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Parmi les formations proposées par l’Emba, des modules sports de raquette. (©EMBA.)

L’Ecole de management Bretagne-Atlantique (EMBA), école supérieure de commerce de la chambre de commerce et d’industrie métropolitaine Bretagne Ouest à Quimper (Finistère), renforce ses formations au sein de sa filière commerce-vente, et plus particulièrement dans les secteurs du textile et du sport.

Jean-Luc Youinou, responsable du pôle commerce, explique :

Ces cursus spécialisés permettent aux jeunes de développer des compétences techniques recherchées par les recruteurs, les entreprises. Ils acquièrent une connaissance du produit et du marché qui booste leur employabilité.

Les nouveautés

Vendeur conseiller commercial ou généraliste ou option cycle :

Ce diplôme de niveau bac forme des commerciaux capables de mettre en oeuvre les principales techniques de vente et d’organisation commerciale dans tous types d’unité commerciales.

Il est accessible aux titulaires d’un niveau 5 (BEP-CAP) ou d’une année de seconde. La formation est proposée en alternance sur une année en contrat d’apprentissage ou de professionnalisation.

Bachelor responsable opérationnel retail spécialisé textile :

L’EMBA ouvre en plus de son Bac + 2 spécialisé textile et habillement, un bachelor (Bac + 3) responsable de la distribution. Ce diplôme donne accès à des postes de responsable de magasin dans le prêt-à-porter et permet de répondre à des demandes spécifiques des enseignes.

BTS MCO spécialisé sport

L’EMBA propose, en plus de sa formation Gestionnaire d’unité commerciale sport (Bac + 2), un BTS Management commercial opérationnel Sport en cursus initial.

Marie Le Seac’h, responsable communication, souligne :

Le secteur du commerce des articles de sport est en forte expansion. Les métiers de la vente d’articles de sports emploient quelque 50 000 personnes en France et le recrutement est permanent.

Un nouvel atelier

L’EMBA dispose d’un nouvel atelier multisports de 140 m² équipés de 12 postes d’entretien-réparation cycle auxquels viendront s’ajouter 6 postes de cordage pour les sports de raquettes.

Journée portes ouvertes

L’EMBA organise une journée portes ouvertes samedi 7 mars où ces différentes formations seront présentées.

Infos pratiques
Journée portes ouvertes samedi 7 mars de 10 h à 17 h, à l’Emba, 1 avenue Plage-des-Gueux. 02 98 10 16 16. www.emba-bs.com

Claire Boitard présente un acte de mariage, l’un des documents familiers de l’Etat-civil (©d)

« C’est toute notre vie qui est tracée, du début à la fin ». Claire Boitard est responsable du service de l’Etat-civil à Rugles (Eure). « Je me suis formée dans les années 90 », explique l’employée municipale, à la mairie depuis trente ans. Alors, forcément, elle a été aux premières loges de l’évolution de son service.

Le plus vieux registre date de 1617

Un service qui date de l’après 1789. « Les registres de l’Etat civil furent créés après la Révolution, explique-t-elle. Avant, on parlait de registres paroissiaux ». D’ailleurs, le plus vieux retrouvé à Rugles date de… « 1617, précise Claire Boitard, preuve à l’appui avec le document historique. Depuis cette date, nous avons les registres de naissance, mariages et décès jusqu’à aujourd’hui ».

Tous les ans, depuis quinze ans, « nous restaurons entre trois et dix registres paroissiaux ». Conservés soigneusement dans une armoire.

Concrètement, l’Etat-civil c’est quoi ?

Cela consiste à créer un acte de naissance, de mariage ou de décès pour toute personne. Ce qui la situe dans la famille et dans la société.

Autrement dit, ce service suit et retrace précisément les étapes de chaque individu, de sa naissance jusqu’à sa mort, en passant par le mariage, le divorce, le pacs… « Le pacs fait partie des évolutions liées à nos activités, souligne Claire Boitard. Nous avons dû le prendre en compte ». Instauré en 1999, il est, avec le mariage civil, l’une des deux formes d’union reconnues par l’Etat.

Remerciements de la population

Dans les tâches quotidiennes :

Nous recevons beaucoup de demandes émanant d’avocats, de notaires et d’administrations, liées aux actes de naissance. Et ce même si Rugles n’est plus une commune de naissance depuis 1980 et la fermeture de la maternité.

En effet, malgré tout, « nous enregistrons les naissances hors communes des enfants domiciliés à Rugles ». En 2019, « nous avons eu treize mariages et 31 décès enregistrés ». Pour l’instant, en 2020, « dix mariages sont prévus ».

Le plus vieux registre paroissial de Rugles date de 1617, parfaitement conservé.

Autre activité récurrente, « la délivrance de passeports et de cartes d’identité. Les gens en ont toujours besoin ». Et quand les démarches se passent bien, c’est souvent le cas, « les Ruglois ressentent le besoin de nous remercier ». Comme si les employés municipaux avaient réalisé des miracles.

On reçoit parfois des boîtes de chocolats, des fleurs. Ce sont des gestes et des petites touches qui sont agréables.

C’est à ce moment-là que « nous percevons la satisfaction de la population ».

Cela fait partie de la vie de la commune en tant que mission régalienne. Les spécificités liées à chaque situation de l’individu, Claire Boitard les connaît par cœur, d’autant plus qu’on ne peut pas faire n’importe quoi avec de tels documents.

Présent à tous les moments

Par exemple, le livret de famille, il est possible d’en demander un duplicata, pour cela, il faut s’adresser à la mairie du lieu de domicile. Si les parents ne sont pas mariés, le livret de famille est délivré par la commune de naissance du premier enfant.

Concernant les actes de décès, « sur lesquels doivent figurer les mentions d’acte de notoriété, ils sont enregistrés en mairie du lieu de décès avec le certificat délivré par le médecin qui constate la mort ».

L’acte de transcription, quant à lui, est « un acte transmis par la commune du décès à la mairie du lieu de domicile ». Car, c’est aussi cela, le service de l’Etat-civil, « un lien important et une communication avec les autres communes ». Qu’elles soient euroises ou non.

Sur les actes de mariage, Claire Boitard explique que « les mentions de divorce ainsi que les mentions de changement de régimes matrimoniaux sont inscrites ». Des mariages dont « les dossiers sont à retirer dans les mairies où doivent se dérouler les cérémonies ».

Bref, l’Etat-civil concentre toute une forme de symboles, étant présent aux moments les plus importants d’une vie. Que les situations soient heureuses, joyeuses ou dramatiques et douloureuses, l’Etat-civil répond toujours présent, suivant la destinée de chaque être humain.

