Le jardin du musée Louis-Braille est l’un des nombreux atouts touristiques que Coupvray veut faire découvrir.. (©(©Coupvray))

Balade nature, découverte du patrimoine, déjeuner au restaurant avec un apéritif à l’aveugle, dégustations, visites et rencontres… La municipalité lance un nouveau concept : « Un jour à Coupvray ». Les élus proposent de faire découvrir, en une seule journée, toutes les beautés touristiques, culturelles et culinaires de Coupvray.

Quatre journées au programme

Pour le moment, Un jour à Coupvray sera décliné autour de quatre dates : 4 mai, 18 juin, 14 septembre, 15 octobre. Mais si le succès est au rendez-vous, pourquoi ne pas imaginer prolonger le plaisir.

Au programme de ces journées, une visite de lieux forts du patrimoine cupressien, avec pour guide, une conférencière. Ces lieux importants seront le musée Louis-Braille, l’église Saint-Pierre, la ferme du château, le parc et ses trésors cachés (lavoir, pigeonnier…), une visite chez le ferronnier Stefano Tulisso, une rencontre avec l’apiculteur Nicolas Martin pour son miel de Coupvray, et pour se détendre et apprécier l’art culinaire de Coupvray, une pause déjeuner chez Les cocottes d’Hélène et des pâtisseries créées pour l’occasion par Amandine Dumousseaud, la pâtissière du commerce cupressien « Au Ptit Caprice ». Le tout en passant par les plus beaux chemins de Coupvray !

Relier gourmandise et nature

« Coupvray aime la gourmandise et la nature, nous avions besoin de relier tout cela » sourit Thierry Cerri, le maire de Coupvray. Les douceurs pâtissières prévues au programme de cette escapade seront garnies de fruits de saison : « un printemps à Coupvray » est une délicieuse tarte meringuée au citron, « un été à Coupvray » encense la framboise, chaque saison se voit ainsi déclinée dans le nom et dans les saveurs : mention spéciale pour la pâtisserie à la châtaigne !

D’autres dates pourront être organisées à condition d’en faire la demande bien en amont, car la conférencière travaille sur d’autres lieux touristiques.

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Au total, quatre à cinq heures de visite et de marche à pied, agrémentées d’un repas chez un chef qui propose du poisson sauvage et des produits locaux : « Ne ratez pas cette occasion ! » conseille l’adjoint au maire à la communication Jean-Claude Style.

Couleur escapade, visite + entrée musée + repas du midi : 49 € par adulte et 29 € pour les enfants de moins de 12 ans. Réservation par mail : reservations@coupvray.fr

De gauche à droite : Alain Trufaut, jeune entrepreneur, Alain Legout et Dominique Louzeau.(©Solène LAVENU)

717 nouvelles entreprises ont vu le jour en 2018 conseillées par la Chambre du Commerce et de l’Industrie Ouest Normandie. Un chiffre important sur ce territoire qui regroupe la Manche, mais aussi une partie de l’Orne.

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Un chiffre plus important d’ailleurs que dans les quatre autres chambres de commerce et d’industrie territoriales regroupées via la CCI régionale de Normandie. Reste qu’à Cherbourg, le nombre de commerces vacants est encore important. 

 Bruno Legoût, manager de Cherbourg-Cotentin à la CCI Ouest Normandie, explique :

Je reste très optimiste sur le dynamisme de la ville de Cherbourg. La problématique a été prise en main et tous les acteurs avancent dans le même sens, se consultent, dialoguent… C’est très positif ! 

Dans le cadre d’Action cœur de ville, un observatoire du commerce devrait, d’ailleurs, bientôt voir le jour pour collecter diverses données sur le commerce de la ville et aider les futurs commerçants.

L’enjeu de la transmission

Les transmissions des commerces sont le véritable challenge des années à venir de notre territoire. 39 % des 8 682 dirigeants d’entreprise inscrits au Registre du Commerce et des Société a, en effet, plus de 55 ans, et une moyenne de 3 à 5 ans est nécessaire pour préparer et anticiper la transmission de sa boutique. Pour beaucoup, l’heure est arrivée.

