André Philipot a remis officiellement les clés du local à Danièle Le Cerf et Laura Forveille, en présence de quelques élus de la commune.
Elles ne se connaissaient pas mais souhaitaient toutes les deux s’installer comme infirmières libérales dans le secteur de Fougères.
Laura Forveille et Danièle Le Cerf se sont rencontrés par l’intermédiaire du maire de Laignelet André Philipot. Elles ont décidé de s’associer ou ouvriront lundi 2 septembre leur cabinet infirmier.
Une création qui est la bienvenue pour la commune, notamment avec l’ouverture en fin d’année d’une résidence avec des logements destinés aux seniors.
Un local de la commune
Le cabinet infirmier est installé dans deux salles appartenant à la commune, à côté de la maison des associations, 2, rue du Maine.
Danièle Le Cerf qui travaillait jusque-là à l’hôpital de Fougères et Laura Forveille qui était infirmière en Ehpad à Avranches se lancent donc dans une nouvelle aventure. Lors de la remise des clés, mardi 20 août, elles ne cachaient pas leur satisfation :
Nous remercions la commune de nous avoir trouvé un local
Le maire de son côté a exprimé la satisfaction du conseil municipal :
On est très content car l’on espérait pouvoir accueillir des professions paramédicales
Dans un premier temps au moins, les infirmières n’assureront pas de permanence mais pourront recevoir sur rendez-vous et bien sûr se rendre à domicile.
Il est possible de téléphoner pour prendre un rendez-vous une semaine avant l’ouverture, en téléphonant au 02 23 51 04 68 à partir du lundi 26 août.
Petit à petit, le futur parc d’immersion RustiK à Chailloué (Orne) pose ses jalons, tisse sa toile, peaufine ses équipements, distille ses informations…
Ce parc qui se veut un lieu totalement pensé pour les amoureux des jeux de rôle, des jeux d’immersion, doit ouvrir dans un peu plus d’un an et demi mais déjà ses responsables ne laissent rien au hasard en terme de communication pour faire monter l’envie autour de ce projet inédit.
Un concert exceptionnel dans un cadre unique
Et en terme de communication, ils ont déniché un ambassadeur d’exception avec le chanteur Luc Arbogast que le grand public a découvert dans l’émission de TF1 The Voice.
Luc Arbogast va ainsi se produire pour un concert exceptionnel et très privé samedi 31 août 2019. Une grande première puisque le public va pouvoir entrevoir pour la première fois le parc, enfin un public limité à trois cents personnes seulement alors autant dire qu’il ne faut pas tarder pour réserver sa soirée !
Le contre-ténor devenu hérault de la musique médiévale et qui cultive son look héroïc-fantasy digne du Seigneur des anneaux ou de Game of throne va bénéficier avec le parc Rustik d’un écrin idéal avec le lac en arrière-plan.
Toute l’équipe se prépare pour avril 2021
Il faut aussi compter sur toute l’équipe qui sera présente pour cet événement et qui, cette journée-là, va organiser son deuxième Kampement. Une centaine de membres du parc va tester les conditions d’immersion du parc, les quêtes, les énigmes et aussi l’accueil du public avant l’ouverture prévue en avril 2021.
J’ai rencontré Luc Arbogast à Rouen » évoque Julien Prévost-Merlin, créateur du site. « Cétait à l’occasion du salon médiéval-fantastique Normannia. On a tout de suite accroché et l’idée du parc d’immersion lui plaisait beaucoup. Il a vu des images de RustiK et avait très envie de se produire chez nous. Accueillir Luc Arbogast, créer ce genre d’événement, c’est aussi une façon de fêter avec les équipes, les fondateurs et plus largement les Ornais le développement de l’aventure ! »
Etant donné le nombre limité de participants il faut réserver assez rapidement. Pour ce concert, Luc Arbogast va jouer et chanter sur l’eau, en face de la « plage », au coeur de l’ancienne carrière. Occasion d’en tester l’acoustique déjà et d’être embarqué dans l’univers si particulier de ce chanteur atypique !
█ Pratique : Concert Luc Arbogast au parc RustiK à Chailloué (Orne) à partir de 20h30. Uniquement sur réservation ICI. 300 places maximum.
Plus que quelques heures à patienter avant l’inauguration de la Foire aux manèges de Lille (Nord), samedi 24 août 2019. Avant le début des festivités, certains stands recrutent du personnel.
Plusieurs annonces ont été postées sur la page Facebook officielle de la Foire. La Confiserie, la Tentation, la Régalade Sucrée, Chez Maxime et Beber cherchent des vendeurs/vendeuses, la Croustille pour sa part est en quête d’un barman. Ces stands recherchent des personnes motivées, souriantes et disponibles. Le Break Dance, manège à sensation, recherche une personne pour le ramassage des tickets. Pour plus d’informations, les personnes intéressées sont invitées à contacter la page Facebook de la Foire ou bien les pages des stands concernés en message privé.
L’édition estivale de la Foire aux manèges débutera le 24 août et s’achèvera un mois plus tard le 22 septembre. Des nouveautés seront présentes comme le XXL New World.
FOIRE AUX MANÈGES D'ÉTÉ DE LILLEDU 24 AOÛT AU 22 SEPTEMBRE 2019*LIEU: Champ de Mars – Avenue de l'Esplanade *ACCÈS:…
Après les deux journées consacrées au vélo en juin 2018 et 2019, c’est cette fois des deux-roues mais un peu plus gros qui vont être à l’honneur le dimanche 25 août à Gournay-en-Bray.
Cette journée, une idée de Ludovic Tellier d’Espace FM, est organisée par l’Union commerciale Gournay-Ferrières pour des questions administratives.
Deux runs dans la journée
Le 1er Bray Run va donc réunir plusieurs centaines de motos et autres engins plus légers le temps d’une journée dans le centre-ville et un peu plus loin.
