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Les colistiers autour du maire sortant Didier Vieceli, 3e en partant de la droite au deuxième rang. (©L’Orne combattante)

Elu depuis 2008 maire de Berjou, près de Flers, dans l’Orne, Didier Vieceli s’est décidé à repartir une nouvelle fois en campagne à la conquête d’un troisième mandat de maire. Il a présenté son équipe composée de femmes et d’hommes motivés et attachés à servir la commune en donnant le meilleur.

Être Maire, c’est ne pas avoir peur des responsabilités. En ma qualité de maire sortant, je participe à nouveau aux élections municipales et viens solliciter vos suffrages. Je m’autorise à le faire, car il me reste des tâches à accomplir. C’est pourquoi je vous présente aujourd’hui des projets, et surtout une équipe, autour de conseillers sortants fidèles et efficaces. Merci à ceux qui nous quittent.

Dans sa profession de foi, Didier Vieceli insiste : J’ai choisi des personnes qui aiment notre village. Des femmes et des hommes de tous horizons de tous âges, attachés à leur commune […]. Pour le quotidien il appartiendra à notre équipe, de représenter vos intérêts auprès de la communauté d’agglomérations de Flers Agglo en nous impliquant dans ses commissions.

Le programme est le suivant : une nouvelle mairie dans le bâtiment juxtaposant l’école et création d’une rampe d’accès avec reprise pour les personnes à mobilité réduite. Accès facilité à l’église grâce également à une rampe côté opposé à la sacristie. Des allées gravillonnées dans le cimetière sur feutre géotextile pour limiter la repousse de l’herbe et faciliter l’entretien. Implantation de lampadaires solaires à led (économie et facilité de pose) à tous les arrêts de bus, route des Oiseaux et autres lieux selon les souhaits exprimés. Remise en état des routes communales et dessertes locales. Mise en place d’une communauté de voisins vigilants. Rénovation de la salle à manger de la cantine. Implication des enfants dans l’embellissement du futur espace vert du bourg et sensibiliser les enfants au respect de la nature (plantation de haies…). Point d’aide aux démarches administratives et informatiques pour tous à la mairie. Prendre en compte les suggestions des habitants.

Composition de la liste

Didier Vieceli (64 ans), maire sortant, retraité de l’aéronautique et de l’éducation nationale ; Charlène Achard-de-la-Vente (29 ans), aide-soignante ; Bénédicte Bon (41 ans), secrétaire médicale ; Anthony Camut (42 ans), directeur de société informatique ; Eric Le Pelley (53 ans), 2e adjoint sortant, tourneur ; Laurent Lebailly (49 ans), conseiller sortant géomètre ; Bertrand Madelaine (39 ans), ouvrier qualifié ; Johnny Suzanne (48 ans), ouvrier qualifié ; Jean-Michel Tirel (54 ans), technicien ; Charles Villeroy (69 ans), agent de maîtrise en retraite ; Hélène Yvetot (47 ans), employée de banque.
La liste de Didier Vieceli où manque Charlène Achard-de-la-Vente.

La RD 315 est barrée à la circulation jusqu’en début d’après-midi. (©Le Réveil de Neufchâtel )

Un accident de circulation a eu lieu ce jeudi 5 mars 2020 près de Grandvilliers (Oise). Un semi remorque transportant du sable s’est renversé peu avant 6 h sur la route départementale 315.

Le semi remorque transportait du sable. (©Le Réveil de Neufchâtel )

La route est barrée jusqu’en en début d’apres- midi sur l’axe Grandvilliers– Le Coq Gaulois, depuis la commune de Sarcus et le carrefour avec la RD 919. Une déviation a été mise en place par l’unité départementale des territoires de Songeons en direction de Feuquières (Oise).

Deux dépanneuses pour les camions de Beauvais sont sur place.

Les pompiers de Crevecoeur-le-Grand, Formerie et Grandvilliers sont intervenus sur place.

Le conducteur, blessé léger, a été emmené vers le centre hospitalier de Beauvais.

Ancien maire adjointet élu d’opposition au conseil municipal, Gabriel Sino a pris la tête de la liste Vernon,ville citoyenne. (©Le Démocrate vernonnais)

Gabriel Sino a toujours été un militant. À l’université d’abord, au sein de l’Unef-ID, et de la LCR. En 2002, il prend sa carte au Parti socialiste : « J’aime changer les choses, ne pas rester dans mon coin. Et puis, cela correspond à mes valeurs de solidarité, de partage et d’entraide ».

Le militant de gauche œuvre aussi dans les associations. Ce père de trois enfants est notamment le responsable local de la Fédération des parents d’élèves FCPE. Pour cette élection, il a ouvert sa liste « à des personnes qui n’avaient pas de carte à un parti politique. Des citoyens, soucieux de l’écologie, qui veulent s’engager pour leur ville ».

« Je fais confiance aux Vernonnais »

Né au Cameroun il y a 50 ans, arrivé à Vernon en 1999, il est élu pour la première fois en 2008, dans l’équipe de Philippe Nguyen Thanh. Adjoint en charge notamment de la sécurité et du numérique, l’ingénieur en informatique a « repensé toute l’architecture informatique de la mairie ». « Persévérant », il se reconnaît parfois « têtu ».

Ce passionné de voyages, adepte du Krav Maga et de la course à pied, veut « remettre l’humain au coeur de tous les projets de Vernon. Il faut redonner aux Vernonnais ce qui leur a été confisqué. Et puis l’écologie, nous l’avions déjà mise au cœur de notre programme en 2008 car la question essentielle est de savoir ce que l’on veut laisser à nos enfants ».

Désormais chef de file, Gabriel Sino assure « toujours donner son maximum pour ne jamais regretter et faire confiance aux Vernonnais ».

La liste conduite par Christian Caminade à Toutens.

La liste conduite par Christian Caminade pour les élections municipales à Toutens.

Maire de Toutens depuis 1995, Denis Magré a décidé de ranger son écharpe tricolore. C’est Christian Caminade, conseiller municipal sortant, qui brigue sa succession à la tête d’une liste constituée de cinq autres élus sortants et cinq nouveaux venus.

