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Municipales 2020 : une liste d'opposition s'engage à Rougemontiers

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Jean-Claude Eude sera la tête de la liste d'opposition à Rougemontiers (Eure).

Jean-Claude Eude sera la tête de la liste d’opposition à Rougemontiers (Eure). (©Jean-Claude Eude)

Déjà candidat en 2014, Jean-Claude Eude repart dans la bataille des élections municipales à Rougemontiers (Eure). Il conduira une liste de 15 candidats.

De gauche à droite, au premier rang : Beaudoin Pascal, 62 ans, retraité ; Cordier Louisette, 73 ans, retraitée ; Chion Ludovic, 52 ans, maçon ; Eude Jean Claude (tête de liste), 75 ans, retraité ; Larcheveque Christophe, 54 ans, artisan électricien ; Daum Julie, 32 ans, congé parental.

Au second rang : Dorchy Damien, 31 ans, chauffeur-livreur ; Lestroubac Julie, 34 ans, mère au foyer ; Carpentier Aurélie, 44 ans, assistante maternelle ; Devis Marie-Laure, 55 ans, éducatrice de jeunes enfants ; Dehors Bruno, 49 ans, directeur technique.

Absents : Pillion Kévin, 27 ans, sans profession ; Prevost Vanessa, 35 ans, mère au foyer ; Ravet Melissa, 27 ans, intérimaire ; Larray Alexis, 31 ans, salarié.

En cliquant sur le lien, retrouvez les autres listes dans les secteurs de Pont-Audemer.

Lire aussi : Municipales 2020 : Philippe Robillot, candidat pour succéder au maire de Rougemontiers


Cinéma : le film De Gaulle avec Lambert Wilson sort aujourd'hui, des scènes filmées dans la Hague

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Quelques scènes du film De Gaulle avec Lambert Wilson ont été tournées dans la Hague.

Quelques scènes du film De Gaulle avec Lambert Wilson ont été tournées dans la Hague. (©De Gaulle )

Le film De Gaulle sort aujourd’hui dans toutes les salles de cinéma. Ce biopic de Gabriel Le Bomin ne s’attache qu’à une toute petite partie, mais primordiale, de la vie du grand Charles. L’histoire évoque en effet les quelques mois qui ont précédé l’appel du 18 juin 1940.

Le réalisateur s’efforce de suivre le parcours du général de Gaulle et de sa femme Yvonne, confrontés à l’effondrement militaire et politique de la France. Ainsi, Charles de Gaulle rejoint Londres pour tenter de poursuivre la lutte, tandis que sa femme se retrouve avec ses trois enfants sur la route de l’exode. Elle cherche à échapper à l’avancée allemande. Le destin saura les réunir au lendemain du 18 juin 1940 et du célèbre message sur les ondes de la BBC.

Sous les traits du général, on retrouve Lambert Wilson. À ses côtés, Isabelle Carré incarne son épouse Yvonne.

Fin 2016, Lambert Wilson est passé par le Cotentin pour la présentation du film L'Odyssée.

Fin 2016, Lambert Wilson est passé par le Cotentin pour la présentation du film L’Odyssée. (©La Presse de la Manche )

Lire aussi : Dans la Hague, une impressionnante équipe de tournage pour une grosse production internationale !

En septembre à Auderville

Pour rappel, l’équipe de tournage avait fait escale en septembre dans la Hague, à Auderville précisément, pour tourner quelques scènes dans le plus grand secret. Un tournage auquel a participé une poignée de figurants cotentinois.

Le Cherbourgeois Vincent Vattier était de l’aventure, il raconte :

La réalisation avait deux derniers plans à tourner. Des plans voiture, filmés par un drone. Toute la famille du général de Gaulle (sa femme, ses trois enfants adultes et leur gouvernante) était dans une Bentley. Ils sont amenés au général de Gaulle en Angleterre après des mois de séparation. Pour ce plan, l’équipe de tournage a fait appel à des doublures, les comédiens n’étant plus disponibles.

Lire aussi : Actrice dans De Gaulle et atteinte de trisomie 21, Clémence, 13 ans, n’a plus d’école

Municipales 2020 : les réunions publiques à Lannion et dans le Trégor

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Les candidat(e)s et les listes de Lannion et du Trégor s’activent en cette dernière semaine avant le premier tour des élections municipales du dimanche 15 mars. 
En plus des affiches et des prospectus, des réunions publiques sont organisées dans les communes. Voici le calendrier des réunions prévues dans le secteur. 

Trédrez-Locquémeau
La liste Trédrez-Locquémeau 2020 : le Renouveau, menée par Christian Le Normand: vendredi 6 mars à 20 h 30 à la salle Louis-Cado

Le Vieux Marché
Réunion publique de la liste « Avec Vous dynamisons Le Vieux Marché ». Philippe Prigent et Maryvonne Goujon organisent une réunion publique ce  vendredi 6 mars à partir de 18h30 à la salle Victor-Hugo de Vieux Marché.
Présentation de la liste « Avec Vous dynamisons Le Vieux Marché ». Présentation du programme et échanges.  Verre de l’amitié. Bienvenue à tous les Vieux Marchoises et Vieux Marchois.

Ploubezre
Municipales. La liste Ensemble pour Ploubezre menée par Christian Coden et Gabrielle Perrin organise une réunion publique jeudi 12 mars à 18h30 au Carec.

Perros-Guirec
Erven Léon, maire, liste Agir ensemble pour Perros. Rendez-vous de quartier à Ploumanac’h jeudi 5 mars, 10 h, parking Saint-Guirec. Vendredi 6 mars, 10 h, marché du centre-ville. A Kervélégan dimanche 8 mars, 10 h, chapelle de Kernivinen.  Dimanche 8 mars, 10 h, marché de La Clarté. Mercredi 11 mars, 10 h, marché de la Rade.

Pierrick Rousselot, liste Perros-Guirec Cap sur l’avenir. Présentation des grandes lignes du programme, des membres de la liste, questions, échanges avec la population. Ouvert à tous. Jeudi 5 mars, 18 h 30, bar Le Celtic, 1, place de l’Hôtel de ville.
Mercredi 11 mars, 18 h, Palais des Congrès, 1, rue du Maréchal-Foch, Trestraou. Contact : perrosguirec.capsurlavenir@gmail.com

Sylvie Bourbigot, liste Demain Perros, l’alternative. La liste invite à arpenter les trottoirs du centre-ville. Départ de l’Ehpad pour gagner le centre-ville puis finir au local de campagne par un pot de l’amitié, après avoir identifié les obstacles pour les poussettes et les personnes à mobilité réduite. Vendredi 6 mars, 11 h, devant l’Ehpad, 61, rue des Frères-Le-Montréer. Contact : contact@demainperroslalternative.bzh, https://demainperroslalternative.bzh

Trébeurden
Gilles Boillot, liste Trébeurden ensemble autrement. Réunions publiques afin de présenter les colistiers et le programme, vendredi 6 et jeudi 12 mars, à 19h, salle Weillant.

Bénédicte Boiron, liste Trébeurden C vous. Echanges autour d’un café. Samedi 7 mars, 10 h 30 à 12 h 30, Karajus, parking de La Poste, bourg.
Samedi 7 mars, 15 h 30 à 16 h 30, Kerajus, carrefour du Corsaire, route de Lannion.
Samedi 7 mars, 16 h 30 à 17 h 30, Karajus, Crec’h Caden, route de Pleumeur.
Dimanche 8 mars, 10 h 30 à 12 h 30, Karajus, devant l’office du tourisme, place de Crec’h Hery.
Lundi 9 mars, 15 h 30 à 17 h, Karajus, parking de l’École, rue Pierre-Marzin. Mardi 10 mars, 9 h 30 à 12 h 30, Karajus, marché, place des Îles. Contact : www.trebeurdencvous.fr

Alain Faivre, liste Vivons Trébeurden. Les colistiers du maire sortant proposent un temps de rencontre pour échanger sur l’ensemble du programme conçu « pour une ville solidaire, durable et dynamique ». Vendredi 13 mars, 18 h 30 à 20 h 30, salle Weillant. Contact : contact@vivons-trebeurden.fr, http://vivons-trebeurden.fr/

Gabriel Lopez, liste Trébeurden, le défi citoyen. Réunion publique jeudi 5 mars, à 18h30, à la salle Weillant. Présentation des colistiers et du programme.

Trégastel
Xavier Martin dans les quartiers; L’équipe de Xavier Martin, chef de file de la liste Avec vous pour Trégastel, poursuit ses rencontres dans les quartiers sur les 90 propositions du programme pour Trégastel.
Jeudi 5 mars, 17 h à 19 h, parking devant le cimetière.
Vendredi 6 mars de 16 h à 18 h 30, le rendez-vous est donné devant l’école Picherel ; place Sainte-Anne. Samedi 7 mars de 10 h 30 à 13 h ; Poul Palud.
Samedi 7 mars de 14 h 30 à 17 h, rendez-vous au rond-point de Super U.
Dimanche 8 mars de 15 h à 18 h, parking de l’île Renote.
Lundi 9 mars de 17 h à 19 h, Troperig, à l’angle de la route des Traouïero et chemin de Ker Awel. Tourony, mercredi 11 mars de 17 h à 19 h, sur le parking ; routes de Lannion et du dolmen.
Jeudi 12 mars, 18 h 30, centre des congrès. Vendredi 13 mars de 17 h à 19 h, au rond-point.

Trélévern
La liste Agir ensemble pour Trélévern, conduite par Yannick Queguiner pour les prochaines Municipales, organise une réunion publique à la salle polyvalente, lundi 9 mars à 19 h. Suivie d’un pot offert.