Karim Mezghiche, vice-président de l’association les Boutik’s, décrit :
Il va y avoir deux balades, des runs, un le matin dès 10 h avec environ 300 motos qui vont sillonner les routes du pays de Bray à la découverte du patrimoine local. Cela se fera au départ de Gournay, en passant par Gaillefontaine, Vascœuil…
L’après-midi à partir de 14 h 30, ce sont solex, scooters, vespas et autres deux-roues à moteurs qui fileront sur l’asphalte brayon.
Cette journée soutenue par la mairie et la communauté de communes des 4 rivières, verra également l’installation d’un village d’exposants place nationale. A noter la présence d’HP moto installé dernièrement à Cuigy-en-Bray qui apportera un banc de puissance. L’appareil composé notamment de deux gros rouleaux permet de calculer la puissance des motos. Chacun pourra donc y apporter son engin afin que soit déterminée la puissance extacte du deux-roues.
Ce village sera principalement consacré aux accessoires moto avec notamment la présence d’un sellier.
Karim Mezghiche précise :
On attend aussi la venue d’un club de motos anciennes. Et vers 16 h, il y aura également un concert toujours place nationale. Ce sera plutôt un concert rock pour aller avec le thème de la journée.
Dans une ambiance encore estivale, il sera possible de se restaurer le midi au sein de la halle aux volailles grâce à l’association Meumeu team 76. Les motos de compétition des deux frères Meunier devraient y être exposées.
On a également vu avec les restaurateurs du centre pour qu’ils ouvrent le dimanche midi. Plusieurs vont jouer le jeu.
Bref, tout est réuni pour que cette première édition se déroule sur les chapeaux de roues et ouvre la voie, pourquoi pas, à d’autres éditions futures.
Vendredi 26 juillet 2019, par un temps beaucoup moins chaud que la veille, trois personnes inscrites à la balade guidée de la ville d’Airaines (Somme) sont accueillies par Sandra Baudelot et Gwendoline Brazier-Duvalanimatrices du tourisme local de la CC2SO.
Au départ du local des services à la personne, Sandra remet une brochure explicative du circuit effectué ce matin :
Une ville riche en monument historique et chargé d’histoire !
Le groupe part en direction des tours de Luynes, tout en marchant, Sandra commente l’architecture des habitations de la rue Aristide Briand : « Vous pouvez y voir un côté bois, un côté brique rouge… ».
Ça monte en direction des deux châteaux et de la place des anciennes halles de la ville !
L’arrivée aux tours de Luynes offre un magnifique panorama aux visiteurs.
Nathalie très intéressée « par l’histoire qui est riche à Airaines », prend des notes des commentaires et des lieux à revenir visiter, Denise, native d’Airaines n’est pas surprise de la qualité de la visite, elle confie : « On venait aux tours pour tirer les pigeons quand on était gamins ! Mon grand-père y était régisseur, j’y ai même gardé des moutons ! ».
Une des premières villes électrifiées
Denise connaît bien la ville, elle écoute avec attention les commentaires de Sandra, elle ajoute un peu d’histoire à l’histoire !
La place des anciennes halles recevait à l’époque le marché tous les lundis et vendredi, ainsi que trois foires par an : « La fête Saint Luc en mai, la Saint Rémi en octobre et la Saint-Clément en novembre ».
Le groupe se dirige ensuite vers l’église Notre Dame et le prieuré, en passant par le moulin, pour ensuite redescendre vers l’Hôtel-Dieu (Maison de retraite).
La source d’Airaines possède encore des puits tournants ! Airaines a été une des premières villes de France à être électrifiée grâce à l’eau et au moulin.
Le groupe se dirige ensuite vers le cœur de la ville pour y découvrir d’autres monuments et endroits chargés d’histoire !
« L’objectif de ces visites est d’aller récolter le savoir, en créant un échange et des rencontres de gens intéressés et passionnés » conclut Sandra.
Gratuit et ouvert à tous. Tous les vendredis à 10 h, pendant tout le mois d’août, sur réservation au Bureau Info Tourisme de Poix-de-Picardie au 03 22 41 06 05 ou sur tourisme@cc2so.fr
Dès la rentrée de septembre 2019, une quarantaine de collégiens et de lycéens vont pouvoir s’inscrire à la deuxième session Brevet d’Initiation Aéronautique. Une formation de 40 heures qui va s’étaler le long de l’année scolaire, avec un diplôme agréé par l’Éducation nationale.
« C’est un diplôme qui rencontre de plus en plus d’intérêt auprès des entreprises, sachant que la formation est quasiment du même niveau que celle des pilotes d’avion privés », informe-t-on du côté de l’aérodrome de Meaux-Esbly, qui a monté en 2018 « l’École aéronautique des cadets du Pays de Meaux » pour encadrer les cours et toutes les initiations.
Des cours théoriques sont donnés sur la dynamique de vol, la réglementation aérienne, la météorologie, la navigation, l’histoire de l’aviation et les aéronefs. Mais l’aérodrome de Meaux-Esbly a voulu « aller plus loin que ce que propose la formation ».
Lors de la première session de 2018-2019, les élèves sont, entre autres, partis à la découverte du musée de l’Air et de l’Espace au Bourget, ont effectué des simulations de vol en avion à Roissy, visité une base aérienne militaire et assisté à quatre conférences présentées par des professionnels : un représentant de l’armée de l’Air, une contrôleuse aérienne, un mécanicien et un pilote d’Airbus A330.
Chaque élève a également pu profiter d’une séance de 30 minutes de vol sur l’aérodrome de Meaux-Esbly, en plus de 30 minutes en ULM (planeur ultra-léger motorisé). Certains élèves avaient pu en profiter pendant une heure, une récompense pour ceux qui avaient obtenu la mention « bien » à leur diplôme.
Deux réunions d’information vont se tenir à la rentrée, à l’attention des élèves et de leurs parents. Collégiens et lycéens pourront alors s’inscrire à ce moment-là.
La première réunion se déroulera au lycée Pierre de Coubertin, à Meaux, vendredi 13 septembre 2019 à 18 h 30 ; elle s’adressera aux établissements scolaires Coubertin, Bossuet, Baudelaire et Jean Rose. La deuxième se tiendra vendredi 20 septembre 2019 devant les parents d’élèves des lycées Moissan, Jean Vilar et du collège Sainte Marie.