Le candidat à la fonction de maire de Toutens explique les raisons l’ayant poussé à conduire cette liste :

Le maire Denis Magré et deux adjointes, Cécile Maupoint et Micheline Lourde, ont décidé d’arrêter. Plusieurs personnes m’ont dit qu’il fallait que je prenne la suite. C’est quelque chose à laquelle j’avais déjà pensé mais pas forcément pour tout de suite car c’est une fonction qui demande de la disponibilité et que je suis encore en activité. Mais j’ai fini par me lancer en souhaitant bien m’entourer.

Sa vision de la fonction de maire

Christian Caminade a donc constitué une liste « représentative de l’ensemble de la commune » avec une moyenne d’âge de 45 ans.

Fort d’une expérience de trois mandats de conseiller municipal (deux à Vallègue et un à Toutens), ce technicien à Réseau 31, originaire du Tarn-et-Garonne et arrivé dans le Lauragais en 1988, livre sa vision de la fonction de maire :

C’est celui qui est là pour faire appliquer les décisions prises majoritairement au sein du conseil municipal. Mais il y a tout un travail d’équipe derrière et il a des coéquipiers autour de lui pour le soutenir.

Des projets à poursuivre et d’autres à engager

Celui qui est actuellement le président du club de pétanque de Toutens évoque également les projets qui figurent au programme de son équipe :

On a la chance d’avoir des finances saines. L’objectif sera de mener à terme les projets qui sont lancés comme la rénovation de l’église et la création d’une salle pour les associations à côté du terrain de pétanque. Parmi les nouveaux projets, il y aura la sécurisation de trois intersections : la chicane au niveau de la traversée du village, celle située à l’entrée du lotissement sur la route de Caraman et l’accès au lotissement de 20 lots au centre du village.

« Mieux maîtriser l’urbanisation du village »

Le candidat à la mairie de Toutens évoque également ses objectifs en ce qui concerne le développement du village mais également les problématiques liées à l’accueil de nouvelles populations :

Il faudra aussi œuvrer à la numérotation et la nomination des voies du village et travailler à l’évolution de notre carte communale vers un document d’urbanisme nous permettant de mieux maîtriser l’urbanisation. Je souhaite aussi que l’on travaille sur le vivre ensemble pour inciter les gens qui viennent s’installer à Toutens à prendre conscience que l’on est dans un village, que l’on y roule doucement, que l’on respecte ses voisins… Et si des opportunités intéressantes se présentent, nous étudierons la possibilité de constituer des réserves financières pour des équipements futurs et ainsi prévoir l’avenir.

Enfin, Christian Caminade livre sa vision de la crise qui secoue actuellement la communauté de communes Terres du Lauragais :

Je pense que le regroupement de ces trois intercommunalités n’a pas été la meilleure des idées… Mais si on doit revenir en arrière et quitter Terres du Lauragais, ce ne doit pas être dans la précipitation mais après avoir étudié toutes les conséquences financières et autres.

La composition de la liste

Voici dans l’ordre alphabétique la composition de la liste conduite par Christian Caminade :

Nicolas Angiono
Christian Caminade
Cécile Castanet
Carine Compan
Lydie Dupray
Philippe Fédou
Geneviève Horseau
Pascal Méric
Charlène Puget
Thierry Rougier
Sandrine Tortel

Le maire Gaëtan Lambert a informé les parents de l’école primaire Alain-Fournier de la fermeture de l’établissement suite à deux cas déclarés de Coronavirus dans la commune, dont un enfant scolarisé en classe préparatoire. (©La Gazette de la Manche)

Depuis ce jeudi 5 mars 2020, l’école primaire Alain-Fournier de Sartilly (Manche) est fermée par mesure de précaution. Deux cas de Coronavirus (Covid-19) ont été déclarés dans la commune, dont un enfant scolarisé en classe préparatoire.

Sur place, les parents sont invités à rentrer chez eux avec leurs enfants.

Sous une pluie battante, les enseignants et le maire, Gaëtan Lambert, veillent à canaliser les flux, de sorte que les écoliers de la maternelle et du collège voisins ne croisent pas les autres élèves.

Depuis avant -hier, nous avions une suspicion de contamination. Elle a été confirmée suite à l’hospitalisation pour analyses à l’hôpital d’Avranches du papa et de l’enfant ».

A l'entrée de l'école André-Fournier de Sartilly (Manche), un panneau informe de la fermeture de l'établissement par mesure de précaution ce jeudi 5 mars 2020.

A l’entrée de l’école Alain-Fournier de Sartilly (Manche), un panneau informe de la fermeture de l’établissement par mesure de précaution ce jeudi 5 mars 2020. (©La Gazette de la Manche)

Etat grippal signalé

Mardi 4 mars 2020, l’assistante de vie scolaire de l’école Alain-Fournier de Sartilly (Manche) a signalé son retour du rassemblement religieux à Mulhouse avec son mari et son enfant, scolarisé dans cette école.

Son époux et l’enfant étaient dans un état grippal.

Réunion dans la nuit

Le maire a été averti dans la nuit de la décision de fermer l’école ce jeudi matin.

Il explique :

La décision a été prise suite à une discussion entre le préfet, l’Agence régionale de santé et le rectorat. J’ai ensuite été averti dans la nuit ».

Une réunion est prévue sur place ce matin entre les parents d’élèves et un représentant de l’Agence régionale de santé et de la préfecture, qui devrait, entre autres, déterminer la durée de fermeture de l’école primaire.

La préfecture communique

Dès confirmation, l’Agence régionale de santé de Normandie a engagé les investigations, en lien
avec la Cellule régionale de Santé publique France et le centre hospitalier de Saint-Lô.

Elle travaille à l’identification des personnes avec lesquelles l’élève a été en contact rapproché afin de prendre toutes les mesures utiles pour contenir les éventuelles transmissions du virus. Les familles des élèves concernés seront donc contactées dans la journée du 5 mars afin d’indiquer à chacune d’entre elles la conduite à tenir ».

