’art chorégraphique, avec chacun(e).

Malgré les idées reçues, la danse contemporaine n’est pas exclusive : elle n’est réservée ni à une élite, ni à un public averti. Nous portons avec conviction l’idée selon laquelle il est possible de trouver un espace d’émancipation grâce à la création contemporaine et aux pratiques artistiques.

Cela a été mon cas ! J’ai eu cette chance. C’est désormais à mon tour d’être porteur de ce que j’ai reçu. Depuis 2015, les publics et les partenariats ne cessent de se développer. La reconnaissance du CCN est solidement et durablement établie. Par ailleurs, par le biais du Master Exerce en chorégraphie (le seul master de ce type en France) que nous organisons avec l’Université Paul Valery, nous accueillons des artistes du monde entier qui s’établissent pendant deux ans à Montpellier, et collaborent ainsi avec des artistes et partenaires du territoire. Le projet du Master contribue également à l’inscription de nouveaux artistes chorégraphiques, dès lors que certains d’entre eux choisissent d’implanter leur compagnie à Montpellier ou en Région.

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« C’est désormais à mon tour d’être porteur de ce que j’ai reçu » (©Mario Sinistaj)

Métropolitain : Les acteurs culturels sont souvent les premiers à pâtir des choix politiques en termes de budget. Pensez-vous que le Centre chorégraphique soit soutenu à sa juste valeur ?

Christian Rizzo : Nous avons la chance de travailler main dans la main avec nos partenaires. Cela étant, je crois que la puissance de ce nouveau projet pour le CCN n’est pas encore tout à fait perçue dans son étendue. En termes de financement, le CCN étant une structure labellisée par l’État, ce dernier est notre principal financeur, suivi par la Région Occitanie. La Métropole de Montpellier co-finance également le projet, et nous permet de bénéficier d’une mise à disposition de nos locaux situés au sein de l’Agora.

La situation financière dont j’ai hérité à mon arrivée ne permet pas au CCN d’être aussi puissant que son projet. C’est un paradoxe. Concrètement, même si les ressources financières liées à la diffusion de mes créations contribuent de manière extrêmement importante à la mise en œuvre du projet, le financement du fonctionnement du CCN requiert une intervention de ses partenaires pour lui permettre d’être renforcé. Le CCN jouit d’une expertise inestimable incarnée par son équipe. Le principal enjeu à venir est de convaincre nos partenaires publics que le projet du CCN agit comme un levier vertueux en faveur des politiques publiques de la culture, tout comme il l’est en termes d’intégration sociale, d’émancipation, et d’attractivité de son territoire.

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« Le principal enjeu à venir est de convaincre nos partenaires publics que le projet du CCN agit comme un levier vertueux en faveur des politiques publiques de la culture, tout comme il l’est en termes d’intégration sociale, d’émancipation, et d’attractivité de son territoire » (©Mario Sinistaj)

Métropolitain : Pouvez-vous nous parler brièvement de la programmation à venir ?

Christian Rizzo : Deux expositions seront organisées dans l’espace du Centre chorégraphique dédié aux arts visuels (La chambre d’écho) : l’une consacrée à l’artiste Félicia Atkinson qui s’intéresse notamment aux questions d’improvisation, d’indisciplinarité et d’abstraction, l’autre consacrée à l’artiste montpelliérain Geoffrey Badel, qui donnera une forme plastique à une enquête réalisée avec de (vraies) chasseuses de fantômes dans les espaces du CCN ! Dans le cadre du programme baptisé « Par/ICI: » (articulant spectacle et laboratoire de recherche), les publics pourront également découvrir pour la première fois à Montpellier les très forts travaux de la chorégraphe suisse Yasmine Hugonnet, et du duo catalan nyamnyam. En février, mai et juin aura lieu la présentation publique des travaux des jeunes artistes étudiant au sein du Master Exerce. Des rencontres publiques seront aussi organisées avec les chorégraphes Michèle Murray (Montpellier) et Catarina Miranda (Portugal) invitées en résidence.

Métropolitain : Un dernier mot pour celles et ceux qui n’ont pas encore poussé les portes du CCN ?

Christian Rizzo : Le CCN est un espace public dédié à la danse, un lieu culturel convivial et ouvert à tous les publics désireux de découvrir ou d’approfondir l’étendue de la danse et du chorégraphique. De nombreux rendez-vous y sont organisés toute l’année pour leur permettre de rencontrer des œuvres, des artistes et leurs processus de créations. C’est également un lieu de pratiques de la danse ouvert aux amateurs comme aux danseurs professionnels. La politique tarifaire est volontairement accessible, et de nombreux événements sont gratuits, alors n’hésitez pas, et osez sauter le pas ! Ensemble, nous sommes ICI.

Pour plus d’informations et pour retrouver la programmation complète du centre, rendez-vous sur son site internet

Dans cette école près de Nantes, élèves et enseignants travaillent... en chaussons

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Depuis la rentrée, les 69 élèves et les enseignants de l'école privée de Remouillé portent des chaussons en classe.

Depuis la rentrée, les 69 élèves et les enseignants de l’école privée de Remouillé portent des chaussons en classe. (©L’Hebdo de Sèvre et Maine)

Chaque matin, depuis la rentrée de septembre, les 69 élèves de l’école privée Saint-Pierre de Remouillé (près de Nantes, en Loire-Atlantique), de la petite section au CM2, enlèvent leurs chaussures et les rangent dans un meuble prévu à cet effet, avant d’entrer en classe. Comme les quatre enseignantes titulaires, ils mettent leurs chaussons.

« C’est plus confortable », glisse la petite Jade, élève en CM. « On préfère être en chaussons », enchaîne son camarade de classe, Elouan. Tous adhèrent (ou adorent, c’est selon) à cette nouvelle règle. Même les institutrices. « C’est comme à la maison », sourit Laëtitia Jaunâtre, en charge des PS et CP.

Lire aussi : Pieds nus, chaussons, chaussettes… C’est important aussi de bien se chausser chez soi

Dispositif « Bouge ta classe » depuis la rentrée

Pourquoi travaillent-ils en pantoufles ? Cela fait partie du dispositif « Bouge ta classe », une méthode qui permet aux élèves de pouvoir suivre les cours assis, debout, à genoux ou même allongé. Bref, d’être plus libre de ses mouvements et d’avoir une posture qui lui sied le mieux.

La directrice Marine Besse explique : 

On est parti sur ce postulat qu’un enfant de 10 ans ne peut pas rester assis toute la journée. Les adultes aussi d’ailleurs. Comme on avait un groupe d’élèves qui bougeaient beaucoup et qu’on ne savait pas comment les canaliser, une collègue nous a parlé de ce dispositif »

Immersion dans une école près de Paris en avril 2019

Le corps enseignant part alors en immersion dans une école « Bouge ta classe » de la région parisienne, pendant les vacances de Pâques 2019. Il ressort de la journée convaincu. Là-bas, ça travaille par petits groupes, dans des espaces dédiés, sans être assigné à une place fixe. Et en chaussons !

Au retour, entre mai et juillet, une classe de l’école de Remouillé fait le test. Celle de Céline Minaud en CE1-CE2. Ça fait mouche.