Pleumeur-Bodou.
 La liste Pleumeur-Bodou citoyenne, écologiste et de gauche propose trois réunions publiques / jeudi 5 mars à 18h salle de Kérénoc, vendredi 6 à 18h salle municipale de l’île-Grande et samedi 7 à 18h salle Pablo-Neruda au bourg. « L’un de nos grands objectifs : redonner la parole aux citoyens ».

Bégard
Bégard, un nouvel horizon à gauche. Mardi 10 mars, 20 h 30, salle du Temps Libre, près de la MJC. Rendez-vous citoyen sur les thématiques du cadre de vie et de culture – associations – sports.

Penvénan
Maintenant, Denis Baulier. jeudi 5 mars, 20 h 30, salle des fêtes de Penvénan.
Demain Penvénan autour de Denise Prud’homm. Réunion publique jeudi 12 mars à 20 h à la salle des fêtes.

Camlez
Réunion publique vendredi 6 mars annulée (Covid 19)

Plouguiel
Jean-Yves Nédélec « Plouguiel, Cap Terre et Mer ». deux réunions publiques. Le samedi 7 mars, salle du Jaudy à La Roche Jaune à 18 h. Le samedi 14 mars, salle du Guindy au bourg à 18 h.

Saint-Quay-Perros
Réunion publique de la liste Dynamique kénanaise conduite par Olivier Houzet, mercredi 11 mars à 18h30, salle Yves-Guégan.  Contact : dynamique.kenanaise@gmail.com

Réunion publique de la liste Dynamique kénanaise conduite par Olivier Houzet, mercredi 11 mars à 18h30, salle Yves-Guégan.  Contact : dynamique.kenanaise@gmail.com

Lannion
Yann Guéguen, liste Lutte Ouvrière. Réunion publique ce jeudi 5 mars à l’espace Sainte-Anne à 20h, salle 1.

Paul Le Bihan, liste Lannion, écologiste et solidaire. Réunion publique jeudi 5 mars, 18 h 30, salle Améthyste (ancienne école) route de la Côte, Beg Léguer. Vendredi 6 mars, 20 h 30, centre Saint-Elivet, salle Annie-Peigné, 18, rue Saint-Elivet. Lundi 9 mars, 18 h 30, salle Yves Le Faucheur, Buhulien, rue de l’Église. Mercredi 11 mars, 20 h 30, Ker Uhel, salle d’animation, 29, boulevard d’Armor. Jeudi 12 mars, 18 h 30, salle de conférences, espace culturel Sainte-Anne. Vendredi 13 mars, 18 h 30, Rusquet, salle de quartier, 10 Rue Henri Farman.  contact@lannion2020.fr, http://lannion2020.fr

Gaël Cornec, liste Révélons Lannion.  Réunion publique mardi 10 mars, 18 h, espace Sainte-Anne, salle de conférences, 2, rue de Kérampont. Contact@revelons-lannion.fr, mercredi 11 mars à 18h à St-Elivet, salle Annie Peigné.

Carine Weber, liste Pour la reconquête de la démocratie communale. Réunion publique vendredi 6 mars, 18 h, espace Sainte-Anne, salle 2, rue de Kerampont. Gratuit. Contact : democratie.communale.lannion@gmail.com

Cinéma : pourquoi La Cravate est-il un documentaire politique captivant ?

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Avec le documentaire La Cravate, plongez dans l'univers du Rassemblement National (ex FN), avec Bastien, 20 ans.

Avec le documentaire La Cravate, plongez dans l’univers du Rassemblement National (ex FN), avec Bastien, 20 ans. (© D.R.)

Par Jonathan Ollivier

Etienne Chaillou et Mathias Théry sont les réalisateurs à l’origine de ce film politique captivant. Après s’être rencontrés à l’Ecole Nationale Supérieur des Arts Décoratifs de Paris (l’un en spécialisation cinéma d’animation, l’autre en vidéo), ils ont travaillé ensemble sur la quasi-totalité de leurs projets en étant présent aussi bien à l’écriture et au tournage qu’au montage.

Lire aussi : Cinéma : The Gentlemen, une histoire assez hallucinante au finish surprenant

Quatre ans après leur documentaire Le sociologue et l’ourson – ce dernier ayant remporté de nombreuses récompenses – ils sortent La Cravate, titre explicite mais intrigant au service d’un objet cinématographique brut, romancé et atypique.

Une grande originalité

Nous allons suivre Bastien, 20 ans, travaillant dans un laser game d’Amiens et, qui en parallèle, milite depuis déjà cinq ans pour le parti d’extrême droite créé par Jean-Marie Le Pen. Précoce et ambitieux, il donne énormément de son temps et de son énergie au parti sans rien demander en retour, mais Bastien se donne le droit de rêver.

Lire aussi : Cinéma : avec le film Selfie, embarquez dans un monde où la technologie numérique a envahi nos vies

Le dispositif du documentaire est très original dans la mesure où la voix off est celle du protagoniste principal, mais le texte utilisé pour cette voix off, Bastien le découvre pour la première fois, un an après le tournage, devant les deux réalisateurs et la caméra. Une alternance se met donc en place entre les scènes de vie personnelles et politiques de Bastien et celles où ce dernier, assis sur une chaise, rebondit et analyse le texte en lui-même.

Un symbole

Qu’est-ce qui motive réellement Bastien à adhérer à ce parti ? Aussi jeune, qui plus est. Un quotidien rythmé ? Un besoin d’appartenance ? Durant la campagne électorale de 2017, Bastien trouve sa place, côtoie des hauts placés du parti et se rend utile notamment sur la communication. Cette dernière tenant une place centrale dans la politique d’aujourd’hui.

Lire aussi : Cinéma : pourquoi 1917 est-il un grand film de guerre ?

Mais Bastien a un passif difficile à assumer et il se retrouve coincé entre l’envie de monter les échelons, s’installer sur le long terme et la certitude que si cela se réalisait, ses vieux démons resurgiraient. Cette fameuse cravate du titre, c’est l’attribut du politicien, mais pour Bastien, c’est un objet qui a un statut particulier, un symbole. Ce parti, c’est avant tout la possibilité de devenir quelqu’un, redevenir respectable aux yeux de tous.

La bande-annonce du film

Lire aussi : VIDÉOS. La communion, En avant, De Gaulle… Les sorties cinéma de la semaine

Du mercredi 4 au mardi 10 mars 2020, le film est à l’affiche :
– au Select, à Granville (Manche) : vendredi 6 (14 h), mardi 10 (14 h).

Femmes dans la ville : tou.te.s aux platines

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Sarah, alias Naskö, mixera au Rade à Binch et au Picadilly les 7 et 12 mars prochains.

Sarah, alias Naskö, mixera au Rade à Binch et au Picadilly les 7 et 12 mars prochains.

Depuis plusieurs éditions, le festival Femmes dans la ville se poursuit le soir dans les bars en proposant des concerts féminins ou mixtes.

Lire aussi : L’association Cultur’Elles à Cherbourg : culture, égalité et mixité sociale au programme !

Cette année, le bar Le Rade à Binch a également décidé de mettre les femmes à l’honneur à l’occasion de la journée internationale de la femme  (selon l’appellation officielle de l’ONU, également appelée journée internationale des droits des femmes dans certains pays comme la France) en programmant la djette Naskö.

Ayant toujours aimé la musique, j’ai la chance maintenant de pouvoir partager les morceaux que j’aime en mixant. Cela me procure un réel plaisir de pouvoir faire bouger un public, être réunis et danser ensemble ! @Naskö

Nous en avons profité pour demander à l’artiste comment elle voyait la scène musicale à Cherbourg.

Étant une femme derrière les platines, j’ai été touchée par l’accueil du public qui est demandeur et ravi d’avoir une image féminine dans cet univers plus masculin. @Naskö

Un univers masculin, qui selon Sarah Laisney, alias Naskö, ne demande qu’à intégrer plus de femmes.

Elle encourage d’ailleurs les autres filles qui partageraient cette passion pour la musique à se lancer afin d’étoffer l’offre cherbourgeoise.

Personnellement, j’ai appris et été boostée par tous les DJ locaux que j’ai rencontrés. @Naskö

Women’s Night #1
Samedi 7 mars de 20h à 1h au Rade à Binch

Femmes dans la ville, la nuit :
L’Équipage : repas concert avec Ragaa et Reno.
Le Piccadilly : line-up 100 % féminin.
La Scène des Halles : karaoké.
Le Nouveau Café du port : concert de Teejay.

Lire aussi : Cherbourg : un nouveau rendez-vous pour les noctambules à Cherbourg

Ce qu’en pensent les internautes :

« Homme ou femme, on s’en fout. Mais, c’est vrai qu’à une époque, certaines djettes que je voyais passer dans la boîte où je bossais avaient plus tendance à montrer leurs seins qu’a mixer ! Par contre, j’en connais qui on un super niveau par rapport à certains hommes. Donc, pas super important le sexe, s’il y a le talent. » @Dj’s 2 Heart’s

« Chaque DJ a son style. Homme ou femme, ça change peu. Le problème, c’est qu’au départ, les djettes ont été médiatisées pour leur physique (anciennes stars du porno notamment) et ne savaient pas se servir d’une platine. Ça a décrédibilisé le talent. Désormais, les djettes savent mixer et pas juste montrer un physique attrayant. » @Dom B.

Lire aussi : Un nouveau groupe Facebook pour surfer entre filles !

Municipales 2020 : Olivier Boulay s'engage pour La-Madeleine-Bouvet

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De gauche à droite : Marina Kolla, Olivier Boulay, Marie-Laure Boucher, Alain Charles, Nadège Meunier, Daniel Grasteau, Aline Soumah-Barrier, Romain Tillard, Magali Joffroy, Alfredo Gonzalez, Jean-Michel Meschin.