De plus en plus d’élèves
Alors que 19 élèves ont été encadrés l’an passé pour passer le BIA, la formation s’ouvre à 40 personnes cette année. L’aérodrome de Meaux-Esbly affirme que « le nombre augmentera de plus en plus à chaque session », et « répond à la volonté du Pays de Meaux de développer son pôle de formations et de compétences dans le secteur de l’aéronautique ».
L’inscription est de 245 € par élève, payable en plusieurs fois.
Camille Lopez est-il en danger après sa prestation très moyenne au pied face à l’Ecosse ?
Toutes les grandes équipes ont un point commun : un grand buteur. Sans ça, difficile de pouvoir rivaliser, surtout sur la scène internationale. Carter, Steyn, Wilkinson… voici les canonniers des dernières équipes championnes du monde. Avouez-le, ça a de la gueule.
Le XV de France, lui, sans prétendre être l’un des deux-trois favoris à la Coupe du monde au Japon, s’interroge toujours sur son buteur en chef. Lors du premier match de préparation, Camille Lopez a déçu. L’ouvreur de Clermont n’a signé qu’un petit 3/6, très loin des canons exigés au plus haut niveau, tournant autour des 85/90% de réussite. Samedi 24 août, à Edimbourg, place est faite à Thomas Ramos (24 ans ; 5 sélections). Peut-il être l’homme providentiel ? Le Toulousain abat une grosse carte, c’est certain.
Lopez n’est pas buteur en club
En ce qui concerne des buteurs, le groupe du XV de France en dispose quelques-uns. Et pas des plus maladroits. Serin et Machenaud assurent avec l’UBB et le Racing 92 (réussite tournant entre 83 et 86%). Ramos, lui, a fini meilleur réalisateur de la dernière saison. Mais son taux est tout juste inférieur à 80%, en raison notamment d’un nombre plus conséquent de tentatives.
Et Lopez dans tout ça ? Il n’est pas le buteur attitré de Clermont, finaliste du dernier championnat. Morgan Parra assure cette charge, et quand il n’est pas là elle revient à l’Ecossais Greig Laidlaw. Alors oui, Camille Lopez n’a raté qu’une seule tentative en Top 14 cette saison… mais pour seulement douze tentatives. Le XV de France peut-il se permettre d’aller au Japon avec comme buteur n°1 un joueur qui ne l’est pas en club ?
Si la confiance n’est pas donnée à Camille Lopez, cela devrait contraindre le staff du XV de France à s’adapter. Intégrer Serin ou Machenaud en tant que titulaire à la mêlée ? Cela semble peu probable, Antoine Dupont ayant clairement pris un temps d’avance sur les deux hommes.
Reste donc la solution Thomas Ramos. À Edimbourg, il sera sous le feu des projecteurs. Et son intégration provoque le sacrifice de Maxime Médard, pourtant très bon lors du premier test contre le XV du Chardon. Si le Toulousain enquille comme il faut ce week-end, il pourrait marquer de gros points pour une place de titulaire. Mais peut-on se passer d’un Médard en forme ? Sérieux casse-tête.
Ramos en 15… ou 10 ?
Une option existe : celle de placer Ramos… à l’ouverture. Il y a fini la saison avec le Stade Toulousain, avec plus ou moins de succès. C’est aussi son poste de formation. Les garanties ne sont toutefois pas énormes, et au plan international il est vital d’avoir un ouvreur bien installé. Bref, il y a peu de chances que cette expérience soit tentée.
Ramos sait qu’il a son destin en main. S’il performe à Edimbourg, il peut être l’arrière des Bleus pour le Mondial. Et son coéquipier de club Maxime Médard en sera la principale victime. Dans le cas contraire, le staff des Bleus serait dans l’urgence de trouver une solution fiable…
Les malfaiteurs avaient repéré leur victime et ne lui ont laissé aucune chance. Jeudi 22 août, une femme de 66 ans marche le long de l’avenue John-Kennedy, à quelques pas du centre-ville de Saint-Gratien(Val-d’Oise) lorsqu’elle surprise par deux individus.
Ces derniers lui arrachent son collier en or et prennent la fuite à pied. Ils sont récupérés un peu plus loin par un complice qui les attendait dans une Alfa Roméo grise qui démarre en trombe.
L’Alfa Roméo repérée
En état de choc, la victime est prise en charge par les secours avant de porter plainte au commissariat. Grâce à la description donnée du véhicule, les policiers retrouvent rapidement la trace de celui-ci.
Vers 16h, un équipage de la Bac repère l’Alfa Roméo stationnée avenue de la République, à Épinay-sur-Seine (Seine-Saint-Denis). La voiture est vide. Les fonctionnaires décident alors d’effectuer une surveillance discrète du véhicule. C’est ainsi qu’une heure plus tard ils aperçoivent un individu qui monte à bord. Le suspect est interpellé avant d’avoir le temps de filer.
Âgé de 29 ans et domicilié à Épinay-sur-Seine, l’homme n’a toutefois pas été retrouvé en possession du collier volé. Il a été placé en garde à vue. Ses complices sont toujours recherchés.
75 ans après la libération de la Côte fleurie (Calvados), de Sallenelles à Honfleur, des cérémonies commémoratives, visites et autres moments forts seront organisés pour se souvenir jusqu’au 25 août 2019. Vendredi 23 août 2019, des cérémonies étaient organisées à Tourgéville, Blonville-sur-Mer et Bénerville-sur-Mer.