Les enfants avaient hâte de venir à l’école le matin. Ils avaient l’impression que les journées passaient plus vite »

Lire aussi : A Remouillé, l’ancienne maison de la gare a été transformée en gîte

Deux fois moins de tables et de chaises dans chaque classe

Dans chacune des quatre classes désormais, il y a deux fois moins de tables que lors de la précédente année scolaire. Donc deux fois moins de chaises, ce qui libère plus d’espace. Finis les tables en rangs d’oignon, les élèves sagement assis tout au long de la journée. Les tables et chaises sont en forme de U.

Dans cette classe de CM ce jeudi de janvier, une élève est sur une table isolée, casque sur les oreilles pour mieux se concentrer sur ses exercices. Un groupe de quatre-cinq garçons est assis sur des chaises de maternelle, autour d’une table basse.

Une autre se dandine sur un gros ballon, son cahier posé sur la table. Face à elle, une camarade est assise sur un tabouret oscillant. Non loin d’elles, deux garçons sont allongés sur des tapis, crayon à la main en train de faire leurs devoirs.

En résumé, chacun s’installe où il veut et peut changer de position au bout de 5 minutes s’il le désire. « C’est mieux qu’avant, estime Jade. Quand on est assis trop longtemps, ça fait mal. Moi, j’aime bien être en table individuelle, avec le casque ». Elouan, lui, préfère s’asseoir sur le gros ballon. Téofann aussi.

Des classes plus « silencieuses »

Cinq moins après la mise en place de « Bouge ta classe », les enseignantes sont bien dans leurs baskets. Les enfants également. Il n’y a que du positif. Leurs élèves sont « plus attentifs, plus détendus, plus autonomes ».

Etonnamment, la classe est devenue « plus silencieuse », malgré les changements répétés de place ou de position des élèves. « Il y a plus d’entraide entre eux », remarque aussi Céline Minaud.

« Les enfants s’y sentent bien. On est beaucoup moins sur leur dos, que ce soit au niveau de leur comportement ou de leur posture. On ressent moins de fatigue chez eux », constate la directrice, qui rappelle que le nouveau matériel a été soit récupéré ou acheté avec l’aide de l’Ogec et de l’Apel.

Porte ouverte de l’école ce samedi 25 janvier

Les parents ? Ils en seraient « ravis » et « font de la bonne pub » de cette méthode, qui a eu l’aval de la DDEC de Loire-Atlantique à la rentrée. D’ailleurs, ces mêmes parents sont conviés à venir à l’école lors de la journée porte ouverte le 25 janvier prochain. Pour prévenir, ils ne sont pas obligés de venir en chaussons…

Lire aussi : Argentré-du-Plessis : Erwan Carré, un professeur d’école sur le ring de boxe

Municipales 2020. Marie-Thérèse Scolan se représente à Pont-Melvez

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Marie-Thérèse Scolan se représente à Pont-Melvez.

Marie-Thérèse Scolan se représente à Pont-Melvez. (©L’Echo de l’Argoat / archives)

Marie-Thérèse Scolan, la maire de Pont-Melvez, a annoncé qu’elle briguera un deuxième mandat aux élections municipales de mars 2020.

Lire aussi : Municipales 2020. Claudine Guillou candidate à la mairie de Bourbriac

L’élu a présenté ses vœux aux habitants de la commune. Comme à son habitude, l’élue a attaqué sans préambule avec les dossiers chauds du moment : le Plui et les grands chantiers de la commune.

Le Plui s’oriente vers une sobriété foncière afin de préserver les espaces naturels et agricoles. Pour notre commune, il est prévu une reconquête des logements vacants, au nombre de 14, et la construction de 17 logements neufs.

Concernant l’assainissement collectif : les raccordements des maisons au réseau devraient s’effectuer à partir de mars 2020 et les personnes concernées auront 2 ans pour se raccorder ».

Lire aussi : Municipales 2020. A Coadout, le maire Jean-Pierre Giuntini repart

Espace polyvalent de Christ : le nouveau bâtiment devrait être terminé au 1er trimestre 2020, quant à la rénovation de la salle adjacente, les bénévoles s’y attellent et celle-ci devrait être opérationnelle pour la fête de Christ.

Salle des fêtes de Coat-Guégan : Ce projet consiste à créer un espace de stockage de matériel, des sanitaires ainsi qu’un cheminement PMR (personnes à mobilité réduite). Nous avons obtenu le permis de construire.

Lotissement : vus les aléas climatiques, la 2e phase a pris un peu de retard ; les travaux devraient redémarrer dès que la météo le permettra.

Lire aussi : Municipales 2020. Claude Salomon se représentera en mars à Kérien

Gironde : pendant six ans, il volait les offrandes des fidèles dans les églises de Bordeaux

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Le tronc de l'église de Talence a été cambriolé à plusieurs reprises entre 2013 et 2019.

Le tronc de l’église de Talence a été cambriolé à plusieurs reprises entre 2013 et 2019. (©wikipedia)

De 2013 à 2019, un voleur peu scrupuleux a fait main basse sur les offrandes des fidèles de plusieurs églises de la métropole de Bordeaux (Gironde).

Lire aussi : Huit églises taguées d’insultes à Bordeaux : le diocèse condamne « cette violence contre les chrétiens »

Pendant six ans, ce sexagénaire de Léognan se servait d’une tige de fer pour soutirer les pièces et les billets, déposés dans les urnes religieuses.

Il vidait le tronc d’église après les cérémonies

Le malfrat se déplaçait en bicyclette et agissait discrètement quelques minutes après les offices, principalement dans les églises Sainte-Marie de Bordeaux et Notre-Dame de Talence.

Lire aussi : Une femme de ménage chasse un voleur armé d’un bar : « C’était un peu inconscient ! »

Au fil des années, les membres de la paroisse avaient bien vu qu’il se passait quelque chose de louche. Le tronc des églises étant parfois vide après des grosses célébrations.

Pris en flagrant délit

Le voleur a fini par être interpellé en flagrant délit par une patrouille de police, appelée sur place alors qu’il était en train de commettre son larcin.

Devant le tribunal correctionnel, le sexagénaire a écopé de 500 euros d’amende délictuelle, 500 euros de dommages et intérêts à verser à l’église de Talence pour le préjudice moral et encore 500 euros pour frais de procédure.

Municipales. Patrick Porte candidat à sa succession

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Patrick Porte entouré de Sophie Fâche (à g.), d'Émilie Lepoureau et de Jean-Luc Ainé.

Patrick Porte entouré de Sophie Fâche (à g.), d’Émilie Lepoureau et de Jean-Luc Ainé. (©Les Alpes Mancelles.)

Patrick Porte, maire d’Aigné (Sarthe), est candidat à sa succession aux élections municipales 2020.

L’actuel maire d’Aigné, Patick Porte a annoncé mardi soir, sa candidature pour un nouveau mandat.

« Un premier mandat en tant que maire apporte une expérience solide pour assurer un nouveau mandat et relever tous les défis de demain. J’ai donc décidé de réunir une équipe composée de conseillers municipaux sortants et de nouvelles personnes prêtes à s’investir. Des parents me rejoignent pour créer un lien plus fort avec l’école, mais aussi des retraités et des actifs, des personnes évoluant dans le secteur du commerce, de la communication, de la santé, de l’agriculture… Une équipe, dont l’âge de colistiers varie entre trente et soixante-six ans, permettant de répondre aux besoins de la commune et de ses 1 696 habitants. »

Avec trois conseillers sortants

Tout en ne dévoilant pas sa liste, « il est encore trop tôt », qui ne saurait tarder à être complète, Patrick Porte repart avec trois conseillers sortants dont Sophie Fâche, chargée d’alternance dans un centre de formation, qui était tête de liste opposée lors des dernières élections « on a toujours été en étroite collaboration avec Patrick, c’est pourquoi je me présente sur sa liste. »

Nouvelles têtes

Deux nouvelles têtes sont officiellement à ses côtés, Émilie Lepoureau qui travaille à Le Mans Métropole et Jean-Luc Ainé, retraité après avoir travaillé dans le commercial et arrivé à Aigné depuis trois ans en provenance du Mans. « Je serai le doyen de la liste ».