Réaction de la président des parents d’élèves

Céline Fons, la présidente de l’association de parents d’élèves des écoles publiques de Sartilly, indique sur place, ce jeudi matin :

La mairie et l’école ont fait ce qu’il faut pour la sécurité de nos enfants. Ils savent mieux que nous ce qu’il en est de la situation et on les laisse agir dans les meilleures conditions pour les élèves. »

De fortes pluies sont attendues jeudi 5 mars 2020 sur Vire Normandie (Calvados) et ses environs tout au long de la journée. (©La Voix Le Bocage)

Alors que février 2020 a comptabilisé pas moins de 24 jours de pluie sur les 29 jours du mois (supérieurs à 1 millimètre), mars commence sur les chapeaux de roues. Le flux d’ouest perturbé ne laisse que très peu de place à l’anticyclone positionné depuis le début de l’hiver sur les Açores, au sud-ouest de l’Espagne.

Que ce soit à Vire Normandie (Calvados), à Villers-Bocage, à Noues-de-Sienne et ailleurs dans le Bocage et Pré-Bocage, la journée de ce jeudi 5 mars 2020 ne verra que l’ombre des nuages.

40 millimètres

Dès la fin de nuit, une perturbation abordera l’ouest de la région et circulera jusqu’en fin de journée en déversant d’importantes quantités d’eau. Des pluies continues donc, soutenues, qui laisseront jusqu’à 40 litres d’eau au mètre carré, notamment sur les collines du Bocage. Villers-Bocage et Les Monts d’Aunay devraient observer « seulement » un cumul d’une vingtaine de millimètres.

D’importantes quantités de pluie sont attendues ce jeudi 5 mars 2020. (©Météociel)

Une certaine douceur accompagnera ce mauvais temps, les températures pouvant dépasser les 10 °C en journée, mais le vent sera également sensible avec des rafales de l’ordre de 70 km/h en deuxième partie d’après-midi.

Quelques gelées

Un flux de nord-ouest, cette fois-ci moins humide, se mettra en place les deux jours suivants. À la faveur d’éclaircies nocturnes, de faibles gelées concerneront principalement les fonds de vallées. Le mercure descendra à -1 °C tout au plus, notamment samedi 7 mars à l’aurore.

Comme si elle nous avait manqué, la pluie reviendra dimanche dans la matinée, laissant la place à de belles percées ensoleillées dans l’après-midi. Le début de semaine prochaine s’annonce quant à lui assez calme dans un flux de sud-ouest assez doux et parfois humide.

Comme Elisa, Jean-Charles, Mathilde, Solène et Théo l'an passé participez au concours Normands autour du monde et partez à la rencontre des expatriés.

Comme Élisa, Jean-Charles, Mathilde, Solène et Théo l’an passé, participez au concours « Normands autour du monde » et partez à la rencontre des expatriés. (©Archives M-B/76actu)

La troisième saison du concours « Normands autour du monde » est lancée. Si vous avez entre 18 et 35 ans et que vous avez envie pendant 21 jours de partir aux quatre coins du monde à la rencontre des expatriés Normands, tentez votre chance !

Une aventure humaine

Jusqu’au 15 avril, Normandie attractivité invite les Normands de 18 à 35 ans à participer à la troisième saison de ce concours : l’opportunité pour cinq jeunes de partir à la découverte des Normands expatriés sur les cinq continents, du 9 au 30 septembre 2019.

« Une aventure humaine pleine de surprises, de défis, de rencontres… Grâce à l’hospitalité et à la solidarité normandes autour du globe, les cinq lauréats seront accueillis sur place par des Normands expatriés, notamment par les ambassadeurs de Normandie attractivité », indique l’agence dans son communiqué de presse.

Comment participer ?

Pour pouvoir candidater, c’est simple : il faut être Normand (résidence principale en Normandie), avoir entre 18 et 35 ans et être libre du 9 au 30 septembre ! Les personnes intéressées sont invitées à déposer leur candidature en ligne, avec leur vidéo de présentation, jusqu’au 15 avril, sur ce site.

L’édition 2019 en chiffres
• 113 candidats ;
• 5 lauréats : Élisa, Jean-Charles, Mathilde, Solène et Théo ;
• 25 pays traversés, 29 villes visitées ;
• 150 Normands rencontrés sur les cinq continents ;
• 12 établissements scolaires associés à l’aventure.

Après une pré-sélection sur dossier, les candidats retenus rencontreront le jury (journalistes, forces vives, institutions) lors du week-end des 25 et 26 avril. Les noms des cinq lauréats seront dévoilés à l’issue de ce week-end de sélection.

actu.fr partenaire de « Normands autour du monde »

Toute l’organisation des périples sera assurée par Normandie attractivité (transports, frais d’hébergement et de repas…). Chaque lauréat sera accompagné pour construire son parcours et identifier les Normands qui jalonneront l’aventure.

Durant le voyage, les candidats partageront leurs périples, anecdotes et surprises sur un blog et les réseaux sociaux de Normandie attractivité, en textes, photos et vidéos. Comme l’an passé, actu.fr, France3 Normandie, France Bleu Normandie, Paris-Normandie, partenaires du concours, suivront également leurs aventures.

Bonne chance à tous.

La mouture de l’édition 2020 s’annonce riche et variée. (©Be Bagnoles)

Par la voix de Didier Simon, son directeur, l’EPIC Bagnoles-de-l’Orne Tourisme a présenté récemment la teneur de l’édition 2020 de la saison culturelle de la station thermale de Bagnoles (Orne) dont le public aura tous les détails ce vendredi soir.

Spectacle gratuit

« Une nouvelle fois, la saison a un contenu riche et varié, pour plaire à tous les âges et à tous les styles, explique le responsable. Trois grands temps forts et six concerts et spectacles sont au programme, avec, pour le lancement de la saison, une soirée en deux temps ce 6 mars au Centre d’animation. La soirée débutera par une présentation détaillée des différentes animations ».