Les commémorations du 75e anniversaire de la Libération de la Côte fleurie se poursuivent avec ce matin une cérémonie à Tourgéville en présence notamment de Jorge Sanjinez Lenz, vétéran péruvien (brigade Piron) de 102 ans. Une stèle en hommage à la brigade Piron a été inaugurée. pic.twitter.com/IHta7nD8L3
A la cérémonie, étaient notamment présent un détachement des forces armées belges, un peloton de la Base d’Evreux, deux trompettistes militaires de Bordeaux et des vétérans de la brigade Piron. Jorge Sanjinez, un vétéran péruvien de 102 ans. Il a participé avec les Belges de la brigade Piron à la libération de la Côte fleurie dans le Calvados et il revient en Normandie pour la première fois.
xavier verzina, affecté au 1° rgt d’artillerie, monte en ligne sur le front de Hollande avec la brigade Piron jusqu’à la capitulation du 8 mai 1945. Aujourd’hui à 10h00 à Tourgeville, 11h30 à Blonville et 15h à Bénerville-sur-Mer @EmmanuelMacron@AssembleeNatpic.twitter.com/wdUeCiVYIR
A Bénerville-sur-Mer : inauguration de la place de la Brigade Piron
A 15 h, la dernière cérémonie de la journée s’est déroulée à Bénerville-sur-Mer, rue Emile Lietout, en présence des cinq vétérans de la brigade Piron : Jean Martial, Jorge Sanjinez, Edmond Gillis, Henri d’Outremont et Xavier Verzin.
Pour terminer cette nouvelle journée de cérémonies du 75e anniversaire la Libération de la Côte fleurie, la stèle et la place de la brigade Piron ont été inaugurées à Bénerville-sur-Mer. pic.twitter.com/YhzPgCv9kY
A cette occasion, une stèle rendant hommage à la brigade Piron a été inaugurée. Ainsi que la place portant également le nom de la brigade libératrice de la commune.
Jacques Marie, maire de la commune, a exprimé sa reconnaissance aux vétérans présents :
La reconnaissance est marquée dans le marbre à tout jamais. Vous êtes arrivés, anciens de la brigade Piron, mais jeunes à l’époque dans nos villes occupées et dévastées.
Pour nos vétérans , ces moments ne sont pas l’Histoire mais des souvenirs. Souvenirs de leurs 17 ans quand ils s’engagent. Souvenirs de leurs camarades disparus à côté d’eux. Souvenirs de bruit des balles et des éclats d’obus. Souvenirs des cris des blessés.@AssembleeNatpic.twitter.com/XTuGQIX8vl
Alors que le maire sortant ne s’est pas encore prononcé et que l’opposition menée par Olivier Colin est en phase de réflexion, Didier Fragassi, 64 ans, est le premier candidat officiellement déclaré à Houlgate. « Ma profession d’avocat me conduit naturellement à entendre les gens et à essayer de résoudre leurs problèmes. Il doit en être de même pour un maire, il doit savoir être à l’écoute et défendre ses dossiers » estime-t-il.
Même s’il se défend d’agir en réaction aux profonds désaccords qui l’opposent au maire actuel, Didier Fragassi pense
qu’on peut adopter une autre gestion de la ville. Il faut qu’Houlgate avance, aujourd’hui, elle est stagnante, il y a des choses à mettre en place.
Habitant de Houlgate depuis dix ans, Didier Fragassi annonce « pouvoir être présent à la mairie au quotidien, car maire, c’est un emploi à temps plein ». S’il est élu, il souhaite mettre en place une consultation de la population, « c’est indispensable ».
Une démocratie participative qu’il entend défendre :
en instaurant, par exemple, des référendums sur les grandes décisions qui concernent la vie des Houlgatais.
Il s’appuye pour l’exemple sur des décisions de la mandature actuelle qu’il aurait lui-même souhaité soumettre à la population :
Le logo de la ville, j’aurais consulté la population pour savoir dans un premier temps si les Houlgatais jugeaient que c’était nécessaire, puis en leur soumettant des propositions. Pareil pour la voirie : à quel endroit intervenir en priorité, etc.
Une liste constituée aux deux tiers
De son propre aveu, Didier Fragassi n’a pas encore bouclé sa liste, « elle l’est aux deux tiers » assure-t-il.
Toutes les personnes qui m’entourent sont solides et parfaitement représentatives, sociologiquement, de notre ville. Avec elles, je sais que les valeurs de proximité, de disponibilité et de concertation, qui me sont chères, porteront leurs fruits. Cette concertation sera élargie au personnel communal, à tous les commerçants et bien sûr aux habitants.
À sept mois des élections, le candidat se garde évidemment de révéler le moindre nom, « il est encore trop tôt » précise-t-il, mais une seule certitude : son épouse Litzy sera à ses côtés, « non pas parce qu’elle est mon épouse, mais parce qu’elle est compétente et qu’elle a le sens de l’intérêt commun. Ce qu’elle fait pour l’Amicale Laïque, dont elle est présidente, elle peut le faire à une plus grande échelle, toujours pour servir l’intérêt général ».
Didier Fragassi a nommé sa liste « Ensemble, Houlgate Autrement » et souhaite qu’elle soit apolitique, « ce qui m’intéresse, ce sont les compétences ».
Il avait échappé aux tentatives de capture des pompiers, gendarmes et cellule spécialisée
L’animal d’environ 80 centimètres se baladait en effet en liberté, sans indication concernant sa provenance et l’animal avait réussi à échapper aux pompiers et gendarmes, cherchant évidemment à le capturer pour éviter un drame.
Le maire de Reffannes avait donc pris la décision de sensibiliser les usagers de la route à travers des panneaux, afin d’éviter que cette histoire insolite se transforme en drame.
Des panneaux « Attention danger – kangourou en divagation »
Des affiches, « ATTENTION DANGER – KANGOUROU EN DIVAGATION », avaient alors été installées, circulant également sur les réseaux sociaux pour son côté insolite.
Malgré ces précautions, un accident n’a pu être évité, jeudi 22 août 2019, lorsque le fameux wallaby a fait sa réapparition, « non loin d’où nous avions perdu sa trace » précise le maire.
Il a malheureusement été heurté par une voiture et n’a pas survécu.
Elle est devenue une tradition de l’Envol et de l’été toulousain. Elle est de retour… C’est la Flower Power, une soirée où les fleurs seront de la partie pour cette soirée hippies aux portes de Toulouse. Un événement à ne pas manquer avant la rentrée.