Quand on lui fait remarquer que beaucoup de maires en exercice ne repartent pas au contraire de lui, Patrick Porte répond « il faut savoir tenir sur la longueur et avoir de la disponibilité pour pouvoir s’investir, ce que j’ai en étant chargé de mission dans mon travail. »

Rendre la commune attractive

« Nous désirons apporter une meilleure communication sur la commune, en transparence avec régularité et pédagogie, dans un esprit de concertation et de proximité. Nous redéfinirons les canaux d’orientation avec un nouveau site Internet et un bulletin municipal régulier car j’ai conscience qu’il y a un manque de communication au sein de la commune. Nous voulons la rendre attractive en gardant une vision collective tout en équilibrant les finances. »

Une campagne classique

Plusieurs réunions préparatoires ont eu lieu afin de préparer un programme et un déroulement de campagne pour préparer au mieux cette candidature.

« Je dirai que nous effectuerons une campagne que l’on peut appeler classique avec en point d’orgue une réunion publique. De nouvelles personnes apportent forcément de nouvelles idées et donc une nouvelle vision, on a pensé aux projets de demain. Aigné s’entend bien avec les autres communes de l’Antonnière mais avant de parler de fusion, commençons par mutualiser nos compétences et on verra après s’il y a un intérêt pour la commune à aller plus loin. »

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Paul Marchand (Niels Schneider) a côtoyé l’horreur en Bosnie. Il est le personnage central de "Symphonie pour le diable", à voir au Rex d'Abbeville

Paul Marchand (Niels Schneider) a côtoyé l’horreur en Bosnie. Il est le personnage central de « Symphonie pour le diable », à voir au Rex d’Abbeville (©Le Journal d’Abbeville)

Sarajevo, novembre 1992, sept mois après le début du siège.

Le reporter de guerre Paul Marchand nous plonge dans les entrailles d’un conflit fratricide, sous le regard impassible de la communauté internationale…

Un « homme blessé » né à Amiens

Le réalisateur Guillaume De Fontenay travaille à la réalisation de Sympathie pour le diable depuis quinze ans. Il s’inspire pour cela des récits du journaliste de guerre Paul Marchand sur le siège de Sarajevo.

Ce dernier, grand reporter né à Amiens, a d’ailleurs travaillé avec le réalisateur sur le scénario, jusqu’à son suicide en 2009, à l’âge de 47 ans.

Le réalisateur témoigne :

Paul Marchand était un homme blessé. En 2008, quelques mois avant son suicide, il m’a dit en pleurant qu’il était fini, qu’il avait marché sur des terres contaminées et qu’il n’était plus apte à vivre. Des reporters de guerre m’ont dit que s’ils étaient sur le terrain, c’est parce qu’ils avaient des blessures à colmater. Être témoin de souffrances plus grandes leur permet, dans une certaine mesure, de prendre de la distance avec les leurs.

Soirée débat avec la rédactrice en chef adjointe de Reporters sans frontière

Dans Sympathie pour le diable, Paul Marchand est interprété par Niels Schneider (jeune acteur découvert chez Xavier Dolan).

Le film est projeté au Rex ce jeudi dans le cadre d’une soirée débat sur le journalisme de guerre, avec Catherine Monnet, rédactrice en chef adjointe de Reporters sans frontières.

Jeudi 23 janvier à 20 h au Rex d’Abbeville.
Tarif unique : 3 €.


Seine-et-Marne. Municipales 2020 : Des menaces contre la liste « Savigny, j'y tiens »

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La capture d'écran des menaces reçues par Maurice Pollet

La capture d’écran des menaces reçues par Maurice Pollet (©LaRep77)

La situation semble se tendre autour des élections municipales à Savigny-le-Temple. Sixième adjoint au maire, délégué à la santé de proximité, Maurice Pollet a annoncé, il y a quelques mois la création de sa liste « Savigny, j’y tiens » pour briguer la mairie savignienne face à la maire sortante, Marie-Line Pichery.

Une liste qui s’était fait remarquer en fin d’année 2019, lors de l’inauguration de la place des Droits de l’Homme, avec une petite manifestation qui avait interrompu la cérémonie et une banderole « 1 place, 1.200.000 euros = zéro service public, zéro commerce ». Cette fois, c’est la tête de liste de « Savigny, j’y tiens » qui a fait les frais de cette campagne, avec un SMS assez explicite de menaces.

« On ne touche pas à Savigny-le-Temple. C’est la ville du premier secrétaire du parti socialiste… qui sera peut-être un jour président de la République française… Ne joue pas trop. Faut avoir les muscles en politique ».

« L’auteur de ce message est connu et je me réserve le droit de porter plainte contre cette personne identifiée, a commenté Maurice Pollet. Le niveau politique à Savigny-le-Temple est tombé bien bas, pour que des militants soutenant une liste adverse se permettent de tels écrits. Pourquoi tant de haine ? La Ville de Savigny-le-Temple n’appartient ni à Olivier Faure, ni à Marie-Line Pichery ».

Ambiance…

E.v.O.

Seine-et-Marne : les fans de jeux vidéo invités à l'espace Horizon d'Ozoir-la-Ferrière

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Le Salon a accueilli près de 600 visiteurs l'an dernier.

Le Salon a accueilli près de 600 visiteurs l’an dernier.

Après le succès de la première édition l’année dernière, le Salon du jeu vidéo revient à Ozoir-la-Ferrière le week-end du 24 et 25 janvier pour sa deuxième édition.

Tous les publics, adolescents, adultes, débutants ou confirmés, sont invités à découvrir ou redécouvrir les derniers jeux, sans oublier les grands classiques.

Huit animateurs seront présents pour assister les « gamers », qui se défieront ou coopéreront dans jeux de réflexes, de mémoire, ou d’adresse.

Lire aussi : Ozoir-la-Ferrière : Challenge et esprit d’équipe pour le premier salon du jeu vidéo

50 postes de jeux et des bordes d’arcade

Plusieurs espaces seront accessibles aux participants avec pas moins de 50 postes de jeux.

L’espace de découverte « vidéo-ludique » permettra de découvrir les consoles de la nouvelle génération (Playstation 4, Nintendo Switch), le casque de réalité virtuelle Oculus Rift avec le jeu Beat Saber, et de redécouvrir les consoles de l’ancienne génération (Nintendo 64, Game Cube, Dreamcast…) et les bornes d’arcade.

Un espace de jeux de société et de jeux en bois sera présenté par trois animateurs de l’association « Pl’asso jeux » pour redécouvrir les jeux traditionnels.

Des tournois pour se défier

Différents tournois organisés avec à la clé des consoles à gagner.

Le vendredi à 19h, c’est un tournoi de Super Smash Bros Ultimate, sur Nintendo switch qui attend les 16 participants, qui devront s’inscrire sur place à partir de 18h. Un casque de jeu est à gagner.