La liste accueille huit nouveaux habitants. (©Bellencombre )

Le projet phare du mandat de Thierry Prévost, s’il est élu à Bellencombre (Seine-Maritime), reste la construction d’une nouvelle mairie et d’un bureau de poste pour lesquels les permis de construire ont été accordés.

Il souhaite « continuer la rénovation des bâtiments communaux » mais aussi réaliser les « travaux d’accessibilité handicapés ».

La sécurité compte parmi les axes fixés par le candidat. Il entend réduire la vitesse notamment dans les rues des Authieux et Morégots. La mise en place de caméra de vidéosurveillance sera abordée.

Pour préserver les finances, le candidat souhaite réduire le nombre d’adjoints et envisage la création d’un gîte au presbytère. Par ailleurs, il entend mener avec son équipe une réflexion sur la fusion avec l’école de La Crique.

Comme dans toutes les communes, la défense incendie est au programme, sa réalisation est estimée à 450 000 €.

Ils se présentent
Le maire sortant Thierry Prévost, électricien, 43 ans est accompagné par les conseillers sortants : Jean-Pierre Legras, retraité, 72 ans, Jerome Barre, agriculteur, 52 ans, Christelle Lefrançois, commerçante, 54 ans, Sophie Leroy, infirmière, 50 ans, Ludovic Beux, agent d’exploitation, 50 ans et Severine Dubreuil, comptable, 43 ans. Huit nouveaux visages complètent la liste : Angélique Dufils, employé de banque, 40 ans, Annick Basile, comptable, 46 ans, Dylan Cousin, agriculteur, 24 ans, Céline Deschamps, commerçante, 36 ans, Benoit Lemarchand, commerçant, 35 ans, Antoine Mauger, électricien, 31 ans, Dominique Police, retraite, 62 ans et Gregory Rock, commercial, 33 ans.

Une quinzaine de parents a formé une chaîne humaine pour « demander des moyens et enrayer les phénomènes de violence qui ont lieu au collège ». (©Le Courrier du Retz )

Mercredi 4 mars 2020, une quinzaine de parents d’élèves s’est réunie dès 8 h, en chaîne humaine, devant le collège Saint-Exupéry, à La Montagne.

L’objectif : « continuer les actions pour demander des moyens et enrayer les phénomènes de violence qui ont lieu au collège », selon les parents d’élèves FCPE.

Violence latente

Les parents d’élèves soulignent :

Nous voulons symboliser notre souhait de protéger nos enfants contre cette violence latente, qu’ils se rendent compte que nous sommes là pour eux, et d’interpeller le Directeur académique des services de l’Éducation nationale (Dasen) pour que des moyens soient attribués au collège (un principal adjoint et plus d’heures qui permettent de mettre en place des projets).

Agression en février

En effet, depuis le début de l’année scolaire, des actes de violence verbale et physique ont eu lieu dans et aux abords du collège, entraînant un nombre important, comparé aux années précédentes, d’exclusions définitives d’enfants.

Les parents d’élèves parlent d’une première agression, en septembre 2019, d’un enfant de 6^e, et d’une autre, le 3 février 2020, sur un enfant de 4^e.

Une motion lue en conseil d’administration

Lors du dernier conseil d’administration du collège le 11 février, les parents FCPE avaient lu une motion, qui avait pour but :

de mobiliser l’ensemble de la communauté éducative concernant le bien-être de nos enfants et surtout pour leur permettre de vivre sereinement leur scolarité en prenant à bras-le-corps et collectivement les problèmes de violence latente.

Un rendez-vous avec l’inspection

Parmi les actions, des courriers ont été envoyés aux maires actuels et aux listes qui se présentent à la prochaine élection municipale, au département et à la direction académique.

Des parents d’élève avaient rendez-vous, mercredi 4 mars soir, avec l’inspection. « Nous avons des propositions concrètes à faire. »

Anthony Estève n’a pas pu participer au semi-marathon de Paris. (©Anne Bayard)

« J’étais très déçu », commente Anthony Estève. Le paraplégique bordelais a appris la veille du semi-marathon de Paris (Ile-de-France) que la course était annulée à cause de l’épidémie du coronavirus.

#Bordeaux : équipé d'un #exosquelette, Anthony Estève se prépare pour être le premier #paraplégique à franchir la ligne d'arrivée du @SemiParis ce dimanche. Un défi hors du commun qu'il a raconté à @ActufrBordeaux 👏👏 cc @hmutuelle pic.twitter.com/ehoORISFE0

— Actu Bordeaux (@ActufrBordeaux) February 28, 2020

Ce dimanche 1er mars, le jeune homme de 27 ans espérait être le premier paraplégique français à franchir la ligne d’arrivée d’un semi-marathon, avec l’aide d’un exosquelette.

« J’ai fait le semi-marathon des médias »

« Pendant des semaines, j’ai fait le semi-marathon des médias et au final, je n’ai pas pu faire la course, regrette-t-il. Bon, ce n’est que partie remise. On va essayer de trouver un autre événement. »

https://t.co/NR8U8h2qmq

— Actu Bordeaux (@ActufrBordeaux) February 28, 2020

Anthony Estève pourrait donc repousser son exploit à septembre 2020, date à laquelle le semi-marathon de Paris pourrait être reporté. « Je continue à m’entraîner et on étudie les possibilités », conclut-il.

Retrouvez les quatres candidats qui seront présents au premier tour des élections municipales Saint-Germain-en-Laye (Yvelines) le 15 mars.

Retrouvez les quatre candidats qui seront présents au premier tour des élections municipales à Saint-Germain-en-Laye (Yvelines) le 15 mars.

Les élections municipales à Saint-Germain-en-Laye (Yvelines) approchent à grands pas. Si vous souhaitez rencontrer les candidats et en savoir plus sur leurs propositions, voici les dates des prochaines réunions.