L’intervention sera suivie, à 21 h, d’un spectacle gratuit proposé par la Compagnie Heidi a bien grandi : « Hic ! » où quatre garçons « dans le vin » se réunissent dans le troquet favori, La Bernique, pour trinquer au comptoir. Dans un style café-théâtre, le patron, Sylvain et ses trois piliers de bar favoris, Pierrick, Jérôme et Roger vont déballer des brèves de comptoir, entre états d’âme et performances liquides, chansons alcoolisées, musiques à danser et tranches de vie gratinées.

Du vintage aux Balkans

Les cinq autres prestations baladeront le public avec bonheur du vintage aux confins des Balkans. Mais aussi à l’époque de la grande musique classique, avec un concert à ne pas manquer, en partenariat avec l’Opéra de Rouen et l’Orchestre Régional de Normandie. Strauss, Wagner et Beethoven donneront aux musiciens et choristes la possibilité d’exprimer tout leur talent aux airs du Tannhäuser, les Quatre derniers Lieder et de la 5^e Symphonie entre pureté du chant et puissance dramatique.

Dans les « grottes » du Centre d’animation et à divers endroits de la ville, une exposition des œuvres du sculpteur contemporain Belge Patrick Villas se laisseront admirer et commenter de juin à septembre. Le premier week-end de l’été sera salué par la Fête Belle-Epoque. Les festivals d’été ponctueront les week-ends de juillet et août avec les incontournables Vendredis de l’Été et Les Clés de Bagnoles.

Autres moments à ne pas manquer : La Ville aux Enfants en octobre et la clôture de la saison culturelle un mois plus tard avec les chorégraphies des Ballets Plasschaert. Pour tout savoir dans le détail et profiter ensuite d’un spectacle riche en tanins, rendez-vous vendredi soir.

Vendredi 6 mars, 20 h, auditorium du centre d’animation, Bagnoles de l’Orne Normandie. Entrée gratuite.

Premier plan, de gauche à droite : Fabienne Cado, Céline Heinry, Marjorie Schuer, Patricia Marsollier, Marianne Blandiot, Hervé Olivry, Jean-Claude Pipard. Second plan : Christian Tariel, Alexis Viel, Camille Giteau, Marcel Orhan, Patrick Van Den Eynde, André David et Christophe Nouvel (©Le Journal de Vitré)

Patricia Marsollier, maire sortante de Drouges, se présente avec une équipe renouvelée, composée de sept conseillers sortants et huit nouveaux candidats avec une moyenne d’âge de 52 ans.

L’équipe veut travailler dans la continuité du mandat qui prend fin dans quelques jours.

Nous allons continuer la validation du plan local d’urbanisme avec une future réflexion pour mettre en lien le bourg et le village de la Tonneraie par des aménagements naturels, l’aménagement de la rue de la Fontaine, l’entretien des bâtiments et de la voirie. Nous souhaitons également continuer à apporter notre soutien aux associations locales. Nous réfléchirons à la meilleure façon de maintenir le commerce dans la commune qui a fermé. »

La Liste Continuons ensemble pour Drouges

Patricia Marsollier. 54 ans, fonctionnaire territorial en disponibilité (maire sortante).
Camille Giteau. 67 ans, exploitant agricole en retraite (adjoint sortant).
Martine Marzin. 48 ans, policière municipale (adjointe sortante).
Christophe Nouvel. 52 ans, exploitant agricole (conseiller sortant).
Hervé Olivry. 56 ans, exploitant agricole (conseiller sortant).
Jean-Claude Pipard. 67 ans, charpentier (conseiller sortant).
Marianne Blandiot. 31 ans, factrice.
Fabienne Cado. 53 ans, exploitante agricole.
André David. 65 ans, exploitant agricole en retraite.
Céline Heinry. 36 ans, préparatrice de commande.
Marcel Orhan. 70 ans, exploitant agricole en retraite.
Marjorie Schuer. 37 ans, ergothérapeute.
Patrick Van Den Eynde. 62 ans, fonctionnaire territorial.
Alexis Viel. 21 ans, agent de comptoir commercial.

Jean-Louis Carpentier et Frédéric Leveillé proposent des réunions publiques à Argentan à quelques jours du premier tour des élections municipales. (©Argentanais changeons de cap ensemble et Le Journal de l’Orne)

Deux des quatre candidats têtes de liste aux élections municipales des 15 et 22 mars 2020 à Argentan (Orne) invitent les électeurs à les rencontrer lors de réunions publiques.

Frédéric Leveillé, Agir ensemble pour Argentan, propose plusieurs rendez-vous, à 20 heures, les jeudi 5 mars à la salle René-Cassin, mardi 10 mars à la salle Guy-de-Maupassant, et jeudi 12 mars à la Maison du citoyen.

Jean-Louis Carpentier et sa liste Argentanais changeons de cap ensemble – Un cœur, une ambition, un avenir les attends le vendredi 6 mars, à 20 heures, à l’espace René-Cassin.

Deux candidates à la mairie de Pairs, Anne Hidalgo et Rachida Dati, lors du premier débat télévisé de campagne, le 4 mars 2020. (©POOL/AFP/Bertrand GUAY)

Police municipale armée, ou non ? Une ville propre, mais comment ? Quelle place pour la voiture ? Sept candidats à la mairie de Paris ont égrené leurs mesures et tenté de convaincre les électeurs, lors d’un premier débat mercredi 4 mars 2020 sur LCI.

Les Parisiens « souffrent d’embouteillages et de pollution »

Le premier à se jeter dans le bain est Cédric Villani, selon un tirage au sort. En cinq minutes, le mathématicien médaillé Fields, promet qu’« on n’entendra plus les Parisiens parler sans cesse de leurs problèmes du quotidien, parce qu’ils souffrent ».

« Ils souffrent de problèmes d’embouteillage et souffrent de la pollution, des rues qui ne sont pas propres et qui sont insécures », martèle le député exclu de LREM pour avoir refusé de se rapprocher du candidat officiel, à l’époque Benjamin Griveaux.