Samedi matin, à 11h, le jeu Fortnite sera au cœur de l’attention des 28 à 42 participants répartis sur 14 ordinateurs, qui tenteront de remporter cette fois une Nintendo Switch Lite. L’inscription se fait sur place, dès 10h.

A partir de 14h, les participants s’affronteront dans un tournoi de Mario Kart 8 Deluxe, sur Nintendo Switch. Le premier remportera une console Nintendo Switch standard. Les personnes intéressées doivent s’inscrire sur place, à partir de 10h.

Enfin, la série de tournois se clôturera sur une compétition de FIFA 20 sur PlayStation 4, avec une inscription possible dès 10h et un début de parties entre 13h30 et 14h30. Le premier prix : une Playstation 4 slim.

Chacun pourra donc trouver facilement ce qui correspond à son goût.

 

Salon du jeu vidéo, à l’espace Horizon d’Ozoir-la-Ferrière, le vendredi 24 janvier de 18h à 21h et samedi 25 janvier de 10h à 20h. Entrée libre. Restauration rapide.

Municipales 2020. Alençon : Sophie Douvry distille

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Au total, à ce jour sept mains sont apparues

Au total, à ce jour sept mains sont apparues (©l’Orne hebdo)

Sur son site internet https ://avecsophiedouvry.fr/ Sophie Douvry, candidate du centre et de la droite républicaine aux élections municipales à Alençon (Orne), publie des photos d’une main, celle de colistiers : Virginie l’infirmière, Philippe 60 ans, Christine 46 ans, Jean-Louis 43 ans, Vincent 29 ans, Maximilienne professeur des écoles, Guillaume marié, deux enfants…

Avec ce slogan « Chaque main compte pour demain ».

Et chaque main publiée est accompagnée d’un message. Exemple avec Jean-Louis qui parle sport. Ou Christine qui évoque le centre-ville.

Pour le reste, le site rappelle les deux priorités de la candidate : Économie et Environnement.

Municipales 2020. À Lion-sur-Mer, Annie Baglin se déclare et présente une liste de rassemblement

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À Lion-sur-Mer, Annie Baglin est à la tête d’une liste de rassemblement qui comprend des anciens élus ou actuel ; de gauche à droite : Annie Baglin, Philippe Lamy, Catherine Vautier, Patrice Crétel (actuel conseiller), Yves Lesieux, Patrick Dupays et Jean-Marc Gilles.

À Lion-sur-Mer, Annie Baglin est à la tête d’une liste de rassemblement qui comprend des anciens élus ou actuel ; de gauche à droite : Annie Baglin, Philippe Lamy, Catherine Vautier, Patrice Crétel (actuel conseiller), Yves Lesieux, Patrick Dupays et Jean-Marc Gilles. (©Arnaud Héroult/Liberté Le Bonhomme Libre)

À Lion-sur-Mer près de Caen (Calvados), Annie Baglin est candidate aux élections municipales (15-22 mars 2020).
Retraitée de l’éducation âgée de 72 ans, cette habitante de Lion depuis 12 ans mènera la « liste de rassemblement pour la renaissance de Lion et la démocratie locale. »

Lire aussi : Municipales 2020. Le maire de Lion-sur-Mer, Dominique Régeard, lance sa candidature

« « Être ensemble pour la réflexion de la commune »

Ancienne conseillère municipale (en 2014 dans l’opposition, en 2016 dans la majorité), comme plusieurs de ses futurs colistiers (la liste est complète et sera dévoilée sous peu), Annie Baglin revendique sa candidature en réaction au passé récent du conseil municipal. « Notre liste vient de cet historique. »

Depuis 6 ans, il y a un non-respect de la loi par rapport aux règles du conseil municipal. C’est cela qui nous rassemble : affirmer la précaution d’être ensemble pour la réflexion de la commune.

Cette nouvelle liste entend également « respecter le vote du bureau. » Sur ce sujet, cette liste face au maire Dominique Régeard oppose à M. Régeard de ne pas « avoir pris en compte l’avis du bureau d’adjoints (ndlr : à propos du bureau d’information touristique) », ce qui avait entraîné la démission de 9 conseillers il y a un an.

Lire aussi : À Lion-sur-Mer près de Caen, huit élus démissionnent du conseil municipal

« Il n’y a pas eu d’entente, il n’y a pas eu de projets »

Dominique Régeard s’est dit « senti trahi ». Ses opposants rétorquent : « s’il y a eu trahison, elle est de votre fait. »
Conséquence de ces griefs : « il n’y a pas eu d’entente, il n’y a pas eu de projets », commente Annie Baglin.

Ce qui a été réalisé dans la commune vient des équipes précédentes.

La liste de Même Baglin estime aussi que la municipalité « n’a pas arrêté de projet d’aménagement dans le secteur du centre bourg où 8 logements sociaux (du bailleur Inolya) sur une vingtaine de maisons, sont murés depuis des années. Le retard perdu est inadmissible. »
Membre de cette nouvelle liste et ancien maire de Lion-sur-Mer (1989 – 2014), Jean-Marc Gilles pense que :

Les deux anciens maires n’ont pas pris ça à bras-le-corps et aujourd’hui pour le prochain mandat, il n’y a aucun projet.

Toulouse. Cabaret, show équestre, Bowie, Michel Drucker... Voici nos coups de coeur de la semaine

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Un cabaret de folie retrace le Paris des années folles à Odyssud Blagnac (Haute-Garonne), du jeudi 23 au samedi 25 janvier 2020.

Un cabaret de folie retrace le Paris des années folles à Odyssud Blagnac (Haute-Garonne), du jeudi 23 au samedi 25 janvier 2020. (©DR)

Voici notre sélection de sorties à Toulouse et dans l’agglomération, du jeudi 23 au mercredi 29 janvier 2020.

Show équestre au Zénith

Pour la première fois, l’homme-orchestre à cheval Mario Luraschi se met en scène. Sur un plateau de 1000 m2 avec sa troupe de 15 cavaliers, il vous fera voyager à travers le temps, son histoire du cheval, les grandes fresques du cinéma et de la tradition équestre.

Samedi 25 (à 20 h 30) et dimanche 26 janvier 2020 (à 15 h 30) au Zénith de Toulouse Métropole. 11, avenue Raymond Badiou.
Tarifs : de 49 à 69 euros

Michel Drucker seul en scène

On ne présente plus l’homme de télé à la longévité exceptionnelle. Mais connaissez-vous le Michel Drucker humoriste, confident ? Après « Seul avec vous », qu’il avait eu l’occasion de jouer chez nous, Michel Drucker présentera son deuxième spectacle, « De vous à moi », à la Comédie de Toulouse.

Jeudi 23 et vendredi 24 janvier 2020 à la Comédie de Toulouse, à 20h. 16, rue Saint-Germier.
Tarifs : de 22 à 27 euros
Infos et réservations sur lacomediedetoulouse.com

Soirée années 2000

Le Bikini de Ramonville (Haute-Garonne) rend hommage aux années 2000 avec Sum 41, Mr Oizo, Pharrell Williams, Daft Punk, Gorillaz, Phoenix, Eminem ou Destiny’s Child au programme. Pas mal, non ?