Fleurs, années 70, ambiance décontractée…
Les pieds dans le sable avec un coucher de soleil et cocktails à seulement quelques minutes de Toulouse… C’est ce que vous propose l’Envol Côté Plage à Balma (Haute-Garonne). Pour sa dernière soirée à thème de la saison, la direction a organisé l’une des soirées les plus attendues de la fin d’été : la Flower Power.
Avec de nouvelles décorations, de nouveaux shows, et des cadeaux c’est l’ambiance garantie. Voilà ce que vous réserve cette soirée mythique pour vous rendre heureux en cette fin d’été.
Aux platines Matt Mendez, Mme Gaultier, Joy Nickson…
Côté ambiance musicale, c’est la DJ Mme Gauthier qui sera aux platines pour cette soirée qui promet d’être un beau soir d’été du côté de Lasbordes. Mais il y aura également les DJ’s toulousains comme Matt Mendez, Arnaud Cherubin ou bien encore Joy Nickson le DJ résident de l’établissement Ma Biche sur le Toit en plein centre ville de Toulouse.
Le rendez-vous est fixé à 19h30. Attention, pour participer il faudra sortir les chemises bariolées, les fleurs, les lunettes et pourquoi pas vos plus belles perruques. L’entrée est prioritaire aux personnes déguisées…
Infos pratiques : Flower Power, mercredi 28 août 2019, à L’Envol Côté plage, à partir de 19h30. 32 avenue Jean-René Lagasse, à Balma.
Infos au 05 61 24 59 08.
Entrée 20 euros avec conso. Réservation sur le site du restaurant ou sur la billetterie pour prendre votre entrée en amont.
« Dans ma tête, c’est un bordel d’émotions ! Je suis soulagé, triste, et en même temps je suis content, ému, fier. »
A quelques kilomètres de Couture-sur-le-Loir (Loir-et-Cher), son point de chute, le militaire Charles V.* a du mal à exprimer ce qu’il ressent.
Il faut dire que le jeune homme vient de traverser neuf départements et trois régions… À pied. Une randonnée de 27 jours au départ de la 3e compagnie du 16e bataillon de chasseurs à pied de Bitche, en Moselle, où il a passé neuf ans.
« Je voulais affronter le monde »
À 28 ans, ce caporal-chef tire un trait sur sa vie militaire. Il explique simplement :
J’ai vu ce que j’avais dans le bide.
C’est d’ailleurs en partie pour « voir » ça qu’il s’est engagé à 18 ans, le 4 octobre 2010.
Le côté mythique, prestigieux du métier m’attirait. Je voulais faire quelque chose qui me permette de sortir de ma bulle, d’affronter le monde. Bon, là, du coup, c’était au sens littéral du terme.
Des missions en Afghanistan et en Centrafrique
En 2012, il part six mois en Afghanistan. Puis en Centrafrique, quatre mois en 2014. Deux missions difficiles.
En Afghanistan, nous devions protéger des convois, la France se désengageait progressivement de la zone. Le but était aussi d’annuler la menace terroriste.
En Centrafrique, l’objectif n’est pas le même. La situation sur place non plus. « Disons que les affrontements sont plus liés à des rivalités ethniques, tribales, qu’à du terrorisme. Les populations sont face à ça et nous devions les protéger. »
A regarder : un reportage vidéo de l’AFP sur le 16e bataillon de chasseurs à pied
Un retour en France difficile
Là-bas, le choc culturel est rude.
C’était plus violent qu’en Afghanistan. Puis les gens parlaient français. Avec leurs mots, ils pouvaient nous atteindre. On passait nos journées à se faire insulter… Heureusement, il y avait aussi des gens très heureux de nous voir !
Le retour en France a été compliqué à gérer. « On avait pas mal ramassé. Physiquement et psychologiquement », rapporte Charles, sobrement.
Il veut devenir éducateur sportif
Après toutes ses expériences, Charles ressent l’envie de passer à autre chose.
Avec l’aide de Pôle Emploi Défense Mobilité, il choisit de se reconvertir. En septembre, il débutera un BPJeps au Creps de Bourges pour devenir éducateur sportif.
Mais avant, c’est par une randonnée de 662 kilomètres qu’il décide de quitter sa vie militaire. « Je voulais réfléchir, il me fallait une charnière. »
Des marques de soutien sur la route
Parti le 20 juillet de Bitche, il marche seul cinq heures par jour en moyenne. Et c’est seul, aussi, qu’il tient à y arriver.
J’avais tout dans mon sac, ça me rassure. Je n’ai pas réussi à passer le cap psychologique d’aller frapper à la porte des gens pour demander l’hospitalité. Je n’ai pas de mots à mettre là-dessus pour expliquer pourquoi je n’y arrive pas. Peut-être un jour ?
Chaque jour, il partage son parcours sur les réseaux sociaux.
J’avais créé un compte Snapchat, appelé Res non verba 3. Et ça a eu un franc succès. J’ai eu 1 000 vues sur une de mes stories (N.D.L.R. courte vidéo). C’est assez énorme pour un projet personnel.
Sur la route, il reçoit de nombreuses marques de soutien : des habitants mais aussi des gendarmes « qui m’ont apporté les croissants. Au final, j’étais seul sans être seul ».
Après 27 jours de marche, il est arrivé à Couture-sur-le-Loir, sa ville natale. Il y a retrouvé sa famille, avant d’entamer une nouvelle vie, dans le monde civil cette fois-ci.
*Il ne souhaite pas donner son nom de famille, étant toujours militaire jusqu’au 27 juin 2020.
Paisibles hors saison, les communes de la Côte de Nacre, près de Caen (Calvados), s’animent dès que le soleil réchauffe le sable. Cette année 2019 n’a pas dérogé à la règle : la population des stations balnéaires passe du simple au double, voire au triple, en juillet et août. Maire-adjoint en charge de l’urbanisme à Ouistreham, Bruno Hitier indique ainsi :
Durant l’année, nous comptons environ 9000 habitants et passons à 130 00 l’été, avec les résidences secondaires, le camping… Mais la fréquentation peut jusqu’à 45 000 personnes par jour dès qu’il fait beau.