– La liste Audace pour Saint-Germain menée par Christophe Bentz organise une réunion publique le mardi 10 mars à 20h à la salle Jacques Tati 12 bis, rue Danès-de-Montardat avec la présence de l’ancien député des Yvelines et président du parti chrétien-démocrate Jean-Frédéric Poisson, et du député européen RN, Nicolas Bay. Informations et inscriptions : audacepoursaintgermain@gmail.com ou https://twitter.com/audacestgermain

– La liste Unis pour agir Saint-Germain-en-Laye/Fourqueux menée par Alexandre Grevet organise une réunion publique dans le cadre des municipales le jeudi 12 mars dès 20h à la salle Jacques-Tati 12 bis, rue Danès de Montardat. Au programme : présentation de la liste et du programme. Facebook @UnisPourAgirSGL ou mouvement.upa@gmail.com

– La liste Saint-Germain écologique et solidaire, menée par Keyne Richard organise plusieurs réunions de quartier. Le jeudi 5 mars à 20h, à l’école élémentaire Schnapper, 26, rue Schnapper et le jeudi 12 mars à 20h, au groupe scolaire Jean-Moulin (Bel-Air), 50-52, rue de l’Aurore. collectifcitoyengauche2020.sg@gmail.com Page Facebook : collectif citoyen de gauche pour saint germain

– La liste Union pour Saint-Germain/Fourqueux, menée par Arnaud Péricard a programmé plusieurs réunions : le 6 mars à 20h30 à l’école Giraud-Teulon (5, rue Giraud-Teulon), le 10 mars à 20h à l’école Alsace (26, rue de Noailles), le 12 mars à 20h à la salle du Colombier (146, Rue du Président-Roosevelt) et le 13 mars à 20h à l’éco Marie-Curie (73, boulevard Hector-Berlioz). Facebook Arnaud PERICARD 2020 ou ap2020.fr contact@ap2020.fr

Elmer Food Beat chantera les chansons de son sixième album. (© Jardins d’images / Renan Lanoë)

Le 21 juin 1986, une bande de cinq potes musiciens, âgés d’une vingtaine d’années, se retrouvent dans les rues de Nantes pour la Fête de la musique.

C’est le premier concert des Elmer Food Beat.

Deux ans plus tard, ils sortent leur premier album, et c’est le succès : leur rock alternatif plaît.

« Les paroles sont explicites. C’est nouveau. C’est drôle. C’est transgressif et donc jouissif. »

Mais quand la fatigue se fait sentir, les membres du groupe se séparent, en 1993.

Pour se reformer huit ans plus tard, avec Grand Lolo qui remplace Kelu.

Et c’est reparti.

En avril 2019, Elmer Food Beat sort Back in Beat, le 6^e album des désormais quatre garçons.

« Référence appuyée au Back in Black d’AC/DC, et aussi un retour aux sources pour le groupe tant il rappelle l’énergie de la scène. Du riff, du rock et du roll avec des chansons qui deviendront à n’en pas douter des standards du répertoire « elmeresque » comme Ça c’est rock, Quand la dame ou Lucille. Cet album est aussi un formidable hommage à Twistos comme AC/CD l’avait fait, en son temps, pour Bon Scott. Mais Back in Beat n’est absolument pas un album funèbre ou funeste. C’est un album fun ! »

Back in Beat, vendredi 6 mars à 20 h 30 au Bœuf-sur-le-Toit à Lons-le-Saunier. Tarif unique, libre debout : 25 €.

Vue 3D du projet de parc multisport prévu par l’équipe de Triel c’est vous sur les terrains de l’ancien parc municipal. (©Triel avec vous)

« Même si nous ne sommes pas élus, nous souhaitons que la future équipe municipale mette en œuvre ces deux projets qui vont redonner de l’attractivité à Triel. » Candidats à Triel-sur-Seine (Yvelines), Cédric Aoun et sa liste Triel c’est vous (déposée depuis le 17 février en préfecture) ont travaillé pendant près de cinq mois sur deux projets d’aménagement susceptibles selon eux d’emporter l’adhésion des habitants, « car ils protègent notre cadre de vie ».

Le premier concerne les terrains de l’ancien parc municipal.

Nous proposons de rouvrir le parc en y installant des équipements sportifs et en y aménageant deux cents places de stationnement. »

L’équipe de Triel c’est vous indique avoir réalisé une étude de marché pour définir les besoins. Le projet en 3D a été dessiné par plusieurs architectes à la retraite.

Dans ce parc multisport serait construit un grand bâtiment équipé d’une toiture végétalisée et d’une terrasse accessible au public avec vue panoramique. Un terrain multisport (basket-ball, handball, badminton, etc.) serait aménagé à l’intérieur.

C’est l’équivalent du terrain du Cosec. Ce nouveau terrain permettra de poursuivre les activités sportives, notamment les compétitions, pendant que l’on rénovera le Cosec. On ne se voit pas fermer le Cosec pour réaliser ces travaux nécessaires, sans proposer une alternative aux clubs. »

Stand de tir homologué police

Le bâtiment abriterait également un club-house avec une buvette, des vestiaires et sanitaires en sous-sol, des salles de préparation physique sur deux niveaux. Dans le prolongement, à l’extérieur, l’équipe propose d’y installer un nouveau skate-park (en remplacement de celui en bord de Seine).

Si un jour, les habitants décident qu’une piscine serait plus appropriée qu’un skate-park, on pourra le faire à cet emplacement. Cela été étudié pour. »

En extérieur, on trouverait également un parcours santé, une aire de jeux pour enfants et un terrain de basket (en remplacement de celui en bord de Seine).

Nous avons trouvé une solution pour avoir plus de policiers dans la commune sans que cela ne coûte un centime à la Ville. Nous prévoyons d’installer un stand de tir homologué police en sous-sol. »

Enfin, le projet prévoit trois niveaux de parking avec 25 places en aérien, 88 places en premier niveau de sous-sol et 88 autres en second niveau de sous-sol. « L’intérêt d’un tel projet c’est aussi qu’il permettra d’obtenir des subventions pour sécuriser la rue Paul-Doumer en élargissant les trottoirs et en aménageant une piste cyclable. »

Auditorium, médiathèque, parking…

Le deuxième projet se situe au niveau de l‘îlot théâtre, entre la Seine et la rue Paul-Doumer autour du théâtre Octave-Mirbeau.

Perspective en 3D du projet d’aménagement de l’îlot théâtre par l’équipe de Triel avec vous. (©Triel avec vous)

Après le sport, place à la culture. Triel c’est vous a réalisé un film montrant virtuellement le futur aménagement envisagé. En partant des bords de Seine, il est prévu un parking de cinquante places en lieu et place du terrain de basket du skate-parc qui seraient déplacés au parc municipal.

Nous prévoyons une place de marché d’une capacité de cinquante étals ainsi qu’une aire de jeux pour enfants. »

Le théâtre Octave-Mirbeau bénéficierait d’une extension, en clair un nouveau bâtiment accolé, avec en sous-sol, la création d’un auditorium d’une capacité de 250 places, des espaces de stockage pour le théâtre et deux locaux de répétition de musique. En rez-de-chaussée, se trouveraient la nouvelle entrée du théâtre, un salon de thé avec vue sur l’aire de jeux et l’accueil d’une nouvelle médiathèque qui, elle s’étendrait, sur deux étages.