Un coup de coude échangé avec le mathématicien pour le saluer, et voici la maire PS sortante, Anne Hidalgo, sur le plateau pour décrire son rêve d’une ville à l’image des quais de Seine piétonnisés : « Une ville où on respire, où on peut lâcher la main de nos enfants, on peut se promener, une ville où on réduit la place de la voiture, réduit les pollutions. »

Rachida Dati dénonce « l’anarchie partout »

« Je cours en apnée sur les berges qui sont des latrines à ciel ouvert », lui a répondu, plus tard, la candidate LR Rachida Dati, qui a dénoncé une « anarchie partout (…) dans la circulation, dans les travaux, dans l’espace public ».

Entrée dans la bataille il y a deux semaines, Agnès Buzyn (LREM), plus discrète, a assuré que « ça fait longtemps qu'(elle) pense à ce mandat ». « Je me disais que le plus beau mandat est celui de maire », a assuré la candidate en déficit de notoriété.

Alors que l’écologie est au centre du débat, le candidat d’Europe Ecologie-Les Verts (EELV), en perte de vitesse dans les sondages, David Belliard, a ramené au devant de la scène son projet de déterrer la Bièvre, rivière parisienne enfouie, et ainsi créer de la fraîcheur pour mieux lutter contre les effets de la canicule.

Des sondages imprécis dans une bataille indécise

A l’approche du premier tour des municipales du 15 mars, la bataille reste très indécise et l’enjeu, de taille, pour les trois candidates qui font la course en tête dans les sondages. Selon une enquête de Harris Interactive-Epoka diffusée mardi, Rachida Dati continue de progresser (25%), devançant Anne Hidalgo (24%) et la LREM Agnès Buzyn (17%).

Viennent ensuite l’écologiste David Belliard (11%) et le député congédié de LREM Cédric Villani (8%), tous deux à la peine après avoir flirté avec les 15%. Enfin, en bas du tableau, l’Insoumise Danielle Simonnet (5%) et le candidat soutenu par le Rassemblement national Serge Federbusch (4%). Le huitième candidat, Marcel Campion, crédité autour de 1%, n’était pas invité au débat.

« Des prix dingues » pour les logements

Face aux critiques sur son bilan, Anne Hidalgo s’est échiné à répondre de son bilan et justifier ses décisions, comme ses changements de position relative à la police municipale que la maire sortante a longtemps refusée avant de la réclamer, pour gérer les problèmes d’incivilités.

Autre préoccupation dans la capitale, le logement, dans une ville où le prix à l’achat a « dépassé cette semaine les 11 000 euros du mètre carré« , selon Agnès Buzyn, qui a dénoncé »des prix dingues ».

Concernant la politique de la maire sortante en lutte contre la plateforme de location AirBnb, l’ex-ministre de la Santé a jugé sa proposition de baisser le nombre de nuitées (aujourd’hui fixé à 120 jours par an) « indécente » :

Vous avez 29 personnes pour contrôler AirBnb, et 300 personnes à la communication.

Dénonçant des « prix exorbitants », M. Belliard, le benjamin parmi les candidats, souhaite « utilis(er) l’existant », soit remettre les « logements vacants et résidences secondaires » sur le marché, rappelant son opposition à de nouvelles constructions.

Il faut « réquisitionner les logements vides » et faire en sorte que les emplois soient développées en périphérie de la capitale, pour limiter les déplacement des salariés franciliens, a développé l’Insoumise, Danielle Simonnet.

Alors que la maire de Paris veut poursuivre sa politique du logement social et atteindre les 25% d’ici 2025, ou poursuivre le projet de foncière pour permettre l’accès à la propriété aux ménages de la classe moyenne, Serge Federbusch, cinglant, a dénoncé un « festival de démagogie ».

Ce premier débat sera suivi le 10 mars par un deuxième organisé par France Télévisions, et un autre entre les deux tours, sur BFMTV, le 18 mars.

Des trains ont été arrêtés à la gare de La Haye-Fouassière, en raison d’inondations. (©Hebdo de Sèvre et Maine – archives)

Les pluies importantes et régulières entraînent des perturbations de circulation. Et pas seulement sur les routes.

De nombreux trains sont en retard dans la région.

Ce jeudi 5 mars, le souterrain de la gare de La Haye-Fouassière a même été inondé.

Des usagers ont traversé les voies ferrées

Les usagers ne pouvant pas accéder sur la voie qui part en direction de Nantes, certaines personnes ont traversé les voies ferrées.

🔴 Le souterrain de #LaHaieFoussière est inondé. Certaines personnes traversent les voies ce qui est très dangereux. Nos TER sont donc contraints de s'arrêter afin d'éviter un accident grave.
Nos équipes arrivent sur place pour assurer la circulation. pic.twitter.com/iPsOY0Q3ip

— TER Pays de la Loire (@TERPays2LaLoire) March 5, 2020

Ce qui a entraîné l’arrêt des trains afin d’éviter un accident grave.

La SNCF a dépêché des équipes sur place pour assurer la circulation des usagers.

Un nouveau radar est installé, depuis le mercredi 4 mars 2020, sur la route reliant Saint-Sever-Calvados à Vire Normandie. (©La Voix Le Bocage)

En fin de matinée, un radar nouvelle génération a pris place sur l’axe Vire Normandie et Saint-Sever-Calvados à hauteur de la commune de Mesnil-Clinchamps.

Le précédent, incendié en décembre 2018, a été remplacé ce mercredi 4 mars 2020 par un radar tourelle. Désormais les automobilistes peuvent être de nouveau contrôlés dans le sens de circulation Saint-Sever-Calvados Vire sur cette portion de route limitée à 70 km/h.

Au lycée Tocqueville, les élèves trient leurs déchets, qui sont directement broyés sur place (dans le hublot noir) et deviennent ensuite du compost. (©Carole LE GOFF)

Depuis la reprise des cours, lundi 2 mars, au lycée professionnel Alexis de Tocqueville, les habitudes ont évolué concernant la gestion des déchets alimentaires. Dorénavant, leurs aliments, mais aussi les serviettes en papier, sont directement broyés sur place. Ils seront ensuite stockés dans des poubelles spécifiques, et collectés pour se transformer en compost.