De gauche à droite : Marina Kolla, Olivier Boulay, Marie-Laure Boucher, Alain Charles, Nadège Meunier, Daniel Grasteau, Aline Soumah-Barrier, Romain Tillard, Magali Joffroy, Alfredo Gonzalez, Jean-Michel Meschin. (©Olivier Boulay)

Le mandat s’achève et le maire sortant, Christophe Guiard, ne se représente pas à La-Madeleine-Bouvet (Orne).

Engagé pour son village, Olivier Boulay conduira une liste d’union avec des élus sortants expérimentés et une équipe renouvelée, de 5 femmes et 6 hommes, représentative des générations, des secteurs d’activité et des secteurs géographiques de la commune.

Olivier Boulay, 51 ans, artisan et père de 4 enfants, explique :

 Après 19 ans d’action au service de notre commune, je tiens à remercier Christophe Guiard pour toutes ces années d’engagement, où nous avons travaillé ensemble. Enfant du village et homme de terrain, toujours impliqué dans la vie de notre commune, je suis prêt à prendre le relais en m’investissant pleinement »

Conseiller depuis 2001, président du syndicat intercommunal de l’eau depuis 2008, le candidat tête de liste est attaché aux services publics de proximité.

Lire aussi : Municipales 2020 : à La Madeleine-Bouvet, Christophe Guiard ne sera pas candidat à sa succession

« Je défendrai les intérêts de notre village au sein de notre Communauté de communes comme auprès des services du Département et de l’Etat. Je continuerai de garantir une gestion rigoureuse comme cela a été mené par les équipes précédentes sans augmenter nos taux communaux. »

« Vivre ensemble à la Madeleine-Bouvet », c’est aussi partager et renforcer les liens, multiplier les rencontres, développer l’attractivité en soutenant les commerçants, artisans, entreprises, associations, et préserver le cadre de vie de la commune.

Olivier Boulay et ses colistiers organisent une réunion d’échanges avec les habitants le samedi 7 mars, à partir de 16 h à la bibliothèque du village.

Municipales 2020. A Castelnau-Montratier dans le Lot, Patrick Gardes dévoile sa liste « Bâtir ensemble l'avenir »

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Les membres de la liste « Bâtir ensemble l'avenir » autour du maire sortant Patrick Gardes à Castelnau-Montratier dans le Lot.

Les membres de la liste « Bâtir ensemble l’avenir » autour du maire sortant Patrick Gardes à Castelnau-Montratier dans le Lot. (©Actu Lot)

Patrick Gardes, maire sortant de Castelnau-Montratier dans le Lot, investi dans la vie communale et associative depuis 1989, avait annoncé qu’il désirait se représenter pour les Municipales 2020.

Une des raisons principales de cette décision : continuer à développer le contrat « bourg centre ». Un vaste programme de revitalisation du centre-bourg qui, depuis octobre 2017, a mobilisé la venue d’urbanistes et où il a été mis en place une concertation avec la population afin de connaître les attentes et les aspirations de chacun.

Des gens d’expérience

Entouré de 4 adjoints et de 3 conseillers sortants (Pascal Ressigeac, Isabelle Espitalié, Éliane Laval, Solange Bilbault, Gilbert Paraire, Laurent Guyard et Laurent Boyé), il a souhaité s’entourer de gens d’expérience et d’y adjoindre de nouvelles personnes impliquées dans la vie associative et issues de la société civile. Le candidat précise :

« l’expérience de toutes ces personnes a été la base commune pour bâtir la liste. Chacun des colistiers à des compétences spécifiques ».

D’ailleurs la liste a pour slogan « Bâtir ensemble l’avenir ».

Les projets

Le projet de campagne s’articule autour de plusieurs axes :

  • accueillir de nouveaux habitants, dont des familles, pour soutenir les écoles et les commerces
  • faciliter l’installation de professionnels de santé,
  • répondre aux besoins des associations sportives et culturelles
  • donner une nouvelle dynamique au centre historique
  • valoriser le cadre de vie et l’adapter à tous
  • favoriser l’emploi et le commerce
  • développer la citoyenneté avec les structures éducatives et culturelles
  • créer un conseil municipal d’enfants
  • renforcer les services publics locaux existants pour pallier l’éloignement des services de l’État.

« Ce projet n’est pas exhaustif mais nous souhaitons le porter avec l’ensemble de la population, par l’écoute, la concertation, la mise en place de commissions ouvertes. Nous sommes déterminés et volontaires avec l’envie de servir l’intérêt général dans un souci de dialogue, d’ouverture, de disponibilité et de progrès. C’est ensemble que nous devons développer et bâtir notre commune » conclut Patrick Gardes.

Réunions publiques

Deux réunions publiques sont encore prévues : mardi 10 mars 2020 à Sainte Alauzie au foyer rural à 20 h 30, vendredi 13 mars 2020 à Castelnau Montratier à la salle des fêtes à 20 h 30.

La liste

Liste « Bâtir ensemble l’avenir » : Patrick Gardes, Isabelle Espitalier, Pascal Ressigeac, Éliane Laval, Gilbert Paraire, Solange Bilbault, Alain Lopez, Bérénice Dedieu, Laurent Boyé, Isabelle Garbay, Aurélien Carbonel, Élisabeth Lavoriero, Bernard Rome, Marie-Claude Andrieu, Laurent Guyard, Liliane Lacôme, Claude Boyé, Linda Crosbie, Didier Sol, Mélanie Gimenez, Anthony Amadieu, Lucie David, Serge Lafage.

MARIE-FRANÇOISE PLAGÈS

Municipales 2020 à Évreux. La question du jour (2/10) : sécurité, quels moyens ?

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Les sept têtes de listes candidates à la mairie d'Évreux. En haut (de g. à d.) : Vincent Breuil, Emmanuel Camoin, Guy Lefrand, Mélanie Peyraud. En bas : Guillaume Rouger, Rachid Talbi, Timour Veyri.

Les sept têtes de listes candidates à la mairie d’Évreux. En haut (de g. à d.) : Vincent Breuil, Emmanuel Camoin, Guy Lefrand, Mélanie Peyraud. En bas : Guillaume Rouger, Rachid Talbi, Timour Veyri. (©La Dépêche d’Évreux)

J-12 avant le premier tour de l’élection municipale 2020 à Évreux. Sept candidats se font face dans cette course pour convaincre les électeurs ébroïciens. Les voici, dans l’ordre alphabétique :

  • Vincent Breuil, La liste citoyenne
  • Emmanuel Camoin, Rassemblement ébroïcien
  • Guy Lefrand, Pour vous, la liste des gens qui aiment Évreux
  • Mélanie Peyraud, Lutte ouvrière, faire entendre le camp des travailleurs
  • Guillaume Rouger, Évreux avance
  • Rachid Talbi, La vraie liste citoyenne
  • Timour Veyri, Évreux Ensemble

10 THEMES, 10 QUESTIONS. Pendant 10 jours, chaque jour à 18h jusqu’à la veille du weekend du premier tour de l’élection municipale, nous posons une question aux sept candidats d’Évreux. Ces réponses sont extraites de notre questionnaire, publiée chaque mardi et chaque vendredi dans nos hebdomadaires Eure Infos et La Dépêche d’Évreux, depuis le 7 février 2020. Dans cette série, tous les candidats répondent à quatre questions sur chaque thématique définie (écologie, sécurité, grands aménagements, éducation, économie, attractivité, agglomération, sports, culture, et démocratie). Nous en avons sélectionné une pour chaque thème.

La deuxième question de notre série porte sur la sécurité. Reconnue comme étant l’une des principales préoccupations des citoyens, au même titre que la fiscalité ou le chômage, la sécurité a toujours été au centre de la campagne des municipales. Et elle le reste.

À la question « Quelle doit être la priorité de leur futur maire ? », les Français interrogés, en décembre 2019, lors d’une enquête réalisée par Odoxa pour France Info, France Bleu et la presse en région, ont répondu la sécurité (47 %) et l’environnement (35 %). « Une majorité de Français (52 %) trouvent que les personnalités politiques de leurs communes ne parlent pas assez de la sécurité des biens et des personnes. Seulement 12 % trouvent qu’ils en parlent trop », détaille l’institut de sondage en précisant que « les trois quarts des Français (77 %) considèrent que les maires ont le pouvoir d’agir sur la sécurité des biens et des personnes ».

Thème préoccupant à la ville comme à la campagne,  la sécurité surclasse les autres sujets dans les grandes villes (plus de 100 000 habitants) avec 53 % de citations ainsi que dans les banlieues défavorisées. Mais, même si la hiérarchie des priorités y est plus équilibrée, elle est première également dans les plus petites communes (moins de 2 000 habitants) avec 41 % de citations ainsi qu’en zone rurale (42 %). C’est un sujet toujours aussi majeur aux yeux des sympathisants LR (62 %) et RN (54 %) ainsi que chez les 65 ans et plus.

Lire aussi : Municipales 2020. La question du jour (1/10) : quelle écologie pour Évreux ?

Les questions de sécurité restent au cœur des préoccupations des Français interrogés dans le cadre des élections municipales.

Les questions de sécurité restent au cœur des préoccupations des Français interrogés dans le cadre des élections municipales. (©La Dépêche/Eure-Infos)

La question 

Notre question du jour est donc la suivante :

Quels moyens pour la Police municipale : vidéosurveillance, effectifs, armement ?