Le toit de cette extension servirait en partie de parking avec dix places qui viendraient compléter les 11 places prévues dans le cadre de la maison de santé (dont cinq réservées à La Poste). Une terrasse est aussi prévue, avec vue imprenable sur la Seine.

L’accessibilité aux personnes à mobilité réduite serait garantie grâce à un ascenseur intérieur permettant de relier le niveau bords de Seine à la rue Paul-Doumer.

Ces deux projets réunis coûteront bien moins chers qu’une passerelle sur la Seine voulue par les autres candidats, conclut Cédric Aoun. Nous pouvons espérer 60 % de subventions pour chaque projet. »

Pratique : rens. : http://trielcestvous.fr

Le clycliste beauvaisien Arnaud Démare confiné dans une chambre d’hôtel à Abu Dhabi en raison du coronavirus. (©Capture d’écran vidéo Facebook Arnaud Démare)

Les deux dernières étapes de l’UAE Tour, course cycliste se déroulant aux Émirats Arabes Unis, ont été annulées la semaine dernière en raison du coronavirus.

Deux équipes françaises, Cofidis et Groupama-FDJ sont notamment bloquées sur place, confinées dans un hôtel à Abu Dhabi. Elles ont été mises en quarantaine, jusqu’au 14 mars prochain.

Sur ses réseaux sociaux, le cycliste beauvaisien (Oise) Arnaud Démare (Groupama-FDJ) raconte son quotidien.

La nouvelle est tombée ce matin..Nous sommes officiellement en 40aine avec probable retour le 14 mars en espérant un…

Publiée par Arnaud Démare sur Mercredi 4 mars 2020

« Nous sommes tous négatifs dans l’équipe »

Netflix, des courses cyclistes à la télévision, lecture, sessions de gainage… Arnaud Démare patiente comme il peut, confiné dans une chambre d’hôtel. « À noter que les autres étages avec d’autres équipes sont reparties hier, même si nous mangions encore vendredi et samedi dans les mêmes lieux » écrivait-il lundi 2 mars dernier. L’équipe Gazprom-RusVelo est aussi bloquée sur place.

Vue du balcon, du couloir, de la chambre , un remix des 5 derniers jours bloqués à l’hôtel ! Je ne sais pas comment on garde le moral sans entraînements à 17 jours de Milan San Remo .. 🙄 Au delà du sportif , tout l’équipe se porte bien. #coronavirus

Publiée par Arnaud Démare sur Mardi 3 mars 2020

S’il pensait être d’abord rapidement être « libre », suite à un second test de dépistage, une mise en quarantaine officielle a été annoncée ce matin du mercredi 4 mars 2020. Le cycliste évoque un « probable retour le 14 mars en espérant un rapatriement sanitaire pour effectuer ce confinement à domicile ».

Des personnes atteintes du coronavirus se trouvent au même étage que lui.

De nous-mêmes nous appliquons dès maintenant un règlement sanitaire et comprenons « un peu » mieux la situation même si nous sommes tous négatifs dans l’équipe et confrontés à de potentiels contaminés à cet étage.

Cela fait six jours que le sportif n’a pas pu s’entraîner, « toujours en attente de vélos ».

« Cependant la priorité pour nous aujourd’hui n’est plus de reprendre une activité physique mais d’être isolés à un autre étage de l’hôtel » conclut-il.

La liste Une belle image pour Carnoët : de gauche à droite, au premier plan, Cécile Le Du, Alain Dottin, Adrienne Lorinquer ; au second plan, Philippe Clec’h, Olivier Thomas, Pierre-Yves Abhervé-Guéguen, Benoît Dottin, Jeroen Zuurbier. (©L’Echo de l’Argoat)

Alain Dottin, conseiller sortant, a présenté la liste qu’il conduira aux élections municipales de 2020 à Carnoët.

Celle-ci, qui compte huit candidats (deux femmes et six hommes), a été constituée pour « offrir le choix aux électeurs et électrices ».

Dans son programme, l’équipe fait ce constat :

Il y a beaucoup de marches à gravir concernant l’assainissement et l’embellissement du bourg, l’effacement des réseaux électrique et téléphonique, l’école et l’aire de jeux, la signalétique du bourg et de la campagne, l’entretien du patrimoine (avec urgence pour l’église), l’entretien du réseau routier et le maintien du lien social.

En proposant d’axer le travail municipal sur ces projets, la liste conduite par Alain Dottin veut « permettre un bel accueil des Carnoëtoises et Carnoëtois, des passants pour l’activité économique et des touristes ».

La liste Une belle image pour Carnoët
Alain Dottin (tête de liste), 56 ans, chauffeur routier, conseiller sortant
Adrienne Lorinquer, 62 ans, retraitée agricole
Philippe Clec’h, 55 ans, agriculteur
Olivier Thomas, 52 ans, fonctionnaire territorial (conseil régional)
Jeroen Zuurbier, 45 ans, agriculteur
Cécile Le Du, 43 ans, conseillère en assurances
Pierre-Yves Abhervé-Guéguen, 41 ans, ouvrier
Benoît Dottin, 34 ans, chauffeur routier.

Le New-York de Mathieu Bastareaud va affronter ce week-end le San Diego de Ma’a Nonu. (©Twitter Rugby United New-York)

Attention, gros choc en perspective aux Etats-Unis ce week-end. Depuis le début de la saison de Major League Rugby, on savait très bien qu’il y aurait des retrouvailles entre Mathieu Bastareaud et Ma’a Nonu. Les deux anciens coéquipiers à Toulon battront le fer dimanche 8 mars pour l’affiche de la 4^e journée du championnat.

Bastareaud (31 ans ; 54 sélections) et Nonu (37 ans ; 107 sélections) ont formé un duo des plus surpuissants du côté de Toulon, et le public de Mayol en a encore de superbes souvenirs, même si cela « que » trois saisons. Le club de New-York ne s’y est pas trompé en mettant en avant ce face-à-face sur l’affiche d’annonce du match.

Ummmm LFG #WeekFive #MLR2020 pic.twitter.com/z5qyVNtNqk

— Rugby United New York (@rugbyunitedny) March 4, 2020

San Diego leader, New-York troisième

Enfin, reste à savoir si les deux hommes s’affronteront directement. En effet, comme depuis son passage à Lyon, Mathieu Bastareaud alterne au centre ou bien en position de numéro 8. Il reste sur trois titularisations en troisième ligne, comme face à Houston le week-end dernier où « Basta » avait joué durant 60 minutes et s’était montré déterminant sur un des quatre essais de son équipe.