À Luc-sur-Mer, autre grosse station du littoral du Calvados, le nombre d’habitants passe de 3500 à 10000. Un chiffre obtenu en se basant sur la consommation d’eau potable de la commune. Olivier Laurent, maire-adjoint, précise :
Notre spécificité, c’est qu’on compte seulement un tiers de résidences secondaires, contrairement à nos voisines.
De 2 500 à 9 000 à Saint-Aubin
À Saint-Aubin-sur-Mer, par exemple, le taux de résidence secondaire atteint encore 47%, même si ce chiffre est en baisse ces dernières années. La population, de 2 500 habitants en temps normal, monte à 5 000 en été, avec un pic à près de 9 000 durant le week-end prolongé du 15 août. Jean-Paul Ducoulombier, le maire de Saint-Aubin, apporte une explication :
Le camping accueille 2000 personnes tout au long de l’été. Mais la Côte de Nacre se transforme peu à peu en destination de courts séjours. Les gens ne restent plus trois semaines comme avant.
Dans la foulée des festivités du 75e anniversaire du Débarquement, les moins de juin et juillet se sont révélés très positifs sur le plan touristique. « Les restaurateurs ont bien travaillé », apprécie Jean-Paul Ducoulombier. Comme les commerçants de Ouistreham, eux aussi satisfaits de leur été, ils espèrent une belle arrière-saison.
Les élus de la Côte de la Nacre ont également apprécié la présence des renforts de gendarmerie, avec l’installation d’un poste provisoire à Luc-sur-Mer fort de 10 militaires, dont un policier allemand
A 4 ans, Anne-Sophie Berring enfilait pour la première fois ses chaussons. La gérante de Flic Flac, enseigne d’articles de danse, s’est installée dans la boutique éphémère de la rue de l’Île à Sablé (Sarthe) mardi 20 août 2019.
Costumes, chaussons, chaussures, justaucorps ou tutus, les passionnés devraient trouver leur bonheur. « Je propose des articles aussi bien à destination des hommes, femmes ou enfants et pour toutes les danses : classique, modern jazz, danses de salon, salsa, claquette ou encore flamenco », sourit la commerçante.
« J’ai toujours baigné dans le monde de la danse »
Flic Flac, c’était d’abord un magasin à Angers (Maine-et-Loir). « Depuis toute petite, je m’y rendais régulièrement. Et puis, la propriétaire souhaitait prendre sa retraite et trouver un repreneur. Alors je me suis dit, pourquoi pas moi ? », se souvient avec émotion Anne-Sophie.
Il faut dire qu’elle connait le monde de la danse sur le bout des doigts.
Cela fait maintenant 15 ans que je me produis auprès de diverses compagnies, dont L’Eventail à Sablé.
A la différence des magasins de sport classiques, Anne-Sophie propose des articles de grandes marques de danse « qui sont forcément plus chers mais qui dureront plus longtemps », souligne-t-elle.
La jeune commerçante a fait le choix de ne pas créer de boutique fixe.
« Cela me permet de faire découvrir mes produits un peu partout dans la région. Laval et Le Mans ne possèdent pas de boutique spécialisée, voilà pourquoi j’ai commencé par Sablé pour présenter mes produits. Elle est un peu à la jonction de ces deux pôles. Je songe aussi à aller en Vendée et même du côté de Saumur », annonce-t-elle.
Un nouveau site en préparation
De plus, ses ventes sont très saisonnières. « A la rentrée et aux mois de mai et juin, en période de gala, les clients sont en recherche de nouvelles tenues. C’était pour moi plus pratique de fonctionner ainsi », explique-t-elle.
Et puis, ce que la danseuse aime par dessus tout, « c’est aller à la rencontre des gens. Je me rends aussi dans les écoles du secteur pour savoir ce dont elles ont besoin. Je travaille avec le Conservatoire du Mans et de Laval. Je suis même allée jusqu’à Téloché ».
L’Angevine de 38 ans a déjà des idées pour la suite de son activité. « J’aimerais me déplacer à domicile pour proposer à plusieurs personnes des essayages et prendre le temps de bien conseiller mes clients. C’est important car certains articles doivent être bien adaptés à la personne comme les chaussons de danse par exemple », souligne-t-elle.
En attendant, les clients peuvent se rendre au domicile d’Anne-Sophie pour des essayages sur rendez-vous à Morannes-sur-Sarthe ou consulter son site internet « que je suis en train de relooker », termine-t-elle.
La boutique fermera ses portes à Sablé samedi 31 août à 19 h.
Flic Flac dans la boutique éphémère de la rue de l’Île à Sablé.
Ouverture tous les jours sauf le dimanche de 10 h à 19 h. Samedi 24 août, elle sera exceptionnellement ouverte uniquement de 10 h à 12 h 30.
Contact au 06 49 55 22 09. La boutique en ligne est à retrouver ici.
Le festival « Senlis en musique », c’est 3 jours, 3 événements, et 3 spectacles musicaux qui auront lieu dans La Chapelle royale Saint-Frambourg, un lieu unique et chargé d’histoire.
Demandez le programme
Le premier jour le festival va accueillir la pianiste géorgienne Khatia Buniatishvili qui a joué pour le Concert de Paris, au Champ-de-Mars le 14 juillet.
Elle va interpréter un récital où Beethoven, Litszt et Stravinsky seront réunis.
Samedi c’est Vincent Vinel le finaliste de The Voice 6, qui va chanter avec des jeunes Senlisiens. D’abord seul et après avec trois jeunes talents qui ont entre 14 et 17 ans.
Vincent Vinel avait été repéré dans l’émission en ré-interprétant le titre de EminemLose Yourself.