Les réponses

  • Vincent Breuil, La Liste Citoyenne : « Au contact de la population »

« Une police municipale doit-elle inspirer la peur aux habitants ? Nous pensons que non. Elle n’a pas non plus vocation à remplacer la police nationale. Pour être vraiment efficace, la police municipale doit être mobilisée sur des actions de prévention. Cela passe par le contact humain et une confiance rétablie entre les habitants et leurs policiers. Nous en ferons des médiateurs, acteurs de la prévention des incivilités et promoteurs du bien vivre ensemble ».
« Il faut apaiser les tensions générées par le tout répressif de Guy Lefrand, véritable politique de l’échec. Le maire s’était pourtant engagé à ne pas armer sa police. Dangereuses, les armes, telles que flash ball et LBD seront supprimées. La vidéosurveillance est quant à elle une menace pour les libertés publiques, elle nécessite la présence importante et coûteuse de personnels municipaux derrière les écrans. Nous les remettrons dans la rue, au contact de la population, pour plus de proximité et une réelle sécurité ».

 

  • Emmanuel Camoin, Rassemblement Ébroïcien : « Des antennes dans tous les quartiers »

« La vidéosurveillance est un outil intéressant mais qui pose de réels problèmes d’atteinte à la vie privée. De plus, les délinquants savent parfaitement éviter les zones surveillées. A moins de mettre une caméra toutes les dix mètres, on ne fait que déplacer les zones de deal. Enfin il faut une équipe 24/24 pour surveiller et analyser car le visionnage a posteriori apporte peu et nécessite la mise en œuvre d’une lourde procédure. Le travail sur le terrain et une police de proximité sont plus productifs. La vidéosurveillance n’a pas empêché l’attentat de Nice faute d’une analyse des vidéos par un personnel formé ».

« En conséquence nous augmenterons les effectifs de la police municipale afin qu’elle puisse être plus présente dans les zones qui posent problème et qu’elle puisse nouer des contacts avec la population qui est en demande. Les policiers qui souhaitent être armés pourront faire une demande. Une formation spécifique sera alors obligatoire et ira au-delà de ce qui est, à l’heure actuelle, imposé. Cette formation sera assurée par des instructeurs qualifiés ».

« De plus nous délocaliserons les locaux de la police municipale, pour l’instant basée en centre-ville. Nous ouvrirons des antennes à Nétreville, La Madeleine et Navarre. Les policiers municipaux seront affectés à un quartier ce qui leur permettra de nouer des liens de proximité avec la population. La confiance est un élément fondamental pour le maintien de l’ordre public et c’est dans cette optique que nous agirons ».

 

  • Guy Lefrand, Pour Vous: « Doubler les effectifs »

 » À Évreux comme partout en France, la ville doit faire face au désengagement de l’État pour assurer la sécurité des biens et des personnes. Aujourd’hui constituée de 25 policiers municipaux, mon projet pour la police municipale sur la période 2020-2026 est de doubler les effectifs. Je vais aussi développer le parc de vidéo-protection pour arriver à 100 caméras installées dans tous les quartiers ».

« Ces équipements sont soumis à une réglementation très stricte en étroite collaboration avec la police nationale. Des caméras qui sont non seulement acceptées mais aussi réclamées par les habitants. Face à la montée de la violence, l’armement de la police municipale, réalité à Évreux depuis 2017, est une nécessité pour la sécurité des personnels, inscrite dans la loi du 21 juillet 2016. Je veux aussi tester le dispositif Voisins vigilants qui consiste à associer les voisins d’un même quartier pour prévenir les cambriolages ».

 

  • Mélanie Peyraud, Lutte Ouvrière : « L’emploi d’abord » 

« Dans les quartiers, le chômage et la pauvreté engendrent la misère morale. Cela va des incivilités aux violences gratuites mais aussi aux trafics. La vie est déjà difficile et elle l’est rendue encore plus par tout ça. Mais c’est illusoire de croire que c’est en mettant plus de policiers ou en installant des caméras partout que la tranquillité sera garantie. Peut-être ça rassurera. Encore faut-il que les policiers gardent un lien avec la population, avec les jeunes en particulier, qu’ils ne soient pas coupés des habitants et incontrôlés. Mais dans le fond, le problème, c’est d’abord que chacun ait un travail, une paye digne de ce nom et que chacun puisse donner un avenir à ses enfants ».

 

  • Guillaume Rouger, Évreux avance : « Des agents au plus près des habitants »

« La sécurité est l’une des premières préoccupations des Ébroïciennes et des Ébroïciens. Mais nos services de sécurité et de prévention sont en proie à une grave désorganisation et un profond manque d’exemplarité. La création en urgence, de différentes brigades, au cours de ces derniers mois, souligne les multiples manquements qui affectent l’exercice des missions de notre Police Municipale : prévention, surveillance, tranquillité, sécurité et salubrité publique ».

« Nous remettrons de l’ordre dans nos services, confirmerons les ports d’armes et mobiliserons nos agents au plus près des habitants, grâce à la création d’antennes de la Police Municipale dans tous nos quartiers. Nous poursuivrons le déploiement de la vidéosurveillance : elle permet de dissuader les auteurs d’incivilités et d’aider à l’élucidation de crimes et délits. Il faut aussi vivre avec son temps : nous favoriserons l’expérimentation et l’évaluation des nouvelles technologies de sécurité et de prévention ».

« Nous proposons également la création d’une plateforme de mise en relation des habitants avec leur Police Municipale. C’est la condition d’une meilleure écoute des habitants et d’une plus grande efficacité au quotidien ».

 

  • Rachid Talbi, La vraie liste citoyenne : « Un redéploiement judicieux des effectifs »

« Avec les 44 caméras que possède la ville, on a un ratio d’une caméra pour 1090 habitants. Evreux est donc bien placée parmi les villes de taille moyenne. Compte tenu du coût élevé (entre 8000 € et 10 000 la caméra), on ne peut installer des caméras à Evreux qu’en cas de besoin identifié. L’extension du système de vidéo surveillance est nécessaire pour lutter contre le trafic de drogue. Ceci doit être réalisé conjointement avec la police nationale et le conseil local de sécurité et de prévention de la délinquance pour mettre la pression sur les dealers de drogues. Cela doit être la priorité du prochain mandat en termes de sécurité ».

« L’effectif des policiers municipaux doit être renforcé par des policiers de qualité pour atteindre 35 policiers dans les 6 années avenirs pour couvrir les 1500 interventions annuelles. Il faut ajuster le budget de la formation pour avoir des interventions efficaces des policiers et mise à niveau régulière. En ce concerne l’armement, je suis totalement hostile à ce que la police municipale soit armée parce que ce serait une banalisation des armes létales qui doit rester l’apanage de la police nationale. La police municipale est là pour assurer la tranquillité publique, elle n’a pas besoin d’être armée. Je ne souhaite pas non plus cet armement, estimant qu’un redéploiement judicieux des effectifs sur le terrain sera plus efficace ».

 

  • Timour Veyri, Évreux Ensemble : « Un encadrement très strict »

« Je veux ici le dire avec fermeté : le « tout-vidéo » est une faute. A l’inverse, je veux remettre des femmes et des hommes sur le terrain. Ce qu’il faut, ce sont des policiers municipaux partout, dans les quartiers, bien formés, soutenus et proches des habitants. Je veux une véritable police de proximité pour Évreux ».

« S’agissant de la question de l’armement de la police municipale (PM), celle-ci s’est posée dès 2016. J’ai connu personnellement les attentats terroristes lorsque j’étais conseiller Place Beauvau auprès du ministre de l’Intérieur. Ce sujet doit être traité très sérieusement, loin des effets d’annonce. Ce qu’il faut, c’est un encadrement très strict. Je souhaite donc un bilan de cette expérimentation ».


A Basse-Goulaine, la liste menée par l'élu de l'opposition se dévoile

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La liste emmenée par le chef de file de l'opposition.

La liste emmenée par le chef de file de l’opposition. (©Hebdo de Sèvre et Maine)

A Basse-Goulaine (Loire-Atlantique), la liste « Basse-Goulaine autrement », emmené par Michel Aubé, élu d’opposition au conseil municipal, est composée de 15 hommes et 14 femmes, parité oblige.

« La moyenne d’âge est de 58 ans et nous sommes tous ancrés localement », souligne la tête de liste.

Dans l’équipe, 17 sont natifs de Nantes, 6 du Grand Ouest et 6 de d’autres régions.

Côté programme,  « Basse-Goulaine autrement » a déterminé de grands axes. La participation citoyenne est au coeur du projet de l’équipe. 

Lire aussi : Municipales 2020. Ce que les patrons ont proposé aux candidats du Vignoble nantais

Deuxième axe : le logement. Michel Aubé promet ainsi qu’il n’y aura « plus de nouvelles constructions à proximité d’activités agricoles à risques ».

Autre volonté : développer l’habitat coopératif peu gourmand en énergie. La liste pense même à déménager les ateliers municipaux afin de libérer du terrain proche du centre-ville.

La liste souhaite également organiser des déplacements tenant compte des quartiers et de la diversité des mobilités en multipliant par dix les itinéraires doux, en accroissant les dessertes en transport en commun.

10 % du budget dédié à l’environnement

10 % du budget sera totalement dédié à l’environnement avec du reboisement en masse sur les terrains non-constructibles (365 arbres par an, essences locales). La liste entend combattre les déversements sauvages des déchets de toutes sortes, et venir en soutien à l’agriculture locale bio.

Par ailleurs, il y aura de « nouvelles initiatives » pour le sport, la culture et les loisirs avec la création d’un office municipal des sports indépendant et créatif, la création d’un festival annuel et des projets de scènes ouvertes, valoriser les équipements existants.

Quant au social intergénérationnel, Michel Aubé et son équipe proposent la création d’une crèche municipale ou intercommunale complémentaire à l’offre d’assistances maternelles, la création d’une antenne de mutuelles solidaires pour tous et la permanence physique d’un agent de la sécurité sociale une fois par mois sur rendez-vous.