Ma’a Nonu, lui, montré qu’il a toujours de l’essence dans le moteur. Certes, ce n’est pas le même rythme qu’en Europe, mais le double champion du monde avec les All Blacks a déjà inscrit trois essais en quatre matches. Il contribue largement à l’excellent début de saison de San Diego, son équipe, leader invaincu du championnat américain. New-York, troisième, essaiera d’infliger à San Diego sa première défaite de la saison. Un choc, c’est certain.

Looks like the East is still in charge 🧐 pic.twitter.com/oW3iELeSM4

— Major League Rugby (@usmlr) March 2, 2020

IoTrapster s’adapte à tout type de casier utilisé par les pêcheurs amateurs (©IoTrapster)

« On n’est jamais mieux servi que par soi-même. » Des ingénieurs hébergés à Bretagne Télécom, à Châteaubourg, ont appliqué cet adage à l’un de leurs loisirs.

Pêcheurs au casier occasionnels, ils commençaient à en avoir marre de partir en mer pour, bien souvent, remonter un casier vide.

Ils ont conçu IoTrapster afin d’y remédier. Ce système comprend une caméra, un traceur GPS, une bouée connectée et une connexion bluetooth.

Ainsi, le propriétaire en attente de crustacés ou de poissons peut désormais savoir si des sujets ont été piégés et leur quantité. Et ce, grâce à la réception régulière de photos sur l’application liée.

Matthieu Rivron, responsable de l’incubateur d’entreprises de Bretagne Télécom, et Floran Jolivel, responsable du développement d’IoTrapster (©Le Journal de Vitré)

Le traceur GPS, lui, permet d’indiquer si le casier a nettement dérivé avec le courant.

Premiers tests début 2019

Matthieu Rivron, responsable de l’incubateur d’entreprises de Bretagne Télécom, au sein duquel a été mis en point IoTrapster, retrace les débuts :

La phase de test a débuté début 2019. Un prototype a été mis à l’eau pour tester la fonctionnalité et la plate-forme technique. La bouée en résine a été construite au FabLab de Vitré. »

Les premiers retours sont concluants, la viabilité économique du projet fait de moins en moins de doute. Les clients potentiels se manifestent.

L’été dernier, IoTrapster devient une entité indépendante de Bretagne Télecom, tout en y restant hébergée et en profitant de ses serveurs.

Floran Jolivel est recruté en tant responsable du développement. « J’apporte mes compétences en gestion de projet, en industrialisation, en développement hardware. »

Lui qui est plutôt plongeur que pêcheur au casier s’est attelé à transformer le prototype en une version commercialisable. Il travaille notamment avec la société Akkme CAO, installée à La Bouëxière, qui fabrique les cartes électroniques.

Des alertes en cas de suspicion de vol

Deux rendez-vous ont ensuite confirmé qu’IoTrapster prenait le bon chemin.

D’abord, le CES de Las Vegas, la grand-messe internationale de l’innovation technologique en électronique, début janvier.

« C’est là que le produit a été mis officiellement en vente, précise Matthieu Rivron. Très vite, nous avons signé des contrats en marge du salon car c’est interdit sur place. »

Puis est arrivé le salon de la pêche en mer de Nantes, du 14 au 16 février. Là, l’équipe d’IoTrapster a pu mesurer les attentes du marché français. Et maintenant ?

Nous avons assuré les pêcheurs amateurs venus à notre stand de l’accompagnement dans trois phases essentielles : la pose du casier avec le risque de renversement qui va avec, la veille pendant l’immersion et le relevé du casier en tenant compte de sa position. Au cours des échanges, nous nous sommes rendus compte que le risque de vol est une problématique importante chez les pêcheurs. »

Là encore, le système y répond. Une alerte est envoyée au propriétaire lorsqu’une remontée rapide du casier, un mouvement inhabituel de la bouée et une rupture du câble sont détectés. A défaut d’éradiquer les méfaits, IoTrapster peut les réduire.

Un mécène investit 100 000 €

Les premiers clients seront livrés en avril aux quatre coins de la Bretagne et en Vendée. L’aventure ne fait que commencer. L’entreprise va s’attaquer au marché des professionnels.

Mais cela équivaut presque à repartir d’une feuille blanche tant les contraintes sont plus fortes : des casiers plus lourds, plus nombreux, plus profonds, plus éloignés des côtes.

Cela ne décourage pas l’équipe. D’autant qu’un patron de pêche étranger vient de mettre sur la table les 100 000 € nécessaires à ce nouveau développement.

Ce mercredi 4 mars, dans la matinée, un grave accident du travail s’est produit dans l’entreprise de métallurgie SAM (©Sdis77)

Mercredi 4 mars 2020, à Montereau-Fault-Yonne (Seine-et-Marne), les sapeurs-pompiers sont intervenus dans une entreprise de métallurgie, suite au déversement accidentel d’environ 100 tonnes d’acier en fusion.

L’ensemble du site a été évacué et 40 pompiers ont été engagés pour éviter la propagation du sinistre (©Sdis77)

Les secours ont pris en charge deux personnes brûlées grièvement et trois autres choquées.

Une victime a été héliportée médicalisée par Dragon 75 sur le centre hospitalier Percy. Les autres ont été transportées au centre hospitalier de Montereau.

Le premier, brûlé à 100 %, a été évacué, avec un pronostic vital engagé, à l’hôpital Percy, dans les Hauts-de-Seine, spécialisé dans la prise en charge des grands brûlés. (©Sdis77)

Deux lances à mousse ont été nécessaires pour refroidir le métal en fusion qui se propageait dans les installations.

Des serviettes hygiéniques vont être distribuées gratuitement aux collégiennes de Loire-Atlantique à partir de septembre 2020. (©Illustration / Adobe Stock)

À la rentrée scolaire 2020, six collèges de Loire-Atlantique vont mettre à disposition des jeunes filles des protections hygiéniques, a annoncé le conseil départemental, mardi 3 mars 2020.

Cette expérimentation sera menée dans un premier temps à Nantes (Stendhal et Rosa-Parks), Guémené-Penfao (Bellevue), Vallet (Pierre-Abélard), Paimboeuf (Louise-Michel) et Saint-Nazaire (Pierre-Norange).