En D1, Deauville et Orbec n’ont pas réussi à se départager (2-2). (©Le Pays d’Auge)

Ligue 1 

Bordeaux 2 – 3 Lyon;  Amiens 0-0 Strasbourg; Angers 1-1 Reims; Caen 1-0 Dijon; Lille 5-0 Nîmes; Nice 3-0 Guingamp; Saint-Etienne 2-0 Toulouse.

 Ligue 2

Châteauroux 1 – 0 Le Havre; Clermont 1 – 1 Paris FC; GFC Ajaccio 0 – 2 Sochaux; Grenoble 4 – 2 Béziers; Nancy 1 – 0 AC Ajaccio ; Orléans 0 – 1 Troyes; Red Star 1 – 2 Metz; Valenciennes 1 – 2 Niort; Brest 2 – 0 Lens.

Régional 1 – Groupe A

AG Caen 2 – 1 Granville 2; Douvres 4 – 3 Tourlaville; Maladrerie 2 – 2 Ducey; Mondeville 3 – 1 Dives Cabourg; Pointe-Hague 1 – 6 Vire; Bretteville/Odon 0 – 4 Flers.

Régional 1 groupe B

 Yvetot 0 – 1 Gd-Quevilly; Boisguillaume 3-1 Madrillet; Rouen 2-1 Oissel ; Le Havre Fril. 2-1 Sotteville; Municipaux Havre 2-2 Romilly-Pt-St-P.; St-Romain-Col.2 – 1 Deauville-T.

Régional 2 – Groupe B

 Flers 2 – 3 Verson; Ifs 0 – 2 Argentan; Lisieux 4 – 0 Mondeville; Ouistreham 3 – 2 Alençon US; Mézidon 1 – 2 La Ferté-Macé; Potigny-Villers 2 – 0 Muance.

Régional 3 – Groupe C

 AF Vire 4 – 1 St-Cyr-Ferv. ; Villers Houlgate 8 – 0 Collev.-Montg.; Baie l’Orne 1 – 3 AG Caen; Bessin Nord 2 – 4 Bretteville; Dives Cabourg 1 – 4 Thaon-Brett.; Honfleur 3 – 0 Douvres.

Régional 3 – Groupe D

Falaise 4 – 3 Maladrerie; Cingal 1 – 0 Guérinière; Hérouville 3 – 1 Aunay-Odon; Pont-l’Evêque 1 – 0 Flers; Thury-Harc. 2 – 2 Briouze ;Troarn 3 – F Mondeville.

Régional 3 – Groupe E

 Domfront 2 – 0 Berd’huis; Mortagne 3 – 1 Messei; Andaine 0 – 0 Selle-la-Forge; Chailloué 1 – 6 St-Georges-Gr.; Courteille 2 – 1 St-G.-Corbéis; Vimoutiers 1 – 1 PA L’Aigle; Condé/Sarthe – Exempt.

Régional 3 – Groupe J

Avrais-Nonancourt 3-3 Gasny; ES Normanville 1-1 Epegard-Neubourg; CA Pont-Audemer 1-0 FC Illiers L’Eveque; Saint Sebastien SP 2-2 Us Rugles; Lyre; Thiberville S.c 0-0 Eure Madrie Seine Fc.

Départemental 1 – Groupe B 

Deauville-T. 2 – 2 Orbec-Vesp; Bourguébus-S. 2 – 0 CA Lisieux; Demouville-C. 1 – 4 St-Sauveur; Livarot 2 – 0 Hérouville; Fc Moyaux 4 – 1 Pont-l’Evêque; Ouilly-le-Vic. (Forfait général) – Ouistreham.

Départemental 2 – Groupe C

 Blainville 1 – 1 Caen Sud A.; Biéville-Beuv. 0 – 8 Giberville; Guérinière 2 – 3 Bourguébus-S.; Hérouville 2 – 5 Maladrerie; Muance 3 – 0 Colombelles; Terre Et Mer 1 – 1 Potigny-Villers.

Départemental 2 – Groupe D

Court.-D.-Egl. 2 – 2 Livarot; Dives Cabourg 4 – 0 Honfleur; Saint-Désir 2 – 4 Villers Houlgate; St Philb. Champ 3 – 1 Fc Moyaux; Troarn  4 – 2 Dozulé; Villerville 2 – 7 Mézidon.