Lorenzo de la Rochefoucauld créateur du festival Senlis en musique, est tombé sous son charme artistique :
Il a une vraie signature vocale, c’est un artiste complet, compositeur et interprète. La nature lui a donné une voie exceptionnelle, il a développé une oreille absolue. Il a un talent monstrueux, il compose chaque jour, un tube.
Le festival donne place aux jeunes Senlisiens. Pour conclure ces 3 journées, l’école violonissimo qui accueille de jeunes enfants viendra donner un concert sous la direction de Gaëlle Delvaux.
Le festival « Senlis en musique » mêle les registres musicaux et met en valeur la jeunesse, puisque le plus jeune artiste aura 8 ans.
Rendez-vous le 6, 7 et 8 septembre à la Chapelle royale Saint-Frambourg de Senlis
Informations pratiques : Chapelle Saint-Frambourg 2 place Saint-Frambourg 60300 Senlis. Les tarifs : Vendredi : plein tarif 30 euros et tarif réduit 15 euros pour les – 18 ans et les demandeurs d’emploi. Samedi : plein tarif 15 euros et gratuit pour les – 18 ans. Dimanche : gratuit pour tous. Cliquer ici pour réserver.
Une femme de 61 ans circulait à vélo sur la route du Petit Moulin, à Plaine-Haute, près de Saint-Brieuc lorsqu’elle a été renversée par une voiture. Blessée mais consciente, elle a été transportée à l’hôpital de Saint-Brieuc.
L’accident s’est produit un peu avant 17h30.
Il semblerait que la cycliste ne portait pas de casque lorsqu’elle a été prise en charge par les secours, en premier lieu les pompiers puis par une équipe du Smur de Saint-Brieuc.
Les circonstances de l’accident ne sont pas encore connues.
Mercredi 21 août, vers 4 heures du matin, un violent incendie s’est déclaré au magasin Gimazane Meuble Salon Literie, rue Henri-Cornat, à Valognes.
Un sinistre qui aura nécessité l’intervention de pas moins d’une cinquantaine de soldats du feu. Les dégâts sont considérables. 500 m2 de surface (sur 1200 m2 ) sont partis en fumée, mais fort heureusement, aucune victime n’est à déplorer.
Le patron, Eric Gimazane, explique :
Toute la partie commerciale est détruite avec évidemment ce qu’il y avait dedans (entre 80 et 90% du stock du magasin), seuls ont été sauvés les bureaux (administration, comptabilité, gestion) et la partie livraison. Quant à notre dépôt, il est distant, donc il n’a pas été touché. Aujourd’hui, je tiens à remercier toutes les personnes qui nous ont apporté leur soutien d’une façon ou d’une autre, le personnel, et les sapeurs-pompiers qui ont extrêmement bien géré le problème. Parmi les difficultés, il y avait en effet une cuve à fioul, et il fallait absolument éviter que ça explose.
Dès le lendemain, direction et employés étaient déjà en ordre de marche pour assurer la suite de l’activité. Ce qui va pouvoir se faire, presque normalement.
Nous allons reprendre les livraisons avec une première tournée dès ce samedi (24 août). J’ai des fournisseurs qui me dépannent et qui vont me fabriquer des meubles en huit jours, ce qui va nous permettre de satisfaire notre clientèle dans des délais très corrects. Nous avons trouvé deux dépôts pour préparer la foire de Lessay (du 6 au 8 septembre) dans la zone d’Armanville.
Quant à la partie commerciale, elle va être délocalisée au magasin Gimaflex, boulevard de l’Est, à Cherbourg-en-Cotentin, du lundi au samedi. Une partie de l’équipe valognaise va donc se retrouver là également.
Par ailleurs, Eric Gimazane a commencé à visiter plusieurs sites pour installer un local de vente dans les semaines à venir, en attendant la reconstruction du magasin de la rue Henri-Cornat.
Je sais que cela va être long, un an et demi, deux ans… La vie d’une entreprise, c’est un peu comme la santé, il y a des moments plus ou moins faciles. Mais tout le temps que l’on a l’énergie et le moral, on peut relever le défi, et nous comptons bien malgré tout fêter notre centième anniversaire l’année prochaine !
Au total, sur ses différents sites, l’entreprise bien connue dans le Cotentin comprend 25 salariés.
Renseignements pour le suivi des commandes à Valognes : 02 33 40 07 72. info@mgimazane.fr
Donald Trump, le président des Etats-Unis, arrive à Biarritz (Pyrénées-Atlantiques) ce samedi 24 août dans le cadre du G7.
Pour l’occasion, le maire de Libourne (Gironde), Philippe Buisson et le maire de Bordeaux, Nicolas Florian vont offrir à Donald Trump un premier grand cru classé de Saint-Émilion (Gironde).
Deauville. Pour sa 3e édition, 24 hours for the ocean propose un programme riche et varié avec un concert subaquatique, une conférence, des expositions ou encore une projection.
Samedi 24 août l’événement 24 hours for the ocean reviendra à Deauville pour sa 3e édition sur la thématique « Art et environnement ». Depuis juillet 2017, l’association Time for the Ocean a pour ambition d’alerter et de sensibiliser le grand public sur l’urgence de se mobiliser contre la pollution des océans due aux déchets plastiques. Cette année, l’accent est tout particulièrement mis sur l’art. Après un ramassage de plastique à 10 h 30 sur la plage, en partenariat avec la communauté de communes Cœur Côte fleurie, plusieurs rendez-vous seront proposés dans la journée. Samedi 24 août, de 10 h 30 à 21 h 30, à Deauville (piscine, point de vue, casino…). Renseignements sur indeauville.fr.
Villers-sur-Mer. Journée des peintres. Un concours de peintres est organisé samedi par les commençants et artisans de Villers-sur-Mer en partenariat avec le Pôle Animations et Sports de la SPL Deauville. Réalisez un tableau de Villers-sur-Mer en seulement 8h ! La remise des récompenses aura lieu à 18 h 30 au Villare. Samedi 24 août, à partir de 10 h. Inscriptions au Villare, au Bureau d’Information Touristique, ou à la Cave de la Plage, 2 rue du Maréchal Foch.