« Ces distributeurs gratuits fonctionneront en libre-service, précise Marie-Paule Gaillochet, conseillère départementale à l’égalité des droits et la lutte contre les discriminations. Ils seront installés dans les toilettes ou à l’infirmerie du collège. »

Des kits remis à l’entrée en 6^e

Un établissement de la protection de l’enfance et un IME participeront aussi à l’expérimentation. « L’objectif est de proposer des protections de qualité, avec du coton bio, plus respectueuses du corps des femmes et de l’environnement », a fait remarquer l’élue herblinoise.

En parallèle, des kits premières règles seront remis aux élèves en classe de 6^e,, ce qui représentera environ 400 collégiennes pour cette première phase.

A terme, le Département souhaite mettre en place le dispositif partout en Loire-Atlantique, dans les établissements publics et privés. « Une enveloppe de 30 000 euros est allouée pour l’expérimentation, indique Philippe Grosvalet, le président. Une somme qu’il faudra multiplier par 10 en cas de généralisation.

Le conseil départemental ne regardera pas à la dépense tant il juge important la lutte contre la précarité menstruelle.

C’est un sujet tabou, il faut éveiller les consciences.

Une campagne de sensibilisation, en lien avec les associations, doit d’ailleurs être menée dès le printemps : une collecte de protections hygiéniques aura lieu durant une semaine dans différents lieux de Loire-Atlantique et du 27 au 29 avril, une place achetée au Grand T-Théâtre à Nantes financera un paquet de serviettes hygiéniques.

Jusqu’à 150 euros par an

Selon un rapport parlementaire du 11 février 2020, une femme consacrerait 150 euros par an, soit environ 4500 euros dans une vie, dans la protection hygiénique.

Il y a un an, « un sondage Ifop indiquait que plus d’une femme sur trois ne change pas suffisamment de protection ou a recours à des protections de fortune », a rappelé Marie-Paule Gaillochet. Une précarité qui concernerait près de 2 millions de femmes en France.

La Landec, Élise Maillard revendique ses rondeurs et défend son titre de miss Ronde Bretagne sur la scène nationale ce 6 mars. (©Elise Maillard)

Miss Ronde Bretagne 2019 défendra les couleurs de sa région vendredi 6 mars 2020 en tentant d’obtenir le titre de miss Ronde France 2020. Élise Maillard, de La Landec, près de Dinan, revient sur son parcours de fille et femme ronde et ses appréhensions sur les défilés en petite tenue.

La souffrance des rondeurs en trop, Élise Maillard assure l’avoir subie au quotidien pendant longtemps. « T’as vu la grosse comment elle est habillée, une robe rouge, avec ses kilos, c’est pas terrible. Bien sûr que les gens font des remarques, sans arrêt même ! », déplore Élise.

Régimes, sport

La jeune femme de 31 ans a d’ailleurs longtemps eu des difficultés à les assumer ces satanés kilos. « Ado, je me privais, je faisais des régimes, du sport mais ça ne changeait rien. Je perdais 8 kg mais j’en reprenais 12. Et les grossesses n’ont pas aidé aux rondeurs… »

Et même si, dans son entourage, tout le monde lui disait qu’elle était jolie, elle n’entendait pas vraiment les compliments. « Je ne me regardais pas forcément de façon bienveillante », regrette Élise Maillard qui a bien changé depuis l’année dernière, « les gens ne savaient pas que j’étais si mal dans ma peau. »

« Défiler en maillot me faisait peur »

Et la jeune maman de trois bambins de revenir sur des blessures anciennes, ravivées par le fiel, parfois aigre, des réflexions entendues toute son enfance.

« A l’école primaire, c’était : tu peux pas être ma copine, t’es trop grosse. À l’adolescence, le regard des garçons est compliqué même si on est toujours trop petite, trop grande, trop rousse, être trop grosse nous enferme encore plus. »

Sa participation au concours de miss Ronde Bretagne a été un vrai révélateur et une source de bien être. « J’ai pris confiance en moi, j’ose porter des couleurs. » Aujourd’hui, non seulement Élise a changé son regard, et assume ses rondeurs « à 200 % », mais la jeune couronnée revendique ce droit à la différence pour toutes celles qui souffrent encore du regard des autres. « Je représente les femmes avec des rondeurs et je leur dis que, même avec des kilos en trop, on doit s’assumer et profiter de la vie. »

Il faut dire que les jeunes femmes ne sont pas ménagées pendant le concours. Car, si les robes, mêmes ajustées, couvrent une partie des rondeurs, les candidates doivent aussi défiler en maillot de bain et en nuisettes… pas toujours facile quand le regard des autres pèse autant.

« Sur le coup, quand on m’a annoncé le défilé en maillot, j’ai pris peur. Pour moi, le maillot, c’était une pièce, pour cacher au maximum. Puis, au fil du temps, je me suis dit que j’étais là pour ça, montrer ce qu’on est comme on est. Alors, j’ai acheté un maillot deux pièces, très coloré et j’ai défilé avec mon ventre apparent. Ma famille ne me reconnaissait pas ! »

Marre de la lingerie de mémé

Pour la lingerie, le raisonnement des candidates est le même. Et de dévier sur la nécessité des marques de reconnaître l’embonpoint de leurs clientes, qui s’estiment encore trop souvent stigmatisées.

« Il en faut pour toutes les tailles, de la lingerie mais de la vraie lingerie, pas des trucs de mémés en coton blanc », plaisante Élise. «

Nous, c’est forcément dans les magasins spécialisés ou sur internet mais on aimerait porter les mêmes choses que les autres jeunes femmes. C’est valable pour tous les vêtements. On aimerait avoir des t-shirts rigolos, un peu de couleurs, de fantaisie. On a aussi envie d’être sexys, féminines et pas toujours habillées en noir ou en jogging. »

Vendredi 6 mars, Élise Maillard défilera, à nouveau, sur les podiums, avec ses rondeurs mais débarrassée du poids de sa culpabilité. « On porte un message et on essaye de faire changer le regard de la société… »

Élection miss Ronde France vendredi 6 mars, en Normandie. Pour les votes internet : www.weezevent.com votez-pour-votre-candidate-ou-candidat, attention c’est 2€ le vote. Réservations pour la billetterie : www.weezevent.com election-de-miss-ronde-france-2020

Page Facebook Élise Maillard Miss Ronde Bretagne 2019.

A Messei (Orne), à l’occasion des municipales, le maire sortant et candidat à sa succession, Michel Dumaine, a présenté les colistiers de Bien vivre à Messei.