Qui est sur la liste ?
1- Michel Aubé, 68 ans, ancien responsable organismes sociaux*, 2- Claudine Jouan, 62 ans, ancienne conseillère de vente, 3- Jean-Pierre Dautais, 75 ans, ingénieur agronome retraité, 4- Nelly Detanger, 63 ans, ancienne employée de l’enseignement, 5- Yannick Tessier, 58 ans, agent SNCF, 6- Régine Hercelin, 59 ans, ancien cadre de l’enseignement, 7- Emmanuel Dupin, 50 ans, agent SNCF, 8- Martine Godefroy, 71 ans, ancienne traductrice documentaliste, 9- Pierre Vansteene, 32 ans, cadre administratif, 10- Marie-Agnès Duhil, 62 ans, comptable, 11- Pierric Nicolli, 45 ans, éducateur spécialisé, 12- Maryline Abellard, 61 ans, agent administratif, 13- Daniel Gounot, 77 ans, professeur retraité, 14- Frédérique Laclos, 43 ans, administratif et commercial, 15- Joël Courtois, 60 ans, cadre formateur retraité, 16- Bernadette Durand, 54 ans, agent de service, 17- Daniel Cailleau, 73 ans, ancien cadre de la poste, 18- Christine Ringuet, 47 ans, cadre RH, 19- Gérard Mouillesse, 75 ans, chef d’exploitation informatique, 20- Marie-Jeanne Guille, 68 ans, vendeuse retraitée, 21- Michaël Abellard, 32 ans, ouvrier qualifié, 22- Cindy Marteau, 42 ans, agent SNCF, 23- Marcel Guille, 73 ans, ancien soudeur, 24- Lucie Duros, 68 ans, couturière retraitée, 25- Henri Nomel, 67 ans, ancien agent territorial, 26- Carole Gillier, 62 ans, chef de projet informatique, 27- André Bernard, 66 ans, ancien expert-comptable, 28- Solène Detanger, 37 ans, employée de commerce, 29- Jean-Christophe Auneau, 53 ans, directeur socio-culturel.
*En italique, les élus sortants

Municipales 2020. Une liste ouverte se lance à Lanrivain

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De gauche à droite : Robert Le Bris, Anne Gautier, Joseph Tydou, Roland Le Cam.

De gauche à droite : Robert Le Bris, Anne Gautier, Joseph Tydou, Roland Le Cam. (©L’Echo de l’Argoat)

Le 19 février dernier, Robert Le Bris, Joseph Tydou et Roland Le Cam, ont lancé une liste ouverte sans étiquette à Lanrivain. Ils ont été rejoints, le vendredi 27, par Anne Gautier, adjointe sortante.

La liste s’intitule désormais : Avec tous pour Lanrivain.

N’étant que quatre, nous nous présentons plutôt comme un groupe de citoyens désireux de proposer nos services pour contribuer, si les électeurs nous choisissent, au travail de la nouvelle municipalité. Ceci dans un esprit d’ouverture, au-delà des partis et des divergences d’opinions. Nous aurons à cœur de travailler au bien vivre ensemble à Lanrivain, de soutenir notre école et nos associations. L’écoute de nos jeunes et de leurs attentes, la présence à nos anciens, méritent à nos yeux un effort particulier. »

La liste ouverte se compose de : Robert Le Bris, retraité de l’agriculture, 68 ans ; Anne Gautier, enseignante retraitée, 70 ans, adjointe sortante ; Roland Le Cam, agriculteur, 48 ans ; Joseph Tydou, chauffeur d’ETA, 25 ans.

Lire aussi : Municipales 2020. Philippe Le Joncour est candidat aux municipales à Lanrivain

Comment Jean-Louis Etienne prépare l'expédition dans le plus grand puits de carbone du monde

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La mission Polar Pod, à laquelle prendra part l'explorateur tarnais Jean-Louis Etienne, devrait débuter en 2023.

La mission Polar Pod, à laquelle prendra part l’explorateur tarnais Jean-Louis Etienne, devrait débuter en 2023. (©Polar Pod)

Jean-Louis Etienne, c’est un nom qui « claque » quand on aborde les sujets réchauffement climatique et préservation de la nature. Jean-Louis Etienne, c’est le premier homme à avoir atteint le Pôle Nord en 1986, dirigé par le soleil, à la force de ses chiens de traîneaux.

En plus de 30 ans d’expéditions dans l’Arctique, l’océan Pacifique et d’autres contrées, sur mer ou dans le ciel, en dirigeable, l’explorateur français a accumulé des données inestimables sur la biodiversité, les véritables conséquences du réchauffement climatique et l’état de la planète.

Lire aussi : Jean-Louis Etienne à Cherbourg : « L’océan austral joue un rôle sur la régulation du climat »

Au cœur de l’océan Austral

À 73 ans, le Tarnais, originaire de Vielmur-sur-Agout, petit village de 1 400 habitants, baroudeur dans l’âme, n’en a pas fini avec les lointaines expéditions.

Sa prochaine mission, Polar Pod, va l’emmener, lui et une équipe de huit personnes, dont quatre ingénieurs scientifiques (les relèves d’équipages se dérouleront tous les deux mois), dans l’océan Austral, pour une traversée de 22 000 kilomètres au cœur des « Cinquantièmes Hurlants », dans une zone située entre les 50 et 55° de latitude Sud.

Et avec des objectifs bien précis, comme l’indique Jean-Louis Etienne à actu.fr :

Faire l’inventaire de la biodiversité marine et étudier les effets du réchauffement climatique dans ce qui constitue le plus grand puits de carbone du monde. Or, nous ne savons pas aujourd’hui quelle est l’efficacité de ce puits de carbone.

Départ prévu en 2023

L’explorateur français travaille sur cet ambitieux projet depuis une dizaine d’années. Prévu en 2020 puis 2021, le départ « devrait se faire en 2023. Nous sommes en plein dans les arcanes administratives et les contraintes techniques mais les études sont terminées », poursuit Jean-Louis Etienne.

L'explorateur français fera partie d'un équipage de huit personnes chargé d'aller étudier l'impact du réchauffement dans l'océan Austral, considéré comme le plus grand puits de carbone du monde.

L’explorateur français fera partie d’un équipage de huit personnes chargé d’aller étudier l’impact du réchauffement dans l’océan Austral, considéré comme le plus grand puits de carbone du monde. (©Ludovic Ameline)

Lire aussi : Réchauffement climatique : une nouvelle photo alerte sur la fonte des glaces au Groenland

À quoi ressemblera le vaisseau

La mission Polar Pod vient du nom du vaisseau qui guidera les scientifiques dans l’océan Austral, qui encercle l’Antarctique. Une plateforme à l’aspect révolutionnaire dont la conception est assurée par Ship ST, un bureau d’études basé à Lorient (Morbihan). La construction de Polar Pod, qui devrait débuter en 2021, est actuellement soumise à un appel d’offres. L’explorateur tarnais détaille : 

Le vaisseau est un treillis de 80 mètres de profondeur en sous-marin, qui en assurera la stabilité car les eaux profondes sont les plus stables. Des hydrophones seront immergés pour écouter la faune. L’équipage habitera à la surface du vaisseau, conçue comme un tube vertical. Le Polar Pod sera autonome en énergie et ne consommera pas de fioul. C’est le courant qui entraînera le vaisseau.

L’équipage va dériver durant deux ans sur « le courant marin circumpolaire, le courant le plus puissant au monde, long de 1 000 kilomètres et large de 24 000. Il rencontre les océans Indien, Pacifique et Atlantique. »

Des maquettes ont été créées au sein de l’Institut français de recherche pour l’exploitation de la mer (Ifremer) de Brest (Finistère) pour simuler les conditions météo de l’océan Austral, entre vagues immenses et fortes tempêtes.

« Nous connaissons les conditions de mer pour un bateau mais les publications sur l’océan Austral concluent la même chose : nous avons besoin de mesures in situ et de longue durée. Mais c’est loin, difficile d’accès et ça coûte cher », détaille l’explorateur.

« Une mission Jules Verne ! »

Le coût, justement, d’une mission d’une telle importance ? 15 millions d’euros pour la construction du Polar Pod (financés par l’Etat) et 10 millions d’euros pour l’expédition, financée par un partenariat public-privé (PPP). Mais rien n’est bouclé…

Je recherche encore des fonds. C’est sûr que des compétitions comme le Vendée Globe sont plus spectaculaires, et qu’il est plus facile de trouver des financements. Mais notre projet correspond à l’attente du public, car il informe les gens sur la situation climatique. Nous sommes dans une mission Jules Verne !

Lire aussi : +7°C en 2100 : le réchauffement climatique sera plus fort que prévu, selon des scientifiques français

Son regard sur le réchauffement climatique

Le réchauffement climatique est une préoccupation majeure de notre temps, dans les discours politiques, au quotidien… et dans la bouche des candidats aux élections municipales, qui se tiendront dimanche 15 et 22 mars 2020.

Jean-Louis Etienne porte « un regard réaliste mais pas pessimiste » sur le sujet. « Le réchauffement climatique est dû à l’effet de serre du gaz carbonique, que nous renforçons à cause de nos émissions. Les océans sont plus chauds, la neige se raréfie dans les montagnes. »

Pour le scientifique tarnais, la lutte contre ce phénomène inclut la participation de chacun au quotidien. Il détaille :

On a toujours l’impression que ce sont les autres qui consomment trop mais nous sommes tous responsables du réchauffement climatique ! Il ne faut pas attendre que l’Etat décide pour nous mais être plus attentif dans notre façon de se déplacer. Il faut aussi orienter les investissements, sur l’isolation des bâtiments, par exemple.