Vendredi 24 janvier 2020 au Bikini, à partir de 23 h. Rue Théodore Monod.
Tarifs : 6 euros avec une conso
Infos : lebikini.com

Hommage à David Bowie

Vous êtes fan du monument David Bowie ? Ses anciens musiciens, qui cumulent 30 ans d’expérience, sont réunis le temps d’un concert pour lui rendre hommage. Guitaristes, bassiste et claviériste vont mettre le feu !

Cerise sur le gâteau : vous pouvez gagner vos places pour le spectacle en jouant sur Actu Toulouse !

Lundi 27 janvier 2020 au Casino Barrière, à 20 h 30. 18, chemin de la loge.
Réservations sur le site casinosbarriere.com

Lire aussi : Jeu. Gagnez vos places pour le concert «A Bowie Celebration » au Casino Barrière de Toulouse

Le temps des copains

Vous allez revivre le temps des yéyés dans ce spectacle musical, grâce à 12 artistes plein d’énergie. Quand France Gall, Johnny Hallyday, Michel Polnareff, Sheila, Sylvie Vartan et bien d’autres se donnent rendez-vous sur la scène de Bruguières…

Samedi 25 janvier 2020 au Bascala, à Bruguières (Haute-Garonne), à 21h. 12, rue de la briqueterie.
Tarifs : de 24 à 27 euros

Un cabaret sensuel

C’est le Paris des années folles qui est au cœur de « Paris de nuit », un cabaret-cirque sensuel très spectaculaire proposé à Odyssud. Le show est agrémenté d’un orchestre jazzy de premier plan. Les ingrédients parfaits pour passer une bonne soirée.

Du jeudi 23 au samedi 25 janvier 2020 à Odyssud Blagnac (Haute-Garonne). A 20 h 30, plus une deuxième date à 15 h le samedi.
4, avenue du parc.
Tarifs : de 22 à 37 euros
www.odyssud.com

Grande soirée d’humour

Le Live, situé dans le quartier Pont des Demoiselles dans les locaux de l’école de danse Gilles Vézien, organise une grande soirée d’humour avec des stand up à gogo. Cerise sur le gâteau, vous aurez droit à la galette des rois plus une coupe de cidre offerte. Les talents toulousains devraient vous étonner !

Vendredi 24 janvier 2020 au Live, de 21 h à 23h. 5, place Roger Arnaud. Réservation au 06 42 48 57 13.
Tarif : sortie au chapeau

Le Grand Rond va au lit !

Avec « Oh lit ! », la Cie Filao propose un spectacle espiègle et drôle sur le rituel du coucher, les doudous, les histoires à raconter, les tracas de la couverture… Bref, il y a toujours une raison pour retarder l’heure fatidique du coucher. Un spectacle familial qui nous parle, forcément, pour les plus de 3 ans.

Samedi 25 et mercredi 29 janvier 2020 à 15 h, au théâtre du Grand Rond. 23, rue des Potiers.
Infos : grand-rond.org et 05 61 62 14 85.
Tarif : 6 euros

Conférence-débat à L’Utopia

L’association Toulouse en Transition organise dans le cinéma Utopia de Borderouge, au nord de Toulouse, une conférence-débat autour du livre « Le pouvoir d’agir des citoyens », de Georges Dhers.

Le public sera invité à mettre en application certains préceptes du livre ! Dans la même soirée, sera projeté « Sacré village », un film de Marie Monique Robin, journaliste d’investigation qui s’était notamment fait connaître pour son documentaire « Le monde selon Monsanto ».

Jeudi 23 janvier 2020 à l’Utopia Borderouge, à partir de 20h. 59, avenue Maurice Bourges-Maunoury.

Lire aussi : Toulouse. Ce quartier organise une « zone de gratuité » pour déposer et récupérer des objets

Une rencontre autour du vélo

La Maison du Vélo et la revue Dard/Dard proposent, à l’Astronef, une soirée autour du vélo en présence de Sébastien Marrec, doctorant en aménagement et urbanisme à l’université Rennes 2.

Samedi 25 janvier 2020 à 15 h. 3, place des avions. Entrée libre

Tempête Gloria. Crues, inondations, évacuations : un mercredi rouge dans l'Aude et les Pyrénées-Orientales

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A Rivesaltes, l'Agly n'a cessé de monter ce mercredi 22 janvier 2020.

A Rivesaltes, l’Agly n’a cessé de monter ce mercredi 22 janvier 2020. (©Météo Pyrénées / Joly5842)

Nul doute que ces mots résonnent encore, même plus de 24 heures après leur prononciation. « Mercredi sera difficile. » Le préfet des Pyrénées-Orientales, Philippe Chopin, l’avait annoncé mardi 21 janvier 2020. Depuis, l’aiguille a fait un peu plus que le tour du cadran. Le temps que Gloria réserve crues, évacuations, et alerte rouge dans son département, et également dans celui de l’Aude.

Les fleuves vite en crue

Si la nuit de mardi à mercredi a été « plutôt calme », les précipitations ont rapidement recouvert les sols audois et pyrénéens. De 180 à 250 mm et de 200 à 380 mm sont, respectivement, attendus jusqu’à jeudi. Suffisant pour faire sortir les cours d’eau de leur lit. Très vite, l’Agly et le Tech sont placés en vigilance orange crues. 

Lire aussi : Tempête Gloria. L’Aude rejoint les Pyrénées-Orientales en vigilance orange, de fortes pluies attendues

En jaune jusque-là, l’Aude a emboîté le pas des Pyrénées-Orientales, embourbés dans une alerte orange pluie inondation depuis la nuit de lundi à mardi. Dans sa Haute Vallée, le fleuve est monté en régime et a rapidement débordé, notamment à Limoux. Des images qui ont éveillé les spectres du 15 octobre 2018.

Bascule vers le rouge

A la mi-journée, Philippe Chopin s’est rendu à Saint-Jean-de-Fenouillet. Le préfet des Pyrénées-Orientales affirmait alors que « ce qui tombe est impressionnant, c’est supérieur à ce qu’avait prévu Météo-France dans un premier temps ». Dans un second temps, autrement dit à 15 heures, la vigilance a viré au rouge dans les deux départements.

Lire aussi : Tempête Gloria. L’Aude et les Pyrénées-Orientales en alerte rouge inondation

Les crues de l’Aude et de l’Agly ont laissé place à des images impressionnantes. Le premier atteint des niveaux approchant ceux de 1891, où une crue avait été meurtrière. Quant à l’Agly, c’est un cas de « crue cinquantennale » qui est évoqué par les autorités et les secours sur place.

Evacuations

Jusqu’alors mobilisés pour des opérations de tronçonnage et de reconnaissance, les plus de 300 pompiers engagés sur place ont été renforcés par des colonnes venues du Gard, de Provence-Alpes-Côte d’Azur, de Haute-Garonne et de l’Hérault. Ils ont procédé à des évacuations. A Claira, un hypermarché a dû fermer ses portes.

Lire aussi : Tempête Gloria. Les images des cours d’eau en crue dans l’Aude et les Pyrénées-Orientales

La crue de l’Agly a aussi provoqué l’évacuation de la bande des 300 mètres des digues. Les villes de Claira, Torreilles, Saint-Laurent-Salanque, du Barcarès, de Pia et de Rivesaltes sont concernées. Dans l’Aude, des dizaines d’évacuations ont eu lieu à Limoux, Couiza et Quillan mais aussi Alet et Rennes-les-Bains.

Vers la fin jeudi midi ?