Les 19 colistiers

Michel Dumaine – maire sortant – 72 ans – inspecteur d’académie en retraite ; Brigitte Viarmé-Dufour – adjointe sortante – 61 ans – auxiliaire puéricultrice et conseillère départementale ; Paul Carré – adjoint sortant – 70 ans – cadre retraité.

Régine Pottier – conseillère sortante – 58 ans – infirmière ; Pascal Toutain – adjoint sortant – 58 ans – responsable de projet ; Nadine Courteille – adjointe sortante – 63 ans – retraitée ; Gilles Guesdon – conseiller sortant – 63 ans – retraité.

Isabelle Lemée – conseillère sortante – 57 ans – préparatrice en pharmacie ; Alain Duval – adjoint sortant – 71 ans – exploitant agricole retraité ; Maria Thalassinaki-Radoux – conseillère sortante – 42 ans – commerçante ; Alain Retour – conseiller sortant – 74 ans – retraité.

Sylvie François – nouvelle candidate – 53 ans – accompagnante éducative et sociale ; Cyrille Baron – conseiller sortant – 45 ans – employé administratif d’entreprise ; Angélique Guéniot – nouvelle candidate – 41 ans – technicienne logistique.

David Lepage – conseiller sortant – 50 ans – adjoint technique ; Angélique Guyomard – nouvelle candidate – 45 ans – déléguée à l’insertion professionnelle ; Hervé Toutain – candidat sortant – 52 ans – préparateur outillage logistique.

Claire Laîné – nouvelle candidate – 34 ans – chargée de clientèle en assurance ; Stéphane Lecocq – nouveau candidat – 54 ans – contrôleur qualité, secteur automobile.

De gauche à droite : Marie-Hélène Melou, Christelle Sérandour, Gwen Lucas, Anthony Hillion, Jean-Yves Philippe, Amélie Huby, Roger Lopin, Yannick Le Guennic, Émilie Chéron, Michel Le Bars, Michel Le Foll.

Jean-Yves Philippe présente sa liste pour les prochaines élections municipales à Saint-Connan, « Solidaires et volontaires ».

Elle est formée autour d’un noyau expérimenté, un renouvellement diversifié, rajeuni et féminisé. La liste comporte 6 hommes dont 5 sortants et 5 femmes représentatifs de tout le territoire de la commune, la moyenne d’âge est de 47 ans.

Liste « Solidaires et volontaires »
Jean-Yves Philippe, 67 ans, retraité de l’architecture, maire sortant
Émilie Chéron, 43 ans, céramiste
Anthony Hillion, 37 ans, technicien d’élevage
Amélie Huby, 35 ans, infirmière hospitalière
Michel Le Bars, 65 ans, retraité actif et conseiller sortant
Michel Le Foll, 54 ans, agriculteur et conseiller sortant
Yannick Le Guennic, 72 ans, ingénieur retraité et adjoint sortant
Roger Lopin, 65 ans, électricien retraité et conseiller sortant
Gwen Lucas, 31 ans, employée agricole
Marie-Hélène Melou, 69 ans, retraitée de l’agriculture
Christelle Sérandour, 48 ans, avicultrice.

Pour ce dernier conseil à Vic-sur-Cère qui marque la fin de la mandature, Michel Albisson a tenu à féliciter et remercier les élus et le personnel communautaire pour tout le travail effectué au cours de ces 6 années. (©GR)

C’était le dernier conseil communautaire de la mandature du président Michel Albisson qui ne fera pas partie du prochain car il a pris la décision de ne pas se représenter aux prochaines élections municipales sur la commune où il réside à Raulhac. Quelque peu chargé d’émotion il s’est autorisé à prendre la parole quelques instants avant de se consacrer à l’ordre du jour et aux affaires pour faire un retour sur ces six années de mandat.

Entente avec la Caba et la Châtaigneraie

Il a tenu à souligner l’écoute attentive des différents services de l’État pour monter les dossiers ; a apprécié la bonne coopération avec les deux autres communautés de communes CABA et Châtaigneraie avec lesquelles un rapprochement permet de travailler sur des sujets communs à l’échelle de ce territoire notamment le contrat de transition énergétique ; a félicité tous les élus communautaires en leur indiquant qu’ils pouvaient être fiers de ce mandat et a rendu un hommage appuyé au personnel communautaire qui a dû faire face à des charges de travail supplémentaires dues à des transferts de compétences comme l’eau et l’assainissement ainsi que l’urbanisme avec la mise en œuvre du plan local d’urbanisme intercommunal qui a été approuvé à l’unanimité.

Les réalisations marquantes

Il est revenu sur les réalisations marquantes qui ont vu le jour durant ce mandat : la zone d’activités de Comblat dont 85 % des terrains sont vendus afin d’y implanter des activités et des commerces ; les granges numériques et culturelles qui sont perçues comme des investissements novateurs en milieu rural ; la maison de santé de Vic-sur-Cère où trois médecins se sont installés, le réseau de chaleur bois de Vic-sur-Cère qui va être renforcé pour répondre à une demande supplémentaire de 25 branchements ce qui portera leur nombre à une cinquantaine.

Charges de travail

Parmi les charges de travail imprévues auxquelles il a fallu faire face, il a cité les déchets et les ordures ménagères, la gestion des milieux aquatiques et prévention des inondations ; les incidences découlant de la révision générale des politiques publiques ; un effort éducatif en faveur des écoles qui ont toutes été dotées de tableaux pédagogiques interactifs. « Au niveau des services à la population, on a agi » a-t-il dit en substance.

Attractivité du Carladès

Et de poursuivre : « Ce territoire devient attractif, il y a des demandes pour s’y installer, même si tout n’est pas parfait, entre faire ou ne rien faire, nous avons choisi de faire bouger les choses durant ces 6 ans, de plus cela n’a eu aucune incidence sur le contribuable du Carladès car la plupart des projets s’autofinancent et sont éligibles à des subventions et il n’y a eu de notre part aucune augmentation fiscale ».

Fusion avec la Caba

Revenant sur la fusion envisagée à un moment avec la Caba,, il en tire les enseignements suivants : « On a bien fait de ne pas fusionner en restant nous-même, on s’est développé et équipé, on est maître de notre destin. Même si on est la plus petite communauté de communes du Cantal avec 5 200 habitants, on est écouté et respecté ».

L’ordre du jour

Pour suivre, place à l’ordre du jour avec l’approbation à l’unanimité des comptes de gestion et des comptes administratifs 2019 du budget principal (qui dégage un excédent de 298 863 € à reporter) et des 10 budgets annexes de cette collectivité.