Départemental 3 – Groupe D

Caen Sud Ouest 4 – 0 Blainville;  Collev.-Montg. 1 – 0 Falaise; Colombelles 1 – 1 Crocy; Giberville 3 – 4 Cingal ; Laurentais Boul. 3 – 4 Muance; St-Aign.-Cram. 8 – 1 Guérinière.

Départemental 3 – Groupe E

Deauville-T. (Forfait général) – CA Lisieux; St-Cyr-Ferv. 3 – 0 Mézidon; Dozulé 2 – 1 Bonnebosq; Orbec-Vesp. 4 – 1 Garcelles; St-Sauveur 3 – 3 US Pétruv. ; Pont-l’Evêque – Exempt.

Départemental 4 – Groupe D

St-Cyr-Ferv. 1 – 1 Court.-D.-Egl.; Honfleur (Forfait général) – Est. Touques; Muance 2 – 1 St-Aign.-Cram.; Us Viettoise 3 – F Saint-Désir; Villers Houlgate 3 – Villerville 2 (Forfait général); Croissanville Fc – Exempt).

Départemental 2 Orne

Bazoches 1 – 3 Le Sap; Berd’huis 2 – 1 Damigny; 3 – 2 Court. Alen; Rémalard 1 – 0 Céton; St Symph Es 0 – 1 Montligeon; Ste Gaubu 1 – 0 Condé/Sarthe.

FOOTBALL

Régional 3

Vallée Oison / Val-de-Reuil : 0-1

Pont-Audemer / Illiers l’Evêque : 1-0

Normanville / Epégard Neubourg : 1-1

Thiberville / Eure Madrie : 0-0

Régional 1 féminin

Beaumont / FC Rouen : 0-4

Régional 2 féminin (2^e phase)

Thiberville / Routot : 2-0

Départemental 1

Beaumont / Val-de-Risle : 0-2

Bernay / Saint-Marcel (2) : 4-0

Serquigny-Nassandres / Garennes 3-1

Hondouville / Routot : 4-0

Départemental 2

Saint-Germain / Roumois Nord : 3-0

FA Roumois / Damville : nc

Brionne / Saint-Sébastien (2) : nc

Bel-Air / Serquigny-Nassandres (2) : nc

Départemental 3

Epégard Neubourg (2) / Val-de-Risle (2) : 1-0

Epégard Neubourg (2) / Manneville : 5-1

Roumois Nord (2) / Planes : 3-3

Etrépagny / FA Roumois (2) : 4-2

Les Andelys (2) / Vallée Oison (2) : 2-3

Madrie / Beaumont (2) : nc

Plateau Neubourg / Quittebeuf :

Eure Madrie / Hondouville (2) : 6-2

Illiers l’Evêque (2) / Claville 6-1

Iton / Fidelaire : 1-2

Conches (2) / Ivry la Bataille : 5-1

Départemental 4

Epégard Neubourg (3) / Brionne (2) : 3-2

Pont-Authou / Grosley : nc

Quittebeuf (2) / Charentonne (2) : 3-1

Malherbe-Siurville / Chapelle Bois Fau : 2-1

Ezy (2) / Bonneville : 4-4

ESJM Evreux (2) / Saint-Elier : 1-3

Critérium du matin

Normanville / Quittebeuf : 2-2

Bonneville / Fidelaire-Conches : 0-4

Rugles / Saint-Elier : 5-1

Gros-Theil Harcourt / Igoville : 0-2

Vallée Oison / Seine-Eure : 2-2

FA Roumois / Malherbe-Surville : 2-0

Thiberville / Beaumont : 0-3

Cormeilles / FC Brionne : 0-1

Brionne Matin / Vallée Oison (2) : 3-3

Serquigny-Nassandres / Bernay : 2-2

Epégard Neubourg / Vièvre : 1-2

Pont-Audemer / Boissey : 2-0

Manneville / Routot : 2-7

Roumois Nord / Toutainville : 1-0

BASKET-BALL

Régional 3 Est masculin :

Val-de-Reuil / Bosc-Roger : 76-75

Pré régional senior féminin :