L’explorateur cite l’exemple d’Airbus qui réfléchit à construire des avions moins consommateurs d’énergie. « Car on ne va pas arrêter le transport ! »

Lire aussi : De l’huile de friture dans les Airbus, la solution écolo pour continuer à prendre l’avion

« J’ai toujours ce désir de l’Everest »

La passion du travail – « notion qui a été confisquée sur quelque chose de besogneux alors qu’elle est bénéfique si on s’investit et qu’on l’enrichit » -, « la petite lumière » des projets personnels qui renforcent, la force de la pédagogie sur des sujets concernant les générations futures : voilà ce qui fait encore courir Jean-Louis Etienne.

« J’ai toujours ce désir de l’Everest, cette traversée des tentations de l’abandon quand on se demande ce que l’on fait là. Je suis un privilégié par rapport à moi-même. Le travail est affaire de persévérance. C’est ce que je répète souvent aux jeunes : foncez ! »

Vous pouvez suivre l’avancée de Polar Pod sur le site internet du projet.

Coronavirus. Pénurie de gels, de masques : à Bayeux, les pharmaciens rassurent

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Les pharmacies de Bayeux (Calvados) ont été dévalisées en gel hydroalcooliques. Et impossible de dire quand elles en auront de nouveaux, les stocks ayant été réquisitionnés par l'Etat.

Les pharmacies de Bayeux ont été dévalisées en gels hydroalcooliques. La solution est devenue précieuse. Mais pas de panique, elle n’a de réelle utilité qu’à l’extérieur (à la maison il faut privilégier le lavage de mains au savon), et des solutions existent pour en fabriquer soi-même. (©Illustration/La Renaissance le Bessin)

La peur du coronavirus est contagieuse. Elle s’est répandue sur tout le territoire et n’a pas épargné la ville de Bayeux (Calvados), même si aucun cas n’y a été détecté. Les pharmacies ont été dévalisées en gels hydroalcooliques et en masques

« Il y a un vent de panique général alimenté par les chaînes d’informations en continu », note Antoine Morice, pharmacien à l’officine du Pont Saint-Jean.

Il faut prendre du recul, même si évidemment, il ne faut pas nier l’importance de la situation. Je rappelle toujours que la grippe saisonnière a fait 10 000 morts en France la saison dernière. Le Covid-19, c’est 4 pour le moment. C’est 4 de trop évidemment, mais il faut savoir raison gardée.

Lire aussi : Coronavirus. Un deuxième cas confirmé en Normandie : le patient hospitalisé à Rouen

Des centaines de demandes quotidiennes

Chaque jour, il voit défiler plusieurs dizaines de personnes inquiètes. « Une cinquantaine » qu’il faut rassurer, et conseiller. A la pharmacie Saint-Patrice, la plus importante de Bayeux c’est « presque 1 personne sur 2 qui nous demande si on a encore du gel depuis que le virus a touché l’Italie ». Là aussi, les stocks sont vides. Et quand les commandes arrivent, au compte-gouttes, elles ne font pas long feu : « On en a reçu une soixantaine jeudi dernier. Deux jours plus tard, on n’avait plus rien », précise le pharmacien Laura Nandji. « On devrait en ravoir dans les prochains jours, mais on n’a pas de date précise ».

Faire son gel soi-même ?

L’Etat a réquisitionné une grande majorité des stocks. Ce qui explique la pénurie : « Mais ça va se régler, c’est le temps que les solutions et les contenants soient fabriqués en nombre ». En attendant, pour ceux qui en ont vraiment besoin, les pharmaciens conseillent de préparer son gel par soi-même, avec des huiles essentielles antivirales telles que le ravintsara ou le tea tree, mélangées à de l’huile végétale et du gel d’aloe vera.  

Lire aussi : Coronavirus : à Caen et dans le Calvados, l’église prend des mesures pour les messes

Un geste essentiel : se laver les mains !

Mais surtout, surtout, ils sont unanimes sur l’action essentielle à exécuter : un lavage de mains fréquent, et rigoureux.

Le gel ne sert que lorsque l’on est à l’extérieur. A la maison, ou au bureau, il n’y a rien de mieux que de se laver les mains régulièrement avec un savon doux ou antiseptique, assure-t-on à la pharmacie du centre.

Lire aussi : Doit-on s’inquiéter du coronavirus au Mont-Saint-Michel ?

La pharmacie du centre, rue Saint-Malo à Bayeux, vient de recevoir un stock d'une cinquantaine de masques 3 plis. Ils sont efficaces pour ne pas contaminer les autres si l'on est malade, mais ils ne protègent pas contre le coronavirus.

La pharmacie du centre, rue Saint-Malo à Bayeux, vient de recevoir un stock d’une cinquantaine de masques 3 plis. Ils sont efficaces pour ne pas contaminer les autres si l’on est malade, mais ils ne protègent pas contre le coronavirus. (©La Renaissance le Bessin)

Des masques réservés aux professionnels de santé

Une pharmacie qui vient de recevoir un petit stock de masques 3 plis, et qui le fait d’ailleurs savoir sur sa vitrine. Des masques qui évitent de contaminer les autres si on est malade, mais qui ne protègent pas du virus. « Ceux-là, on les appelle les FFP2. Les pharmacies vont en recevoir, mais ils seront uniquement destinés aux professionnels de santé ».

Impossible en effet d’imaginer que toute la population pourra en être dotée, comme l’explique Antoine Morice : « Ils ne sont efficaces que quelques heures, il faut donc en changer très régulièrement. C’est une illusion de penser que l’on pourrait équiper tout le monde. » Mais pour lui, ce virus doit faire prendre conscience d’une chose à la société : « que la prévention est essentielle ».

Ce n’est pas dans notre culture comme ça peut l’être en Asie, mais porter un masque pour ne pas contaminer les autres lorsque l’on est malade, c’est la meilleure solution. Si on avait pour habitude d’avoir ces réflexes de prévention quand on a un rhume ou la grippe, on aurait davantage de réserves de masques. J’irais donc jusqu’à dire que les masques devraient être remboursés par la sécurité sociale. On limiterait les contaminations, on aurait moins de gens malades et ça coûterait moins cher à la société.

En attendant, outre un lavage de main régulier et le port d’un masque (si l’on en trouve !) quand on est malade, l’ARS (Agence régionale de santé), informe largement sur les gestes « barrières » simples pour préserver sa santé et celle de son entourage : tousser ou éternuer dans son coude, saluer sans se serrer la main, éviter les embrassades et utiliser des mouchoirs à usage unique.

Loire-Atlantique : malgré l'épidémie de coronavirus, Gims viendra bien au festival de la Nuit de l'Erdre

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Le festival de la Nuit de l'Erdre, à Nort-sur-Erdre (Loire-Atlantique) est maintenu, tout comme le concert de Gims le 28 juin 2020.

Le festival de la Nuit de l’Erdre, à Nort-sur-Erdre (Loire-Atlantique) est maintenu, tout comme le concert de Gims le 28 juin 2020. (©La Nuit de l’Erdre)

Depuis la multiplication du nombre de cas liés à l’épidémie de coronavirus, de nombreux événements sont reportés ou tout simplement annulés. En effet, les rassemblements dans des lieux confinés de plus de 5 000 personnes ont été interdits.

Lire aussi : Coronavirus : elle a réservé pour 21 concerts de Matt Pokora et craint leur annulation

Gims doit se produire à Nort-sur-Erdre le 28 juin 2020

La Nuit de la Bretagne à Paris, la dernière journée du Salon de l’agriculture à Paris ou encore le Salon du tourisme ont ainsi été annulés. Tout comme le concert de Gims au Zénith de Nantes (Loire-Atlantique) qui a été reporté, comme une bonne partie de sa tournée.

Gims, justement, doit se produire à Nort-sur-Erdre (Loire-Atlantique) le dimanche 28 juin 2020, dans le cadre du festival de la Nuit de l’Erdre.

« Le festival est bien maintenu »

Le festival nortais a annoncé, ce mercredi 4 mars 2020, que les concerts étaient, pour le moment, « maintenus ».

Gims @ La Nuit de l'Erdre

Préparez-vous pour le show de Maître GIMS le dimanche 28 juin !Billetterie toujours disponible 👉 www.lanuitdelerdre.frOn se tient bien sûr au courant de l'actualité, et sa venue n'est pour le moment pas compromise, le festival est bien maintenu 😉 On vous tiendra informés en cas de recommandations officielles.#LNDE2020

Publiée par Festival La Nuit de l'Erdre sur Mardi 3 mars 2020

Même si les organisateurs savent que les choses pourraient être amenées à évoluer.

On se tient bien sûr au courant de l’actualité et la venue de Gims n’est pour le moment pas compromise, le festival est bien maintenu. On vous tiendra informés en cas de recommandations officielles.

Lire aussi : Coronavirus : des dispositions prises dans les écoles et à l’hôpital de Châteaubriant

Gims avec The Avener, Yannick Noah, The Kooks…

Le concert de Gims pourra donc bien se tenir du côté de Port Mulon. En compagnie de The Kooks, The Avener, Yannick Noah, Suzane, Muthoni Drummer Queen et Chernobilly Orkestr.

Montpellier : ils gazent et tirent avec un pistolet à billes sur un couple et ses enfants

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Un jeune homme de 22 ans a été interpellé pour une conduite sans permis et avec la voiture d'un autre ce mardi 3 mars 2020.

ILLUSTRATION/ Les policers de la Sécurité publique sont intervenus (@Sicop)

Une famille montpelliéraine se souviendra encore longtemps de sa visite chez une amie, dans un appartement de la rue des Passereaux, dans le quartier des Aubes, mardi soir.

Un couple et ses deux enfants âgés de 2 et 4 ans a répondu à l’invitation à dîner d’une amie. La famille est arrivée vers 19h et, alors que la conversation battait son plein depuis moins de dix minutes, la fille de la propriétaire des lieux, âgée de 20 ans s’est invitée, en compagnie de son compagnon, âgé de 29 ans qui sont hébergés dans la maison.