Dans l’Aude, la prudence est à son paroxysme du côté de Carcassonne et Trèbes. A Limoux, plus de 150 personnes dormiront au gymnase. La préfecture des Pyrénées-Orientales a, quant à elle, décidé de dérouter tous les vols vers Montpellier. Aucun transport scolaire ne circulera et toutes les stations de ski sont fermées. L’Ariège et la Haute-Garonne sont, quant à elles, passées en vigilance orange.

Lire aussi : Tempête Gloria. Après la neige, « le plus gros des intempéries est à venir » dans les Pyrénées-Orientales

Selon Météo France, la fin du phénomène est prévue pour ce jeudi 23 janvier 2020, à 12h. Mais d’ici là, de nouvelles pluies devraient animer la fin de nuit et la matinée de jeudi. Depuis lundi soir, au Tech et à Ansignan (Pyrénées-Orientales), c’est l’équivalent de quatre mois de précipitation qui a recouvert le sol (292 et 276 mm). 

Grève à la RATP et à la SNCF jeudi 23 janvier : trafic quasi normal sur le métro, RER et Transilien

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Les prévisions de circulation des transports en commun à Paris et en Île-de-France pour jeudi 23 janvier 2020.

Les prévisions de circulation des transports en commun à Paris et en Île-de-France pour jeudi 23 janvier 2020. (©Chabe01 / Wikicommons)

Le trafic des transports en commun sera une nouvelle fois fluide jeudi 23 janvier 2020 à Paris et en Île-de-France. Après un mois et demi de mouvement social à la RATP et la SNCF contre la réforme des retraites, presque tous les métros, RER, Transilien, tramways et bus circuleront normalement. Il n’empêche que de nouvelles perturbations sont attendues pour pour vendredi 24 janvier.

Lire aussi : Nouvelle grève à la RATP et la SNCF : une « journée noire » prévue vendredi 24 janvier à Paris

Métros : trafic perturbé sur la ligne 13

  • Ligne 1 : circulation normale ;
  • Ligne 2 : circulation normale ;
  • Ligne 3 : circulation normale ;
  • Ligne 3bis : circulation normale ;
  • Ligne 4 : circulation normale ;
  • Ligne 5 : circulation normale.
  • Ligne 6 : circulation normale.
  • Ligne 7 : circulation normale ;
  • Ligne 7bis : circulation normale ;
  • Ligne 8 : circulation normale ;
  • Ligne 9 : circulation normale ;
  • Ligne 10 : circulation normale ;
  • Ligne 11 : circulation normale ;
  • Ligne 12 : circulation normale ;
  • Ligne 13 : Ligne ouverte en continue entre 5h30 et 23h00 avec un service très perturbé prévoir :
    • Entre 5h30 et 11h00, prévoir 1 train sur 2 sur l’ensemble de la ligne
    • Entre 11h00 et 16h00, prévoir 1 train sur 4 sur l’ensemble de la ligne
    • Entre 16h00 et 20h00, prévoir 1 train sur 3 sur l’ensemble de la ligne
    • Entre 20h00 et 22h30, prévoir 1 train sur 3 entre Châtillon – Montrouge et Les Courtilles (trafic interrompu entre La Fourche et Saint-Denis – Université)
  • Ligne 14 : circulation normale.

Service normal sur les RER A, B et D

Quelques perturbations sur les lignes C et E

  • RER A : service normal ;
  • RER B : service normal ;
  • RER C : trois trains sur quatre ;
  • RER D : service quasi normal ;
  • RER E : quatre trains sur cinq avec une fin de service à 22 h 30 à cause de travaux

Lire aussi : Grève à la RATP et la SNCF du jeudi 23 janvier : retour à la normale sur deux lignes de RER sur cinq

Transilien : service quasi-normal

Retour progressif à la normale sur pratiquement toutes les lignes du Transilien :

  • Ligne H : trois trains sur quatre ;
  • Ligne J : trafic quasi normal;
  • Ligne K : service normal ;
  • Ligne L : service normal ;
  • Ligne N : service normal ;
  • Ligne P : service normal ;
  • Ligne R : trafic quasi normal, avec 4 trains sur 5 sur la branche Melun-Montereau
  • Ligne U : service normal.

Lire aussi : Grève à la RATP et à la SNCF jeudi 23 janvier : circulation quasi-normale sur les lignes de Transilien

Tramway : trafic normal sur toutes les lignes

  • T1 : trafic normal toute la journée;
  • T2 : trafic normal toute la journée ;
  • T3a : trafic normal toute la journée ;
  • T3b : trafic normal toute la journée ;
  • T4 : fréquence de 12 minutes ;
  • T5 : trafic normal toute la journée ;
  • T6 : trafic normal toute la journée ;
  • T7 : trafic normal toute la journée ;
  • T8 : trafic normal toute la journée ;
  • T11 : trafic normal toute la journée.

Presque pas de perturbations sur les bus

Le trafic est estimé « quasi normal » sur l’ensemble du réseau. Les Orlybus et Roissybus circuleront normalement.


Grève RATP du jeudi 23 janvier à Paris : trafic très perturbé sur une seule ligne de métro

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Quelles perturbations, jeudi 23 janvier 2020 sur les lignes de métro de la RATP, à Paris ? Le point sur la circulation.

Quelles perturbations, jeudi 23 janvier 2020 sur les lignes de métro de la RATP, à Paris ? Le point sur la circulation. (©SL / actu Paris)

À la veille d’une nouvelle journée de grève contre la réforme des retraites, la journée du jeudi 23 janvier 2020 verra un trafic plutôt normal sur l’essentiel des lignes de métro de la RATP, sauf une. Voici le détail des perturbations.

Lire aussi : Nouvelle grève à la RATP et la SNCF : une « journée noire » prévue vendredi 24 janvier à Paris

Métros : la ligne 13, seule très perturbée

Le service est très perturbé sur la ligne 13 :

  • Ligne 1 : circulation normale ;
  • Ligne 2 : circulation normale ;
  • Ligne 3 : circulation normale ;
  • Ligne 3bis : circulation normale ;
  • Ligne 4 : circulation normale ;
  • Ligne 5 : circulation normale ;
  • Ligne 6 : circulation normale ;
  • Ligne 7 : circulation normale ;
  • Ligne 7bis : circulation normale ;
  • Ligne 8 : circulation normale ;
  • Ligne 9 : circulation normale ;
  • Ligne 10 : circulation normale ;
  • Ligne 11 : circulation normale ;
  • Ligne 12 : circulation normale ;
  • Ligne 13 : un train sur deux de 5h30 à 11 heures, un train sur quatre de 11 heures à 16 heures, un train sur trois de 16 heures à 20 heures, un train sur trois entre Châtillon-Montrouge et Les Courtilles entre 20 heures et 22h30, trafic interrompu entre La Fourche et Saint-Denis-Université ;
  • Ligne 14 : circulation normale.

Toulouse. Météo : la Haute-Garonne en alerte orange inondation, trois autres départements en vigilance

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La Haute-Garonne a été placée en vigilance orange inondation par Météo France, mercredi 22 janvier 2020.

La Haute-Garonne a été placée en vigilance orange inondation par Météo France, mercredi 22 janvier 2020. (©Illustration / Adobe Stock)

Prenez vos précautions ! Météo France a placé la Haute-Garonne en vigilance orange inondation, tout comme le département de l’Ariège, mercredi 22 janvier 2020. Pour rappel, les départements des Pyrénées-Orientales et de l’Aude ont quant à eux été placés en vigilance rouge « inondation », plus tôt dans la journée, en raison du passage de la tempête Gloria. 