Bosc-Roger-en-Roumois / Vallée Eure (2) : 51-54

Pont-de-l’Arche / Le Neubourg : 39-40

Pré régional senior masculin :

Vernon (3) / Louversey 62-51

Perriers / Vallée Oison : nc

Louviers / Bosc-Roger (2) : 92-74

Départemental 3 masculin :

Vernon (4) / Louversey (2) : 44-49

La Bonneville / Saint-André : 44-54

Verneuil (2) / Bosc-Roger (3) 62-53

Départemental 4 masculin :

Le Neubourg / Beuzeville :

HANDBALL

Excellence régionale masculin :

Carsix / Roumois : 30-31

Honneur régional masculin :

Cany Barville / Roumois : 27-22

1^re division territoriale masculin

Bernay / Pont-de-l’Arche : 34-21

Roumois (3) / Le Neubourg : 15-36

Carsix (2) / Brionne : 14-37

John Ulugia et Clermont ont signé un très gros coup sur la pelouse du Stade Français. (©Icon Sport)

Les Tops d’Actu Rugby

• Le 7/7 de Thomas Ramos (Stade Toulousain)

Quand vous disposez d’un buteur fiable, il ne peut souvent rien vous arriver. Samedi 27 avril, le Stade Toulousain a pu compter sur un Thomas Ramos d’une précision chirurgicale. Un 7/7 au pied pour 21 points capitaux lors d’un match ultra engagé contre le voisin castrais. La rencontre fut animée, accrochée et le leader du championnat a longtemps été bousculé. Mais à chaque fois qu’il a pu score, il l’a fait. Pas forcément dans son assiette face au Leinster, Thomas Ramos a montré qu’il avait un très gros mental. Toulouse le remercie, et file directement en demie après son précieux succès décroché à Pierre-Fabre (20-21).

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C'EST FINI ! Le @StadeToulousain s'impose à @CastresRugby après une rencontre accrochée et tendue. Un gros match bien engagé #derby #Top14 #COST

Le Stade Toulousain est déjà qualifié pour les demies du Top 14 pic.twitter.com/lbeF23b15f

— Actu Rugby (@acturugbyfrance) April 27, 2019

• Clermont

Pour la première fois, Clermont s’est imposé dans le nouveau Jean-Bouin. De surcroît, avec la manière. Si certains cadres ont été laissés au repos, l’ASM a démontré que sa profondeur d’effectif était exceptionnelle. Face au Stade Français, elle a rondement mené sa barque, appuyant sur l’accélérateur en seconde période afin de décrocher le bonus offensif. Fort, très fort. Clermont file tout droit vers les demies, pendant que le Stade Français dit quasiment adieux aux phases finales.

• Arthur Retière (La Rochelle)

Un phénomène. Et cela fait un moment que ça dure. Petit gabarit, le Rochelais (21 ans) est l’un des éléments du Top 14 les plus difficiles à stopper. Vif, rapide, doté de crochets dévastateurs, le natif de Dijon, passé par le 7 et international U20, affole les défenses de l’élite. Contre Perpignan, Retière a été une nouvelle fois royal. C’est lui qui fait toute la différence sur la dernière action du match pour que La Rochelle glane le bonus offensif à Aimé-Giral (29-49). Ses stats : 1 essai, 1 passe décisive, 134m parcourus, 10 défenseurs battus et… 11/11 en défense.

🚨🚨 C'EST OFFICIEL !! @usap_officiel retourne en #ProD2 après sa lourde défaite à domicile contre La Rochelle (29-51) #rugby #top14 #USAPSR pic.twitter.com/1TAZohIOL0

— Actu Rugby (@acturugbyfrance) April 27, 2019

• Louis Picamoles (Montpellier)

Face à Grenoble, Louis Picamoles était en forme internationale. Le n°8 du XV de France et de Montpellier a secoué le cocotier héraultais afin de le faire réagir au cours d’un match où ses partenaires ont mis une mi-temps pour rentrer dans la partie. King Louis, lui, n’a pas attendu aussi longtemps, marquant deux essais tout en puissance (avant le plus prolifique du Top 14). 14 courses (meilleur total de son équipe), 76m parcourus, trois défenseurs battus… Picamoles n’a cessé de mettre dans l’avancée son équipe, qui a finalement corrigé Grenoble (47-12).