Une simple réflexion 

La fille et son ami, visiblement ivres, ont interrompu les échanges entre sa mère et ses hôtes, mais, sur un ton cavalier. La fille a notamment très mal parlé à sa mère, ce qui a valu une réflexion du chef de famille invité, qui l’a connaît pour être déjà venu : « Tu n’as pas à parler comme ça à ta mère ». Cela n’a pas été du goût de la jeune femme.

La situation a alors très vite dégénéré. La fille et son concubin sont allés récupérer une gazeuse et a aspergé le salon de lacrymogène puissant, les deux jeunes enfants compris, dont le bébé de 2 ans qui était dans les bras du père et qui a été pris de vomissements.

Tirs depuis le balcon

Le papa est descendu dans la rue pour mettre le bébé à l’abri dans sa voiture, mais, en remontant chercher sa femme et le second enfant, il a trouvé porte close. À l’intérieur, il a entendu une inquiétante agitation, puis des coups de feu. Il est parvenu à pénétrer dans l’habitation en usant de la force, pour constater que la fille, surexcitée, brandissait un pistolet, tirant des coups de feu.

Le père, sa femme et leur enfant de 4 ans ont détalé pour se réfugier dans leur véhicule, essuyant encore des tirs depuis le balcon. Fort heureusement, ils n’ont pas été atteints et il s’agissait d’un pistolet chargé avec des billes.

La police nationale avait été appelée entre-temps. La fille de la propriétaire de la maison et son compagnon, qui seraient des toxicomanes, ont été interpellés et placés en garde à vue au commissariat central.

Light Run, une course nocturne pour la bonne cause au Relecq-Kerhuon

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Light Run, course nocturne, partira vendredi 6 mars 2020 à 19h, devant le Spadiumparc au Relecq-Kerhuon. (©Course des lumières)

Six étudiants en IUT Gestion des Entreprises et des Administrations organisent une course-marche Light Run au Moulin Blanc, au Relecq-Kerhuon près de Brest. Une course du même type avait déjà été organisée par des étudiants en 2017.

Cette course nocturne sera illuminée par des accessoires fluorescents. Avec la possibilité de parcourir 5 ou 10 km, en marchant, en courant, en trottinette, ou en roller… Elle se déroulera sous le thème des années 80-90. Les déguisements sont les bienvenus.

Lire aussi : The Transat CIC : 28 skippers prendront le départ de Brest le 10 mai 2020

Les fonds reversés à l’hôpital Morvan

La journée est aussi un événement festif durant lequel les participants seront soutenus dans leurs efforts par des animations musicales grâce à la prestation de deux DJ, Valentin Trichet ainsi que Charles Bouvot.

Les fonds seront reversés, via l’association Céline et Stéphane, à l’unité hématologie-oncologie pédiatrique de l’hôpital Morvan.

Infos pratiques :
Vendredi 6 mars 2020, départ à 19h, puis toutes les dix minutes jusqu’à 20h au Spadiumparc, boulevard Léopold Maissin, au Relecq-Kerhuon.
Page Facebook : Light Run Brest.
Tarif : 6 euros.


Aubigny-Les Clouzeaux : Michelle Grellier présente un programme « démocratique, écologique et solidaire »

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Michelle Grellier, tête de liste d'A nous tous l'avenir, citoyen et durable

Michelle Grellier, tête de liste d’A nous tous l’avenir, citoyen et durable (©JPY)

Michelle Grellier, actuelle adjointe aux finances sur la commune d’Aubigny-Les Clouzeaux, et tête de liste d’A nous tous l’avenir, citoyen et durable ! dévoile son programme.

Notre programme s’appuie sur les acquis des mandats précédents et sur la dynamique apportée par la commune nouvelle. Nous l’avons co-construit avec les habitants lors de deux ateliers organisés en janvier et en lien avec les acteurs locaux : agriculteurs, professionnels de santé et associations ».

Cinq grands axes

Les cinq grands axes du projet que Michelle Grellier qualifie de « démocratique, écologique et solidaire » commencent par conforter l’avenir de la commune nouvelle en créant, par exemple, un habitat pour personnes seniors autonomes aux Clouzeaux et un pôle commercial à Aubigny.

Le bien-être de la population et le bien vivre ensemble se traduira pas la volonté d’installer un repair café pour allonger la durée de vi du petit électroménager.

La candidate tient aussi à impliquer les jeunes en créant un conseil municipal des jeunes (CMJ) et en investissant dans les équipements sportifs. La transition écologique est un autre axe majeur qui animera l’équipe d’A nous tous l’avenir, citoyen et durable ! La liste propose notamment d’augmenter la part de produits locaux et bio dans les restaurants scolaires et de sensibiliser encore davantage aux gestes citoyens.

Michelle Grellier et ses colistiers veulent également « nourrir le dialogue en continu avec la population » à travers la mise en place d’ateliers participatifs, des sondages et des commissions municipales ouvertes.

Et enfin, Michelle Grellier veut continuer à « affirmer le poids et l’influence de la commune dans l’intercommunalité » en assumant son rang de 2e commune de La Roche-sur-Yon Agglomération. Une future gouvernance que la candidate souhaite la plus sincère et la plus transparente et la plus proche des citoyens.

Réunion publique jeudi 5 mars à 20 h 30 à la salle des fêtes des Clouzeaux

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Cabourg : Stanislas Champain est finaliste du championnat de France de pizza

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Stanislas Champain ne conçoit ses pizzas qu'avec des produits locaux, voire provenant directement d'Italie.

Stanislas Champain ne conçoit ses pizzas qu’avec des produits locaux, voire provenant directement d’Italie. (©Le Pays d’Auge)

Stanislas Champain, cuisinier à Cabourg (Calvados), représentera les couleurs de la Normandie lors de la finale du 15e championnat de France de pizza du 29 au 31 mars 2020 à Paris. Rencontre avec ce globe-trotter culinaire. 

Du 29 au 31 mars prochains, Stanislas Champain sera présent au salon Parizza, rendez-vous de la gastronomie italienne à Paris, porte de Versailles. Pas pour y flâner entre les spécialités… Non, ce Cabourgeais de 31 ans est l’un des sept cuisiniers normands à concourir pour la finale nationale du 15e championnat de France de pizza qui se déroulera en parallèle du salon. 

Lire aussi : Championnat de France de pizza : sept candidats de Normandie qualifiés en finale

Avant cette ultime étape nationale, Stanislas a participé aux sélections régionales qui se sont déroulées à Hérouville-Saint-Clair, le 27 janvier 2020, à l’issue desquelles il a terminé à la sixième place sur 22 candidats. Pas mal pour une première participation.

Il y a trois ans, lors d’un salon à Paris, je suis tombé par hasard sur le championnat de France de pizza, je me suis dit que ça pouvait être intéressant d’être jugé par des professionnels. Vu que les sélections s’effectuaient à Caen, je me suis dit : pourquoi pas…

Un autodidacte de la cuisine

Pour ce jeune autodidacte de la cuisine, apprendre et toujours apprendre est un leitmotiv. « J’ai une formation de pâtissier à la base » reconnaît-il, mais sa soif de découverte le conduit à multiplier les expériences et à voyager dans différents pays, « ça ouvre l’esprit de voyager ».

Notamment en Chine où il découvre la cuisine locale, mais également en Italie, où il participe à l’exposition de Milan sur le pavillon de la France en 2015.

J’y ai renforcé mes connaissances sur la gastronomie italienne, pour y goûter d’excellentes pizzas. Je voulais essayer de les reproduire en France.

Sans avoir suivi de formation de pizzaïolo, ce globe-trotter culinaire s’acharne aujourd’hui à reproduire les secrets des recettes italiennes à « La Casa », son restaurant situé avenue de la Mer, « je travaille avec des produits et producteurs locaux, de Terracina ». La ville italienne est jumelée avec Cabourg, « j’essaye d’y aller régulièrement, et de me faire livrer des produits de là-bas, comme le fromage ‘Fiore DI latte’ ». Sa spécialité ? « la ‘grosse’ Calzone : une calzone classique mais très étirée, ce qui permet une cuisson plus régulière de la pâte… »

« Il y aura du niveau »

Fin mars, à Paris, le jeune cuisinier sera face à son four pour tenter de surprendre le jury lors des différentes épreuves de la finale : rapidité, pizza la plus large, pizza acrobatique, en duo avec un chef… Le tout, sans trop de pression sur ses épaules.

Mon objectif, c’est de participer, ce serait sympa d’être dans les 50 premiers, car il y aura du niveau.

Sur 150 participants, ce serait une belle performance. Et pour cela, pas de préparation particulière, « on se prépare en travaillant au quotidien… » souligne Stanislas avec un sourire.

Et quoi qu’il arrive en finale, un champion du Monde de la pizza l’a félicité pour sa pâte lors des sélections, ce qui constitue déjà une belle victoire…

Le Molay-Littry. Moly Véhicules Passion prépare une exposition de véhicules anciens

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Dominique Desvages, président et Bernard Regnault, trésorier adjoint de l'association Moly Véhicules passion.

Dominique Desvages, président et Bernard Regnault, trésorier adjoint de l’association Moly Véhicules passion. (©La Renaissance le Bessin)

L’association Moly Véhicules Passion, présidée par Dominique Desvages, organise une exposition de véhicules anciens, à quatre ou deux roues, et toutes marques confondues. Elle aura lieu sur la place du marché, au Molay-Littry (Calvados), le dimanche 8 mars 2020, de 10 h à 13 h.