Alors au lycée, durant deux jours, une sensibilisation était organisée pour rappeler les gestes à adopter, afin de faciliter la valorisation de ces déchets.

1 000 repas servis par jour

Dans l’établissement cherbourgeois, 1 000 repas sont servis par jour, et environ 180 000 par an. De quoi générer un certain nombre de déchets, à plusieurs niveaux, comme l’explique Benoît Lepetit, chef cuisinier :

Le matin, lorsqu’on épluche les légumes frais, il y a déjà pas mal d’épluchures à récupérer. Ensuite, lorsqu’ils ont mangé, les élèves viennent aussi apporter des déchets. Et enfin, après le service, les restes des repas préparés finissent aussi à la poubelle.

Plusieurs actions dans l’établissement

Ces derniers mois, plusieurs actions ont déjà été mises en place afin de limiter le volume de denrées non consommées, comme le rappelle Anabelle Aries, adjointe gestionnaire au lycée Tocqueville :

Nous avons supprimé une partie des emballages plastiques individuels, pour le fromage par exemple. Les élèves se servent à la coupe. C’est un travail mené par toute l’équipe de l’établissement, qui souhaite s’engager sur ce sujet. Par la suite, on envisage une autre organisation du service. Actuellement, ils choisissent tout leur repas en arrivant. On pourrait imaginer un système où les jeunes se serviraient d’abord en entrées, puis en plats. Ce qui leur permettrait de manger à leur faim, et d’éviter le gaspillage.

Un projet en développement

Désormais, les déchets du lycée trouveront une deuxième vie en servant à des maraîchers biologiques partenaires de la démarche menée avec l’association Les Petits composteurs. Le projet, récemment lancé, est actif avec quatre structures du Cotentin. Clémence Delcroix en détaille l’avancée :

Pour le moment, c’est une plateforme partenaire qui assure le compostage. L’idée, c’est de lancer dans le Cotentin une plateforme de compostage à destination des professionnels. Ce compost pourra ensuite être utilisé localement par des maraîchers, qui fournissent aussi certains établissements scolaires en fruits et légumes. Comme ça, la boucle est bouclée, et en local.

Salim Lesage conduira la liste Achères ma ville face à celles de Marc Honoré, Alain Outreman et Michèle Foubert. (©DR)

À 28 ans, Salim Lesage, Achérois « depuis toujours », chef d’entreprise dans le secteur du tourisme, diplômé de la faculté de droit et de géographie, conduira la liste Achères ma ville, en vue des élections municipales de mars à Achères (Yvelines).

Une liste sans étiquette qui bénéficie du soutien personnel de la députée de la 6^e circonscription, Natalia Pouzyreff. « Je ne voulais pas du soutien de LREM ni d’aucun parti. » Lui-même n’est pas encarté.

Achères a besoin, pour plusieurs raisons, d’un maire jeune parce qu’une majorité significative de la population locale a moins de 45 ans et près de la moitié de la ville a moins de 30 ans. Elle a également besoin que ses élus soient compétents, le critère de compétence est une source de légitimité. »

Parmi ses colistiers, il compte des enseignants, ingénieurs du numérique, chefs d’entreprise, cadres de la fonction publique, avocats, économistes, commerçants, étudiants… « Nous avons aussi un médecin de la ville qui est très connu. » La tête de liste précise que « chaque membre a été choisi selon le critère de son savoir-faire dans le but de lui confier la charge correspondant le mieux avec son profil et son engagement ».

Le nom de la liste a été choisi dans un but d’unité.

Aujourd’hui, la ville est divisée en deux avec d’un côté les quartiers populaires et de l’autre les quartiers résidentiels. Je serai le maire de l’ensemble des habitants. Je souhaite le bien de tous les Achérois, de tous les quartiers existants ou à venir. »

Pour retisser du lien entre les habitants, le candidat propose de créer une base de loisirs écoresponsable le long des berges de Seine. Cette base pourrait réunir des activités ludiques et éducatives sur le thème de la nature et de la biodiversité locales.

Je suis convaincu qu’avec un tel projet, les gens de tous horizons et de tous âges pourront s’y rencontrer dans un environnement respectueux de la nature. Cette base de loisirs aura aussi pour effet de créer de l’emploi au profit des Achérois. »

Plateforme numérique participative

Favoriser le brassage social passe aussi selon lui par la création d’espaces verts, de lieux de rencontres avec notamment la délocalisation une fois par semaine en soirée du marché dans le quartier de la gare.

Nous ne voulons pas d’une ville-dortoir. Le centre-ville est depuis longtemps asphyxié. Les commerces de proximité ne parviennent pas à survivre. »

Pour y remédier la liste propose de « créer un écosystème durable » en misant notamment sur une réorganisation du stationnement en centre-ville, en partenariat avec la communauté urbaine et les propriétaires privés des cellules commerciales notamment. Il souhaite attirer davantage de commerces de bouche.

En matière d’urbanisme, il propose de favoriser l’habitat « participatif et écoresponsable ». Cela passerait par une sélection drastique des promoteurs immobiliers et des projets qu’ils présentent.

Nous créerons une plateforme numérique participative sur le site de la Ville sur laquelle par exemple, nous présenterons les dossiers à l’étude dans le cadre de tel ou tel projet et les Achérois pourront donner leur avis. »

Revoir le tracé du Tram 13 Express

Salim Lesage veut également instaurer des activités périscolaires dignes de ce nom dans la commune et d’une manière générale mieux lutter contre l’échec scolaire. Il souhaite également que la Ville puisse mieux accompagner les familles en situation de précarité.

Mon engagement s’inscrit également dans un combat pour améliorer le réseau de transport qui à ce jour est insuffisant. Je trouve inacceptable que les Achérois doivent, après une journée de travail, marcher en pleine nuit parce qu’il n’y a plus de bus ou rentrer à pied depuis la gare d’Achères grand Cormier lorsque celle d’Achères ville ne fonctionne pas. »

Salim Lesage s’engage aussi à revoir le tracé du Tram 13 Express dans Achères en renégociant la création d’un arrêt au quartier Chêne Feuillu.