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Les Flops d’Actu Rugby

• Le charnière de Castres

Si Thomas Ramos a été brillant au pied contre Castres, on ne peut pas en dire autant de la charnière du CO. Le duo Urdapilleta – Kockott a sombré dans cet exercice, terminant sur un calamiteux 1/6. Les treize points laissés en route ne sont pas étrangers à la défaite tarnaise à domicile face au leader du championnat.

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Plus globalement, les deux hommes ont raté leur match. En plus d’avoir régulièrement chambré, ils ont multiplié les maladresses et erreurs. En plus de laisser tomber le ballon de la gagne, Benjamin Urdapilleta a terminé la rencontre avec une ligne de stats désastreuses : 4 turnovers concédés, 3/5 en défense et donc son déchet au pied. Rory Kockott, lui, n’a pas su gérer ses nerfs, terminant le match avec trois pénalités contre lui.

• Finn Russell (Racing 92)

Quand il se rate, Finn Russell ne le fait pas à moitié. Sur le terrain de Pau, l’ouvreur écossais a été l’un des symboles de cette formation francilienne totalement apathique durant les 40 première minutes du match. Jamais dans le rythme, il n’a eu aucune influence sur la partie, se ratant par ailleurs en défense avec un 1/4. Son remplaçant, Ben Volavola, a montré bien plus de choses que lui en trente petites minutes.

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• Bordeaux-Bègles

Pour une équipe qui lutte pour décrocher un billet historique pour les phases finales du Top 14, Bordeaux-Bègles a clairement déçu sur le terrain de Toulon (45-17). Hormis lors de l’entame de match, l’UBB a été prise dans tous les secteurs de jeu, mais également dans l’envie. Jamais on a senti le moindre vent de révolte pour espérer obtenir quelque chose de son déplacement dans le Var. La formation girondine pointe actuellement au 8e rang du Top 14, et semble se diriger tout droit vers une nouvelle désillusion.

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Après « Les Rumeurs de Babel », Yvon Le Men publie « Aux Marches de Bretagne ».

Pour les éditions Dialogues, Yvon Le Men avait composé en 2016 Les Rumeurs de Babel, à partir d’un séjour dans le quartier de Maurepas, à Rennes. Depuis quelques semaines est aussi disponible, dans la même collection, Aux Marches de Bretagne. Un long poème nourri par un séjour que le poète a passé dans le Coglais, au début de 2018, à l’invitation du Pôle artistique et culturel Angèle Vannier.

Lors de sa résidence, Yvon Le Men avait pu échanger avec des habitants : des agriculteurs, des écoliers, des animateurs d’associations et de la vie culturelle, des granitiers, dont il donne les prénoms. Des rencontres qui prenaient parfois la forme de promenades.

L’amour des « périphéries »

Yvon Le Men est en effet un écrivain voyageur : voyageur du temps, voyageur de l’espace car autant sensible à l’histoire qu’à la géographie, qui dévore des yeux un paysage comme d’autres un monument.

Sensible aussi à ce qu’il appelle les « périphéries » : le quartier de Maurepas, à sa manière, est une périphérie. Le Coglais, qui peut paraître éloigné de la métropole, est aussi une périphérie. Périphérie, mais pas un lieu sans existence.

Le texte s’ouvre d’ailleurs par ces mots : « Mais tu vas nulle part/me dit cet homme/nulle part n’existe pas/je lui dis/il ne voit que par le centre/n’importe quel centre/pourvu qu’il y soit/jamais par la périphérie/où je vis/où je vais ».

Pour « y aller » Yvon Le Men a beaucoup lu, aussi. Les auteurs qui ont parcouru ou qui évoquent le Pays de Fougères et le Coglais sont nombreux : Balzac, Chateaubriand, Hugo, Féval, Dagnet, Guéhenno. Humblement, le poète rejoint cette lignée littéraire, avec « la chanson de ce pays/qu’on me disait de nulle part/où j’ai trouvé partout/beaucoup/beaucoup/partout. »

Aux Marches du Coglais, par Yvon Le Men, illustrations d’Emmanuel Lepage, éditions Dialogues, collection La Petite carrée. 194 pages. 18 €.