Deauville. Après une première édition des Ballets russes en 1912 au théâtre, le Festival de l’Art Russe, remis au goût du jour en 2018 est de retour. La deuxième soirée, samedi 24 août, est intitulée « La Boîte à Musique ». Le Théâtre du Casino Barrière Deauville aura l’honneur de recevoir le Ballet du Bolchoï représenté par une troupe constitué de la danseuse étoile Nina Kaptsova, des étoiles Artem Ovcharenko et Semyon Chudin, de la première danseuse Anna Tikhomirova, de l’étoile Denis Savin et la danseuse Natalia Filina. Il recevra également le théâtre Mariinsky (ex-Kirov), le théâtre Stanislavsky et Nemirovch-Danchenko ; à 19 h, au Théâtre du Casino Barrière Deauville. Tarif : à partir de 120€.
Jazzitudes. à 20 h 30 : Captain. Hommage à la reine de la soul, Aretha Franklin, avec le tout nouvel album Queen of Soul (sortie septembre 2019) au théâtre Lisieux Normandie (tarifs : 20 € et 15€*). À 21 h 45 : jam session ouverte par le trio Black Pantone au Bistrot Gourmand.
Vide-greniers. Cabourg. Vide-greniers.Samedi 24, dimanche 25 août, 9 h à 19 h, avenue de la Mer. Gratuit. Contact et réservation : cabourgretroshow2019@gmail.com Villers-sur-Mer. « Vide ton grenier ».120 exposants. Réservé aux particuliers, sur réservation. 4 € le mètre linéaire. Accueil des premiers exposants à 7 h. Validation des réservations au reçu du règlement. Restauration et WC dans le jardin. Samedi 24 août, 8 h à 18 h, jardin public, Brigade-Piron. Tarif : gratuit pour les visiteurs. Contact et réservation : 07 77 49 09 69, dan996turbo@gmail.com
Deauville. Dans le cadre du Meeting de Deauville Barrière, l’hippodrome de Deauville-La Touques propose trois journées de courses. Samedi 24, la journée sera dédiée à la reconversion des chevaux de courses avec l’association Au-Delà des Pistes et France Galop. Des pur-sang ayant entamé une nouvelle carrière sportive après leur carrière hippique effectueront des démonstrations de polo, de dressage, de sauts d’obstacles, de horse-ball etc. L’occasion de découvrir de nouveaux sports ! La journée sera inaugurée par un défilé d’anciens champions qui ont fait vibrer les fans de courses. Vendredi 23, samedi 24 et dimanche 25 août, à l’hippodrome de Deauville-La Touques, dès 13 h 20. Entrée à partir de 3 € en semaine et 5 € le week-end. Gratuit pour les enfants et les moins de 18 ans.
Fêtes. Samedi et dimanche, Épaignes sera en fête pour la Saint-Antonin (fête locale). Les festivités débuteront samedi à 18 h, dans le centre-bourg, avec un marché artisanal nocturne ouvert à tous les producteurs, transformateurs de produits et créateurs locaux ou régionaux. À 21 h 30, petits et grands seront conviés à participer à une retraite aux flambeaux animée par la parade « Horses Fantasy ». À 22 h 30, un feu d’artifice sera tiré au stade.Samedi 24 et dimanche 25 août. Inscriptions toujours possible pour le marché nocturne et repas champêtre au 02 32 57 88 30. Prix du repas : 17 € pour les adultes et 5 € pour les enfants. Le village de Saint-Hymer se prépare à célébrer la Saint-Firmin samedi et dimanche. Organisées par le Saint-Hymer en Fête, ces deux journées vous feront voyager dans le temps puisque le thème choisi par les organisateurs est le Far West. Samedi 24 et dimanche 25 août, à Saint-Hymer. Tél. 06 12 41 90 74.
Littérature. Créé en 2002 par la Compagnie PMVV le grain de sable, le festival des Rencontres d’été théâtre & lecture en Normandie met en scène la littérature sous toutes ses formes : spectacles, lectures musicales, repas-spectacles, rencontres et brunchs littéraires, promenades-lectures films, ateliers, concours d’écriture… Samedi 24 août à Dives-sur-Mer et Trouville-sur-Mer : Remise des prix du concours d’écriture, à 11 h, à la médiathèque Jacques Prévert (Dives-sur-Mer) ; Conférence-projection « Mémoires culinaires » à 18 h, au musée Villa Montebello avec Benoît Peeters et ses souvenirs gourmands, autour de son livre Comme un chef (en collaboration avec Aurélia Aurita). Spectacle « Les Ritals » à 21 h, à l’hôtel de Ville de Trouville avec Bruno Putzulu et Aurélien Noël (accordéon). Ils créent la première adaptation pour la scène du roman autobiographique de François Cavanna.
Cabourg. L’édition 2019 du Dîner sur la digue de Cabourg aura lieu samedi soir à partir de 19 h sur la promenade Marcel Proust, un événement convivial et riche en animations. Si les réservations sont closes depuis quelque temps déjà, les retardataires devraient pouvoir malgré tout s’installer autour des tables, puisque 250 places (reconnaissables à leurs nappes de couleur) seront réservées aux arrivants de dernière minute, entre l’avenue des Sycomores et l’avenue des Algues marines. Un conseil tout de même : arriver assez tôt pour pouvoir bénéficier d’une place à table.
Honfleur. Les Nouveaux Peintres de l’Estuaire au Petit Grenier à Sel de Honfleur. Pour sa deuxième exposition au Petit Grenier à Sel, l’association accueille trois invités d’honneur. Trois artistes sont cette année les invités d’honneur. Caroline Poirier et sa peinture abstraite et gestuelle, son époux Pierre Poirier, avec qui elle gère une galerie à Beaumont-en-Auge, et ses illustrations millimétriques étonnantes, et enfin David Béjuy et ses sculptures faites de pièces de récupération. Vernissage samedi 24 août à 18 heures. Jusqu’au 26 août. De 10h30 à 13h et de 14h à 19h. Petit Grenier à Sel, rue de la Ville.