Lire aussi : Tempête Gloria. L’Aude et les Pyrénées-Orientales en alerte rouge inondation

Hausse des niveaux d’eau 

« Un épisode pluvieux a abordé la Méditerranée lundi après-midi. Les pluies se sont renforcées dans la nuit de mardi à mercredi et en matinée de mercredi sur les départements de l’Ariège puis de la Haute-Garonne engendrant une hausse des niveaux d’eau sur plusieurs cours d’eau de ces secteurs », explique Météo France dans son bulletin local. 

Des cours d’eau particulièrement surveillés 

C’est particulièrement le tronçon « Ariège-Hers-Vif » qui est particulièrement soumis à des risques d’inondation. Météo France indique : 

Sur l’Hers vif, une hausse importante et très rapide des niveaux et observée. Elle va se poursuivre et pourrait atteindre des niveaux dommageables. Sur l’Ariège, une légère hausse est observée sur la partie amont ce mercredi après-midi. Avec les cumuls de pluies encore attendus jusqu’à jeudi, cette réaction devrait se poursuivre à la hausse jusqu’à jeudi. Elle restera toutefois de faible ampleur, sans débordements attendus. Cette hausse devrait être plus importante à l’aval de la confluence avec l’Hers Vif.

Sur le bassin de l’Hers mort, une accalmie des pluies est attendue en fin de journée de mercredi. La réaction en cours sur ce cours d’eau devrait se poursuivre jusqu’à jeudi matin.

Lire aussi : Tempête Gloria. Crues, inondations, évacuations : un mercredi rouge dans l’Aude et les Pyrénées-Orientales

Suppressions de postes à la maternité du Belvédère, près de Rouen : un appel à la grève

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Un préavis de grève est déposé pour lundi 27 janvier 2020 à la maternité du Belvédère de Mont-Saint-Aignan.

Un préavis de grève est déposé pour lundi 27 janvier 2020 à la maternité du Belvédère de Mont-Saint-Aignan. (©RT/76actu)

La maternité du Belvédère de Mont-Saint-Aignan, près de Rouen (Seine-Maritime) doit encore faire des économies pour rentrer dans les clous imposés par l’Agence régionale de santé (ARS). Le syndicat CFDT demande des « économies structurelles et non pas sur le dos des salariés ». Il craint la suppression de 40 à 50 postes. Un préavis de grève a été annoncé pour lundi 27 janvier 2020.

Deux millions d’euros d’économie

En janvier 2020, un dernier rapport commandé à un consultant par l’ARS préconise un effort d’économie de deux millions d’euros d’ici 2026. En juillet 2018, déjà, un audit avait été commandé par l’ARS et un plan d’économie avait été acté par la suite.

« Nous avons appris que 24 départs en retraite ne seront pas remplacés d’ici 2025 », indique la CFDT dans un communiqué de presse. « Les noms et les catégories des agents concernés par ces départs sont pour l’instant inconnus. Nous ne voulons pas d’économie sur le dos du personnel non-médical ou des sages-femmes », insiste Jean-Yves Herment, délégué syndical Santé sociaux. Et le syndicaliste d’appuyer :

Il y a le dogme des deux millions d’euros, mais aucun plan n’est proposé. Concernant les réorganisations à venir, c’est le flou artistique.

Le déficit de l’établissement s’élève à 3,6 millions d’euros pour 25 millions d’euros de budget.

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« Personne n’est menacé dans son emploi, mais… »

Contactée, la direction du Belvédère affirme que l’« ambition est d’abord de développer les activités et d’augmenter les recettes », notamment grâce à l’arrivée d’un plateau technique, mais elle reconnaît que les départs « ne seront pas remplacés ». « La masse salariale va décroître de façon naturelle d’ici 2026, grâce aux départs volontaires. Personne n’est menacé dans son emploi, mais dans son poste peut-être, reconnaît Yves Bloch, directeur par intérim, nommé en septembre 2018. Il y aura de la mobilité possible au sein de l’établissement et aussi, potentiellement, au sein du CHU de Rouen. »

CFDT et direction doivent se revoir jeudi 23 janvier dans l’après-midi, après une première entrevue mercredi. « C’est la preuve que le dialogue social est fourni », indique Yves Bloch. Une assemblée générale du personnel sera également organisée vendredi 24 janvier, dans le but de « définir les actions à venir ». La CFDT a déposé un préavis de grève du 27 janvier, dès 6h30 jusqu’au 28 janvier, huit heures.

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Des précédentes mobilisations ?

En octobre 2018, les médecins et usagers du Belvédère avaient déjà manifesté pour dénoncer les coupes budgétaires. Une mobilisation née à la suite de la lecture d’un pré-rapport commandé par l’ARS qui préconisait la suppression de l’hospitalisation pré-natale et de supprimer 21 postes de sages-femmes. Les médecins redoutent aussi la mise en place d’une direction commune entre la maternité et le CHU de Rouen.

L’ARS a toujours reconnu une volonté de coopération avec le CHU, mais pas de fusion. « L’autonomie financière et juridique de l’établissement seront préservées », avait assuré la directrice de l’ARS, Christine Gardel. « La question de l’avenir du Belvédère ne se pose plus, la maternité perdurera avec une coopération avec le CHU », insiste Yves Bloch.

En mai 2019, le personnel avait de nouveau manifesté dans les rues de Rouen pour dénoncer une « souffrance au travail » et « un management par intérim brutal ». La CFDT a demandé une expertise sur les risques psychosociaux, dans le cadre des réorganisations.

En moyenne, 3 200 bébés naissent tous les ans au Belvédère, ce qui en fait la première maternité de l’agglomération de Rouen.

Supraways, des navettes suspendues futuristes à l'étude dans la métropole de Lille

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Et si l'on pouvait bientôt emprunter les navettes suspendues de Supraways à Lille (Nord) ? Le sujet est à l'étude...

Et si l’on pouvait bientôt emprunter les navettes suspendues de Supraways à Lille (Nord) ? Le sujet est à l’étude… (©Supraways)

Un moyen de transport aux allures futuristes va-t-il débarquer dans la métropole de Lille (Nord) ? Le sujet est en tout cas à l’étude. Mardi 21 janvier 2020, la société Supraways a présenté son projet de réseau de navettes suspendues et électriques pour faciliter le transport et la mobilité, et ainsi désengorger les routes de la MEL

À noter que la commune de Saint-Quentin-en-Yvelines et plusieurs communes en Lorraine envisagent elles aussi de s’équiper de ce monorail du futur.

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Les navettes Supraways qu’est-ce que c’est ?

Lors d’une conférence de presse à Marcq-en-Baroeul, Claude Escala, président de la société a présenté plus en détail sa navette. Un véhicule autonome, de petite taille (sept à neuf places assises), qui circule en autoguidage, à la demande et en continuité. La navette est branchée sur un maillage aérien, insérée dans un rail suspendu grâce à des hauts piliers de béton.

Elle fonctionne à l’électricité, fournie en réseau par le câblage ou grâce à des batteries embarquées. Le solaire devrait aussi être source d’énergie. La circulation aérienne permet de s’affranchir des problèmes du sol : aucun risque de percuter un piéton et vitesse rapide assurée (50 km/h en ville). Le réseau en boucles interconnectées supprime les arrêts intermédiaires et le temps d’attente. Les véhicules se parlent et se comprennent entre eux, permettant une meilleure gestion des flux selon la demande.