Pratique : Achères ma ville est présente sur les réseaux sociaux Facebook, Twitter et Instagram.

Louis jouera en équipe de l’Orne le mercredi 11 mars dans la perspective d’une sélection pour l’équipe régionale (©Le Réveil normand)

Louis Catherine a 13 ans et se passionne pour le football, un sport qu’il pratique depuis l’âge de 5 ans et pour lequel il fait partie des quatorze meilleurs joueurs ornais de sa catégorie.

Pendant les congés scolaires de février 2020, le jeune Croutésien licencié à Argentan, a passé avec succès les derniers tests de sélection pour intégrer l’équipe de l’Orne des U14. Il portera les couleurs ornaises lors d’un tournoi interdistrict, le mercredi 11 mars 2020, à Houlgate.

« Ce tournoi réunit les joueurs des cinq départements normands. Il servira de sélection pour l’équipe régionale » explique Sébastien Catherine, son père. Il partage cette passion du football avec son fils.

Louis a fait ses premiers pas de footballeur sur le stade communal à Crouttes, avec Raymond Deslandes.

Ambiance familiale

« C’était bien » se souvient Louis

On gagnait presque tous nos matches ».

Cécile, sa mère, ajoute « on garde un grand souvenir de Raymond et de sa femme, ils ont été très dévoués. C’était génial pour les enfants. Raymond est un passionné et avec Chantal, ils avaient créé une ambiance familiale. Chantal préparait des gâteaux et des crêpes. Quand on voit Raymond, on lui donne toujours des nouvelles ».

Louis a joué à Crouttes jusqu’en U9. Ensuite, « comme il n’y avait plus d’équipe, il est allé à Livarot. Son niveau étant bon, le club a conseillé de trouver un autre club de niveau régional. C’est ainsi que nous l’avons inscrit à Argentan » commente Sébastien.

En section foot au collège Jean-Moulin

En parallèle, Louis a intégré le collège Jean-Moulin à Gacé, en option foot tout d’abord puis en section football depuis la 4^e, niveau où il se trouve cette année.

Son ambition ?

Devenir professeur de sport, ou bien j’hésite aussi entre la gendarmerie ou être pêcheur ».

La pêche est son autre passion. « Quand il le peut, ce sont des documentaires sur la pêche qu’il regarde à la télé » sourient ses parents.

Cécile ajoute « je trouve d’ailleurs des publicités en lien avec la pêche sur mon téléphone portable car Louis regarde aussi des vidéos depuis mon téléphone ». Il faut dire que « depuis qu’il est petit, on lui dit d’être réaliste parce que la chance qu’il soit un jour footballeur professionnel est minime ».

Malherbe et Rennes

Louis est un sportif. « J’aime courir, me dépenser ». Car, outre le football, il était également inscrit à la section basket de la MJC à Vimoutiers depuis l’âge de 4 ans. « On a vu des samedis où il jouait le matin au basket et l’après-midi au football. Le midi, c’était pique-nique » sourit sa mère. Il y a trois ans, néanmoins, il a cessé le basket car « il a fallu faire un choix ».

Le club de cœur de Louis est « le Stade Malherbe ». Sinon, en ligue 1, l’équipe qu’il soutient est celle de Rennes.

Après la chute mortelle d'un jeune homme d'un immeuble à Quimper, la police a ouvert une enquête. Photo d'illustration.

Un homme de 53 ans est porté disparu dans le secteur de Vannes depuis le 28 février 2020 affirme la police nationale qui lance un appel à témoin mercredi 4 mars.

Jean-Claude Roux mesure 1m75, est de corpulence moyenne, a une calvitie et a comme signe particulier d’avoir une incisive manquante. On ignore la façon de comment il pourrait être habillé.

S’il n’a ni portable ni voiture, la police précise qu’il pourrait se déplacer à vélo. Si vous avez des informations, vous pouvez contacter le commissariat au 02.22.07.41.00

L'homme est recherché depuis le 28 février.

Alric Le Magadoux dans la fonderie Focast de Châteaubriant (Loire-Atlantique).

À 21 ans, Alric a déjà pris ses repères dans le monde professionnel. Le jeune étudiant ingénieur métallurgiste se balade avec aisance dans les gigantesques ateliers de la fonderie Focast de Châteaubriant (Loire-Atlantique), spécialisée dans la réalisation de pièces complexes.

Une entreprise qu’il fréquente depuis septembre 2018, et qui n’a plus de secrets pour lui. « J’ai découvert Focast lors d’un stage d’un mois à la fin de ma formation de DUT Science et génie des matériaux de Carquefou », raconte-t-il.

L’expérience confirme l’intérêt d’Alric pour l’industrie métallurgique, lui qui se prédestinait au métier d’ingénieur dès le collège.

L’alternance m’intéressait, c’est une bonne transition avant d’entrer dans le monde du travail. On peut mettre les théories enseignées à l’école en pratique et les confronter aux réalités du terrain.

« Un premier pas facile en entreprise »

Depuis la rentrée 2018, le jeune étudiant métallurgiste originaire de Nozay (Loire-Atlantique) alterne entre l’École supérieure de fonderie et de forge de Sèvres (Hauts-de-Seine) et la fonderie de Châteaubriant. « Les périodes passées en entreprise augmentent petit à petit au fur et à mesure de la formation. La dernière période dure 6 mois, pour le projet final qui prépare au diplôme. »

À Focast, Alric s’est vu confier diverses missions.

J’ai surtout travaillé au bureau d’études et méthode. Depuis cinq mois j’installe par exemple un nouveau système d’analyse thermique. Je fais aussi de la modélisation 3D, du remplissage de pièces. […] Le secteur de la fonderie peut paraître rebutant pour divers aspects, la poussière, la chaleur, mais c’est un milieu où l’on ne s’ennuie pas, et qui est aujourd’hui à des kilomètres des conditions de travail d’il y a dix ans.