Un stand accueillera les adeptes de véhicules d’antan, qu’ils en soient propriétaires ou non. Il sera possible d’adhérer à l’association pour une cotisation annuelle de 20 €/an. Ce sera aussi l’occasion de découvrir les nombreuses animations prévues pour cette année. Dans le cadre de la « journée de la femme », les dames qui passeront au stand auront une surprise :

Nous souhaitons des animations à thème et dans la convivialité et recevrons avec plaisir toutes vos idées.

Julie Desvages, secrétaire ajoute « Cette animation sera sans doute réitérée chaque 1er dimanche du mois ».

Un geste pour les enfants malades

Dominique explique : « Nous avons envie dans un rayon de 30 km, de récupérer, avec le soutien des mairies, des jouets en bon état, que nous remettrons à une association soit pour des enfants malades ou des enfants dont les parents sont en difficulté ». Un autre projet est en réflexion avec l’EHPAD de Caumont-sur-Aure et Le Molay-Littry. « Nous souhaitons aussi travailler en bonne intelligence avec des associations de motards car c’est aussi eux qui nous escortent lors de nos défilés ».

Championnats de France d'Athlétisme. Eugénie Hue : « Je n'ai vraiment pas de regret »

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   Eugénie Hue sort d'une prestation très correcte à Liévin, même si elle n'a pas été en mesure de se qualifier pour la finale.

Eugénie Hue sort d’une prestation très correcte à Liévin, même si elle n’a pas été en mesure de se qualifier pour la finale. (©DP)

Eugénie Hue, athlète du NCA Cherbourg a donné le maximum en série du 400 mètres. Insuffisant tout de même pour accéder à la finale des championnats de France élites, à Liévin.

Lire aussi : Course à pied : le calendrier dans la Manche en 2020

Vous terminez deuxième de votre série. Êtes-vous déçue ?

Je suis déçue, parce que je ne suis pas en finale. En revanche, je suis très satisfaite de mon chronomètre. Je bats mon meilleur temps de la saison et c’est le deuxième de ma carrière en salle (54 »92), derrière mes 54 »43.

Pouviez-vous faire un peu mieux ?

Je suis arrivée avec le septième temps des filles engagées. Je termine avec le septième chrono. On peut donc dire que je suis à ma place.

Le 7e chrono, c’est ma place.

Lire aussi : Une athlète de l’AS Tourlaville championne de France juniors du lancer du disque

Dans cette série, la première (ndlr : Marjorie Veyssière, du Stade Clermontois) était-elle abordable ?

C’est la classe au-dessus. Elle est une demi-seconde devant moi. Mais je réalise une belle course. Je la garde sans cesse dans ma ligne de mire et, mentalement, je n’ai pas lâché. Je n’ai vraiment pas de regret à avoir. D’autant que la qualification se jouait au temps et non pas à la place. Que je sois dans une autre série et que je gagne n’aurait donc rien changé.

Qu’a-t-il manqué pour que vous puissiez franchir un cap ?

Tout au long de l’hiver, j’ai couru sans véritable concurrence. Je suis un diesel et j’ai besoin de disputer plusieurs épreuves pour trouver mon rythme. Et lors de la seule course où j’aurais été contrainte de m’employer, à Saint-Brieuc, j’étais malade. On ne va pas refaire le monde mais, oui, il m’a manqué une grosse confrontation avant d’arriver sur ces Championnats de France au meilleur de ma forme.

Comment envisagez-vous la suite de la saison ?

Là, je prends une semaine de repos. Mais j’ai déjà hâte d’entamer ma préparation pour la période estivale.

Avec quelles ambitions ?

Celle de participer aux Championnats de France élites, bien sûr.

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Avec une finale à la clé, cette fois-ci ?

Même s’il y aura sans doute huit qualifiées cette fois-ci, contre six à Liévin, ce sera sans doute encore plus compliqué. Avec les Jeux Olympiques en tête, plusieurs filles ont fait l’impasse sur la saison hivernale. Là, elles vont arriver. Pour atteindre la finale, sans doute faudra-t-il descendre sous les 54 secondes (ndlr : elle avait réussi 54 »07 l’été dernier). Le jour J, il ne faudra pas arriver malade ou blessée, car les autres filles n’attendront pas.

D’ici là, il y aura d’autres belles échéances ?

Les interclubs notamment. D’autant qu’ils auront lieu à Querqueville. Mais là, on court avant tout pour le club, pour l’équipe. C’est un contexte assez différent. Je participerai sans doute au 400 mètres et au relais 4 X 400. Pour trouver de la concurrence, il faudra probablement que je participe aussi à quelques meetings.

Handball : Vernon s'est fait peur contre Gonfreville

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Le soulagement des joueurs du SMV après avoir arraché la victoire à quelques secondes du coup de sifflet final.

Le soulagement des joueurs du SMV après avoir arraché la victoire à quelques secondes du coup de sifflet final. (©Le Démocrate Vernonnais)

Le derby normand de handball, opposant Vernon (Eure) à Gonfreville, a tenu toutes ses promesses samedi 29 février 2020. Du nombre de buts inscrits aux performances individuelles, en passant par un Grévarin plein à craquer, toutes les conditions étaient réunies pour assister à une grande rencontre handball.

Une classe d’écart

Et les joueurs de Benoit Guillaume ont d’entrée pris la mesure de l’événement. Dès les premières secondes, le SMV a imposé un rythme dominateur, imposant une défense intraitable à des Gonfrevillais en clair manque d’inspiration.

Avec une défense à deux pivots menée par Veljko Indjic et Adrien Vergely, les rouges et bleus ont facilement pris l’ascendant sur les hommes de Ibrahima Diallo. D’autant que la tâche a été facilitée par la performance hors-norme de Fernando Garcia.

Avec quatre arrêts en quatre minutes, le portier Argentin a ébloui le Grévarin, permettant à son équipe de maintenir sa cage inviolée pendant plus de cinq minutes. Il a fallu attendre la 8e minute pour voir Gonfreville inscrire son premier but (4-1, 8e).

Lueur d’espoir

La première lueur d’espoir est apparue au milieu du premier acte pour Gonfreville. Après que Indjic, dans tous les coups, ait frôlé l’exclusion définitive pour une manchette sur Lapointe, le SMV a baissé de pied, permettant aux Gonfrevillais de refaire son retard (7-4, 12e).

Pourtant, jamais les hommes de Benoit Guillaume n’ont semblé être inquiétés. En maintenant un écart d’au moins quatre buts, les rouges et bleus ont fait preuve d’un sérieux exemplaire. Et lorsqu’ils subissaient les offensives adversaires, c’est par le banc des remplaçants que la solution est venue.

Pour preuve, cette entrée de Bandjougou Gassama (23ème), de retour de blessure, a totalement dynamisé l’attaque vernonnaise.

Profitant du marquage très efficace des Gonfrevillais sur les ailes, les arrières du SMV, délaissés par les centraux adverses, ont eu toute la liberté de fusiller à distance le portier normand.

Avec une avance de six buts à la pause (18-12), les hommes de Benoit Guillaume semblaient intouchables.

Avance confortable

L’avance était confortable. Le match, lui, semblait plié. Pourtant, comme trop souvent cette saison, le SMV a, petit à petit, affiché un visage moins dominateur.

7Au fur et à mesure des minutes, l’écart entre les deux formations se réduisait considérablement.

Comme lorsque la défense a oublié Niakaté dans son dos (20-16, 36e), ou quand Pochet a manqué un face-à-face avec le portier adverse.

C’est finalement l’inconstance dans la prestation des rouges et bleus qui leur a porté préjudice. Face à la constance de Gonfreville, le SMV a vu son avance réduite à tel point que les visiteurs ont pu revenir à égalité (33-33, 59e).

Proches du naufrage

Complètement apathiques pendant dix minutes, le salut est finalement venu de Lagier-Pitre. Très solide, et malgré un SMV réduit à cinq après deux exclusions pour deux minutes, l’arrière vernonnais a inscrit le but libérateur à dix secondes du coup de sifflet final.

La victoire tient donc à cet exploit individuel, combiné au poteau touché par Gonfreville sur l’attaque suivante. Presque un miracle, donc, pour une victoire qui n’aura finalement pas été si simple.

Les stats
Gardiens : Garcia (c.) 9 arrêts en 31 min, Gourville 2 en 29 min, Van Kets.
Joueurs de champ : Clémentia 5 buts (dont 1 penalty), Fortes 4, Lagier-Pitre 9, Gassama 6, Indjic 2, Vergely 3, Gaillard 1, Pochet 4, M’Tima 1, Bouteiller, Delaporte.

 

Les réactions d’après-match
Bandjougou Gassama
« On s’en sort bien aujourd’hui. On savait que ce derby ne serait pas simple. On a très bien joué en première période, mais je ne m’explique pas ce trou d’air. On a été en réussite sur la base arrière et avec nos ailiers. Personnellement, j’étais en manque de rythme mais très motivé par le fait de gagner ce derby. On les met à cinq points, c’est une bonne opération pour la première place. »
Laurent Lagier-Pitre
« Au moment où je prends la balle, j’essaye de faire le tir le plus difficile pour un gardien. Je ne pense qu’à gagner le match au moment de tirer. Je suis venu pour ce genre de moments, pour apporter mon expérience du plus haut niveau. Il faut continuer de montrer que Vernon a été rétrogradé sur l’extra-sportif, pas sur le plan handballistique. On est un club de Proligue, on ne peut pas se permettre de perdre un match comme ça. »
Benoît Guillaume
« Il y a un gros écart entre notre production de la première et de la deuxième mi-temps. On a une telle maîtrise défensive sur phase de construction adverse et sur les replis qu’avec notre réussite offensive, on est presque indécents de réussite. Après, on commence à être moins efficace offensivement, on se fait traverser sur les remontées de balle. Ça ne se joue à rien du tout, chacun à eu sa mi-temps. »

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