Du fait des élections municipales à venir qui entraîneront un nouveau conseil communautaire, le budget 2020 ne sera pas voté mais sera préparé pour les successeurs à venir qui décideront de le laisser en l’état ou de le modifier.

Les délibérations

Les autres délibérations prises à l’unanimité ont porté sur la location d’un local à usage professionnel à l’hôtel des artisans, le fonctionnement de la grange numérique avec la venue de deux entreprises pour lesquelles des baux commerciaux seront établis et la création envisagée d’une structure de type associatif pour ouvrir ce lieu aux particuliers moyennant une adhésion ; un appel à mise en concurrence pour le choix du concessionnaire de la micro-crèche de Polminhac (GR).

Le magicien illusionniste Dani Lary sera sur la scène du Casino Barrière de Lille (Nord), le dimanche 8 mars 2020. (©Dani Lary officiel)

« Tic Tac » : voilà le titre à la fois sobre et mystérieux qu’a choisi Dani Lary pour son dernier show en date. Le célèbre magicien illusionniste sera sur la scène du Casino Barrière de Lille (Nord), le dimanche 8 mars 2020.

Dans ce spectacle, le magicien de la démesure se fait maître des horloges et, en hommage à ses plus grandes créations des deux dernières décennies, emporte les spectateurs dans un voyage dans le temps et l’illusion.

Décor grandiose, piano volant, passage à travers la matière… Un show époustouflant hanté par le fantôme de Robert-Houdin, père de la magie moderne, attend les spectateurs.

Infos pratiques :
Dani Lary au Casino Barrière de Lille (777, Pont de Flandres),
Dimanche 8 mars 2020 à 16 h. Tarif : à partir de 43 euros. Infos : 03 28 14 46 00 ou sur le site officiel du casino.

Marc-Antoine Jamet, maire sortant (PS) de Val-de-Reuil et William Thiery (RN).

À Val-de-Reuil, dans l’Eure, deux listes doivent s’affronter à la prochaine élection municipale du 15 et 22 mars 2020. Le maire sortant Marc-Antoine Jamet, qui mène la liste (PS) d' »Un seul parti, Val-de-Reuil », et William Thiery, tête de liste (RN) du « Rassemblement Rolivalois », présentent leurs engagements en matière de santé.

Marc-Antoine Jamet, maire (PS) de Val-de-Reuil.

Liste « Un seul parti, Val-de-Reuil » – PS

« La première des solidarités »

Parmi les inégalités, la plus injuste, la plus révoltante, c’est celle qui frappe quand, malades ou âgés, la médecine, l’hôpital, les médicaments paraissent réservés à quelques-uns. Il est insupportable que les inégalités de fortune aboutissent à des inégalités d’espérance de vie. Pour nous, agir pour la santé de nos habitants, c’est donc assurer à chacun un égal accès aux soins. Si nous saluons le travail remarquable des professionnels de santé et sommes engagés à leurs côtés, nous savons qu’ils ne sont pas assez nombreux. Nous favoriserons donc l’implantation de jeunes médecins généralistes ou spécialisés en prenant à la charge de la ville une part du montant des loyers de leur cabinet médical ou des coûts relatifs à leur installation. Nous poursuivrons la reconversion des locaux de rez-de-chaussée inoccupés sur la dalle en appartements destinés aux personnes porteuses de handicap. En complément de la résidence ESPAGES, nous ouvrirons un établissement d’hébergement destiné aux personnes âgées dépendantes. Nous voulons développer de nouveaux dispositifs pour empêcher l’apparition des pathologies à tous les stades de la vie. Nous avons mis en place « Sport sur Ordonnance » qui permet à plus de cent Rolivalois, souffrants d’une maladie chronique, de pratiquer gratuitement une activité sportive qui diminue leur recours aux médicaments. Cette hygiène de vie, il faut l’inculquer dès la petite enfance. Parce que l’équilibre alimentaire est fondamental à la croissance de nos enfants, nous proposons chaque jour à tous les élèves de maternelle un petit-déjeuner composé de produits biologiques et issus des circuits courts. Protéger notre santé, c’est tout faire pour préserver notre qualité de vie. C’est pourquoi je me suis fermement opposé au projet de contournement Est de Rouen. Des actions en justice ont été engagées par la Mairie. C’est également pour lutter contre toute forme de pollution que j’ai décidé de prendre un arrêté visant à interdire l’utilisation du glyphosate à moins de 150m de toute activité humaine. La santé est la première des solidarités. Nous en faisons une priorité.

Liste « Rassemblement Rolivalois » – RN

« Action sociale et sanitaire »

Les communes ont la possibilité de mettre en place une action sociale et sanitaire, qui est pour moi déterminante !
Avec mon équipe, nous mettrons en place une maison médicale accueillant des généralistes, des infirmiers ou encore un pédiatre. Nous ouvrirons également cette maison à des spécialistes des médecines naturelles (homéopathie, aromathérapie, phytothérapie…) moyennant finances. Nous ferons de l’installation d’un ophtalmologue une priorité. À la CASE, je plaiderai avec mes collègues du Rassemblement National pour la construction d’une maison médicale hébergeant des spécialités rares sur notre territoire. Cela permettra, dans un lieu accessible en transports publics, que les habitants de nos communes puissent se rendre chez les spécialistes indispensables à leur santé.
En tant que maire, j’organiserai la mise en place sur la commune d’une mutuelle municipale. Ce système consiste à mettre en commun les dépenses de mutuelles des Rolivalois qui le souhaitent afin de négocier un tarif groupé, bénéfique à chacun, et sans surcoût pour le contribuable. Là encore, des offres liées aux médecines naturelles pourraient être trouvées.
La pénurie de médecin dans notre secteur rend plus difficile les visites à domicile des médecins, pourtant indispensables. Dès mon arrivée à la mairie, j’ouvrirai un poste de médecin salarié de la commune. Ce dernier sera chargé en priorité de se déplacer chez les Rolivalois. La prévention est également importante, un cabinet mobile d’infirmiers et de travailleurs sociaux se déplacera régulièrement dans les quartiers de la ville afin de rencontrer les personnes seules ou en difficultés. Cela permettra d’éviter l’isolement et de faire un suivi sur leur cas personnel. Les personnes le nécessitant seront ensuite mises en relation avec le médecin.
Travaillant depuis 40 ans dans le secteur de la médecine naturelle, il est évident pour moi que la santé passe également par la nutrition. Nous ferons de la pédagogie à ce sujet développerons le bio dans les cantines.