Logé au foyer de jeunes travailleurs de Châteaubriant, le jeune alternant évoque un « premier pas facile en entreprise », qui lui offre également un « train de vie agréable » avant même la fin de ses études.

Les plus et les moins de Châteaubriant

Travailler à Châteaubriant est un vrai avantage au niveau du logement. Je paye environ 100 € par mois pour mon logement au foyer des jeunes travailleurs, grâce à l’APL (Aide personnalisée logement) et l’aide Mobili-jeune. En comparaison, dans la région parisienne, je paye 800 € par mois.

Et contrairement à ce que peuvent redouter les étudiants, l’alternance n’est pas forcément si étrangère à la vie des campus. « Au foyer on se rencontre entre étudiants, on sort, on fait des activités ensemble. »

Néanmoins, pour lui, la ville a encore un long chemin à faire sur ce sujet.

Il manque d’activités pour les jeunes à Châteaubriant. Les infrastructures pour vélos sont aussi insuffisantes. Quand je prends ma trottinette électrique pour aller dans la zone Horizon, je me fais facilement klaxonner. Je ne suis pas à l’aise pour circuler, il n’y a pas d’espaces sécurisés pour nous.

L’alternance, une expérience de mobilité

En dehors de la vie quotidienne, l’alternance permet également d’empocher des salaires réguliers, dont le montant évolue au cours de la formation, (de 55 % du Smic à 100 % en fin de formation). « Je touche aujourd’hui un peu plus de 1000 €. J’ai aussi droit à la prime d’activité. Ça me permet de mettre de l’argent de côté pour m’acheter une voiture. »

Autre point positif de l’alternance : la mobilité.

Pour quelqu’un qui aime voyager, il y a beaucoup de possibilités. L’alternance permet de voyager, en France ou à l’étranger. J’ai par exemple déjà suivi une formation d’un mois en Allemagne. On se crée aussi très rapidement un gros carnet d’adresses.

Si tout se passe bien Alric Le Magadoux devrait boucler sa formation par une première embauche au sein de Focast. « Si le directeur est satisfait de moi, je pense rester pour 2, 3 ans au minimum. » Il envisage ensuite de se tourner vers les secteurs de l’énergie renouvelable et du biomédical.

Un double accident sur le périphérique de Caen a créé des bouchons jeudi 5 mars. (©Pierre Sarniguet/Liberté Le Bonhomme Libre)

Jeudi 5 mars 2020, deux accidents ont eu lieu coup sur coup sur le périphérique de Caen (Calvados)
Le premier à 7 h 42, a impliqué dix véhicules à hauteur de la commune d’Hérouville-Saint-Clair, dans le sens Paris-Cherbourg. Le second, à 7 h 48, a mis aux prises trois automobiles, à peu près au même endroit (à Hérouville-Saint-Clair, à proximité de l’échangeur Porte d’Angleterre), mais cette fois dans le sens Cherbourg-Paris

Trois blessés légers

Trois victimes ont été prises en charge par les pompiers du Calvados. Deux femmes de 18 et 22 ans et un homme de 58 ans, « légèrement blessés », ont été transportés au CHU de Caen.

Circulation difficile

Conséquence de ce double accrochage : la circulation est très difficile dans l’agglomération de Caen.

Début du tournage de « Cœur de Pierre ». De gauche à droite : Cécile Morcel, pascale Chouatra, Pierre Palceroviak, Alexandre Beurrier, Ewenn, Eléonor, et Valentin au cadrage.

Début du tournage de « Cœur de Pierre » à SAint-Quay-Portrieux. De gauche à droite : Cécile Morcel, pascale Chouatra, Pierre Palceroviak, Alexandre Beurrier, Ewenn, Eléonor, et Valentin au cadrage. (©La Presse d’Armor)

Profitant des vacances scolaires de février, Alexandre Beurrier (Binic) professeur de théâtre à Saint-Brieuc et à Saint-Quay-Portrieux, et également acteur dans le film Le réseau Shelburn passe maintenant de l’autre côté de la caméra.

Il réalise Coeur de Pierre, un film sensible et émouvant, pour un combat et une cause dont il a été témoin : le harcèlement scolaire.

Le cadre choisi est l’école Notre-Dame-de-la-Ronce à Saint-Quay-Portrieux.

Suicide

Tout a commencé lors d’un cours de théâtre, un enfant de 11 ans vient le voir et lui annonce : « Aujourd’hui, ne soyez pas surpris, je ne suis pas en grande forme ».

Il lui échappe une question réflexe : « Pourquoi ? ». La réponse « une copine à moi (N.D.L.R. : de son âge), vient de se suicider ».

Casting et préparation

De là, profondément bouleversé, Alexandre Beurrier, dont le métier est d’être proche des enfants, prend fait et cause pour ce phénomène de société.

En une journée, il écrit la plus grande partie du scénario qu’il met en scène aujourd’hui.

Aidé de Cécile Morcel, Pascale Chouatra, et de Bernard Granger, un acteur professionnel, il termine aujourd’hui la première étape de ce film : préparation, apprentissage des dialogues, photos, et casting d’une quinzaine de jeunes acteurs en classe de CM2 ou 6e.

Présentation à la rentrée

Aux vacances de printemps, ce sera la fin du tournage des scènes d’intérieur et début des extérieures.

En juin et début juillet, tournage et début du montage pour une présentation au public à la rentrée.

Une équipe de lycéens, Eléonor, Ewenn et Valentin, assurent de leur côté le script, le son et le cadrage.

« Moqueries et humiliations »

Le réalisateur et le jeune collégien, rôle principal du film.

Coté enfants le rôle principal est confié Pierre Palcerowiak, scolarisé au collège Stella-Maris.

Le pitch :

Pierre subit les moqueries et humiliations de ses camarades de classe. Il souffre également de ne pas être entendu par sa mère bien trop accaparée par son travail. Elle ne prête pas attention à la souffrance de son fils. Cependant celui-ci pourra compter sur l’aide inattendue du singulier petit compagnon, qui l’aidera à renouer avec le monde extérieur…