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La flotte importante et la haute fréquence de passage autorisent une capacité théorique maximale de 5000 à 7000 personnes par heure et par sens, quand celle d’un tram est de 4000 pers./ h/ sens. Le coût avancé est inférieur à des travaux similaires pour un tramway : 20 millions d’euros pour un 2 X 2 voies, 10 millions pour 2 X 1 voie (contre 40 millions pour un tramway).

Ni tram, ni métro

En finançant une étude de faisabilité (à hauteur de 25 000 euros), les acteurs économiques de la MEL veulent réfléchir à la possibilité d’un tel réseau et l’inscrire dans les débats des élections municipales à venir en mars. 

Christophe Coulon, vice-président de la Région et président de l’aéroport de Lesquin, affirme sa volonté de s’inscrire dans une problématique publique d’accès à la métropole. Il souhaite avec « cette étude d’opportunité versée au débat public » apporter « des solutions et une vision ». L’intérêt de l’aéroport d’avoir un accès facilité à la porte sud de Lille est évident – d’autant plus qu’une augmentation de 2 à 4 millions de passagers est prévue dans les quatre prochaines années – mais Christophe Coulon voit au-delà : « l’idée est de s’imbriquer, se compléter pour réduire la thrombose routière ». Il vante ses 50 hectares de foncier au sud de Lille et l’opportunité d’y développer un parking relais important.

Philippe Depasse, de la Fédération des promoteurs immobiliers, corrobore et confie sa volonté d’apporter sa réflexion pour bonifier le réseau à l’intérieur de la MEL. Il est attiré par Supraways, moyen de transport aérien, ni tram ni métro, à la demande et en circulation 24h/24.

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Cinq lignes envisagées

Après avoir diagnostiqué le territoire pour cartographier les problèmes de mobilités, Supraways a imaginé un maillage avec 28 km de 2 X 2 voies, 62 km de 2 X 1 voies et 30 km de voies secondaires à sens unique. Cinq lignes sont envisagées pour décongestionner la MEL, dont en priorité un axe entre l’aéroport et la Gare Lille-Flandres. Le tout inclurait 55 stations. Supraways semble pouvoir répondre à des besoins forts : lien avec le bassin minier, mouvement du Nord-Ouest au Sud-Est, connexions des deux métros à l’extérieur de la ville, avec en résultante le désengorgement de l’autoroute A1 et plus de mobilité à l’intérieur de la MEL.

Pourquoi, alors, le projet qui a émergé il y a déjà plusieurs années n’a pas encore été signé ? « Un mauvais timing », répond Philippe Depasse. Et de se réjouir : « aujourd’hui, la solution a été comprise ». L’étude présentée montre une solution qui serait techniquement faisable, l’avenir dépend de décisions politiques.

Supraways envisage cinq lignes de ses navettes suspendues pour désengorger la métropole de Lille.

Supraways envisage cinq lignes de ses navettes suspendues pour désengorger la métropole de Lille. (©Supraways)

Une mise en service envisageable dans 5 ans

La mobilité est un enjeu majeur pour le futur de la métropole, et l’écologie colore largement la politique actuelle. Supraways promet de fonctionner à l’énergie solaire et à l’électricité, et de réduire le trafic routier donc les émissions de CO2. Le « transport innovant » s’inscrit dans le schéma directeur des infrastructures de transport (SDIT) de la MEL et respecte le plan climat-énergies territorial.

Claude Escala estime à cinq ans la potentielle mise en service, si le projet est retenu par les autorités publiques. Il a même l’ambition de développer son transport pour les Jeux Olympiques de 2024. Peut-être pourrez vous alors descendre de votre avion et réserver via une appli une place dans une petite navette autonome et électrique. Et sept minutes plus tard, être à la gare de Lille-Flandres.

Victoria Milhomme

Dans ce nouveau bar de Lille, Pradeep vous fait voyager au Sri Lanka

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Pradeep a ouvert le Lanka Bar au 21 rue du Faisan à Lille.

Pradeep a ouvert le Lanka Bar au 21 rue du Faisan à Lille. (©Hervine Mahaud / Lille Actu)

Il suffit parfois de pousser une porte pour échapper à la grisaille de l’hiver. À Lille (Nord), cette porte se trouve au 21 rue du Faisan, en plein secteur Solférino-Masséna. Le Lanka Bar, ouvert depuis le 27 décembre 2019, vous propose un vol direct pour le Sri Lanka.

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Du Sri Lanka à Lille

C’est de cette île de l’océan Indien dont est originaire Pradeep, 38 ans. Après avoir pas mal bourlingué en Europe, à travailler dans des bars d’Angleterre ou de Berlin, il a finalement posé ses valises en France. Mais son passage à Paris ne lui laisse pas vraiment un bon souvenir. « Il n’y avait pas une bonne ambiance à Paris. Mais quand je suis arrivé ici, les gens m’ont accueilli, même si je ne parlais pas encore la langue. » 

La légendaire chaleur des gens du Nord a convaincu Pradeep de se fixer pour de bon à Lille en 2003. Depuis, il a pu améliorer sa maîtrise du français et a travaillé dans de nombreux bars lillois (le Farafina, l’African Children). Il a aussi passé son CAP de barman et a officié pendant huit ans dans le bar d’un hôtel de Villeneuve-d’Ascq appartenant au groupe Mulliez.

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Une expérience qui lui a appris à gérer un établissement de A à Z. Il décide alors de se lancer à son compte et opte pour un quartier ultra-festif où la clientèle, très jeune, a parfois besoin d’être canalisée. « Je suis habitué à travailler seul, ça ne me fait pas peur d’être derrière le comptoir même avec beaucoup de monde », confie le barman.

Ambiance zen

Pour le Lanka Bar, Pradeep a souhaité un style différent de ce que l’on trouve ailleurs. Il a donc fait appel à un ami Indien pour décorer son établissement de grandes fresques colorées. « On retrouve des dessins inspirés de la culture sri lankaise et indienne. Il y a quelques détails qui me rappellent mon pays, pour que je me sente comme chez moi dans ce bar. » 

Plaisir des yeux 🍹🦋#lankabar

Publiée par LANKA bar sur Vendredi 17 janvier 2020

Une inauguration le 25 janvier

Sur le mur derrière le comptoir, le gérant a fait installer un masque de Yaka, un gentil monstre qui soigne les malades. La douce odeur d’encens qui flotte dans le bar invite aussi à la méditation.

Côté boissons, le Lanka mise sur des valeurs sûres. Mojito, caipirinha, pina colada, sx on the beach, spritz… Du classique bien réalisé. Les amateurs de rhum trouveront aussi leur bonheur avec une belle sélection.

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Attaché au respect de la nature, Pradeep propose quelques bouteilles de vin et de rhum bio, ainsi que des planches apéro (saucisson, fromages ou version végétarienne) bio. Le barman a souhaité se passer des gobelets en plastique pour servir ses bières et cocktails à consommer à l’extérieur.

Pour découvrir le pays natal de Pradeep, le bar organise une soirée d’inauguration samedi 25 janvier. Pour l’occasion, un DJ mixant des musiques de monde sera de la partie.

Infos pratiques :
Lanka Bar, 21 rue du Faisan à Lille
Ouvert jusqu’à minuit du lundi au jeudi, 1 h  le vendredi et 2 h le samedi.

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