Les gendarmes ont ouvert une enquête à la suite d’un accident de la route qui a provoqué l’incendie d’une maison, à Saint-Martin-Lacaussade (Gironde). (©Photo d’illustration – Le Républicain)

Cela aurait pu être un drame. Heureusement, cela ne fut pas le cas. À Saint-Martin-Lacaussade (Gironde), samedi soir, un accident de la route a provoqué l’incendie d’une maison. 

Il était 20h30 lorsque les pompiers ont été appelés, tout d’abord, pour un accident de la route, comme le rapporte Sud Ouest, puis, quelques minutes plus tard, pour un incendie, au même endroit. 

Rapidement, les pompiers ont fait le lien entre ces différents appels. 

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La voiturette serait retombée sur le toit de la maison

D’après les premiers éléments des gendarmes, c’est une voiturette qui aurait provoqué tout cela après une soudaine sortie de route. La voiturette serait tombée en contrebas sur le toit d’une maison et aurait mis le feu à la toiture avant que l’incendie se propage. 

À l’intérieur de l’habitation se trouvaient une mère et sa fille, qui ont entendu le choc et ont pu sortir de leur maison indemnes. Elles devront être relogées. Quant au conducteur, il a pu s’extraire à temps de son véhicule. 

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Le contrôle d’alcoolémie réalisé sur le conducteur s’est révélé positif, selon le quotidien régional, qui précise que les gendarmes ont ouvert une procédure. Une enquête est également en cours pour connaître les causes de cet accident. 

Jean-Yves Chatellier, son œuvre en mains, se plaît à voyager au travers de son espace dédié aux dinosaures.

Passionné de préhistoire et de paléontologie, Jean-Yves Chatellier a créé depuis 2016, dans son jardin de Saint-Rigomer-des-Bois (Sarthe), un espace entièrement dédié aux dinosaures.

Séduit par le parasaurolophus, un géant qui de son vivant mesurait 9,50 m et pesait 2 500 kg, il a réalisé une œuvre de 262 pages, entièrement consacrée à ce géant et à ses congénères : « durant de longues semaines, j’ai visionné 103 films, fait des recherches dans des articles et documentaires scientifiques relatifs au monde des dinosaures, qui ont meublé mes journées de l’hiver dernier.

J’ai réalisé ce livre avec des illustrations et ajouté un glossaire avec de nombreux noms de dinosaures pour les lecteurs qui pourront découvrir un grand nombre d’informations sur la vie de ces créatures fascinantes, par exemple leur taille, leur âge que l’on identifie par des cercles sur leurs os à l’exemple des arbres… », explique Jean-Yves Chatellier, intarissable sur le sujet.

D’année en année, il complète sa collection dans son jardin qu’il habille de plantes vivaces anciennes, des fossiles, pour reproduire au plus près l’univers de ses protégés, jardin qu’à l’arrivée des beaux jours il aime partager en accueillant gracieusement les visiteurs, qu’ils soient petits ou grands.

15 € disponible auprès de l’auteur. Pratique : 12, chemin de la Huberderie, Saint-Rigomer-des-Bois. tél. 06 76 20 45 62. E-mail. chatellier.jean-yves@neuf.fr

La femme tuée au Mans a été retrouvée dans un garage de l’Avenue de Montréal. Photo d’illustration. (©L’Echo Sarthois)

Samedi 27 avril 2019, une femme a été retrouvée morte, tuée par arme blanche, au Mans avenue de Montréal dans le quartier Gazonfier.

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Un homme a été interpellé et se trouverait toujours en garde à vue au commissariat dimanche 28 avril.

Un voisin aurait empêché l’homme arrêté de prendre la fuite

Le drame a eu lieu vers 21 heures dans un garage de la résidence Sully.

Selon nos confrères de Ouest France, la victime aurait appelé au secours mais n’aurait pas pu sortir du garage. Un voisin serait alors intervenu.

C’est lui qui aurait empêché l’homme arrêté de partir avant l’arrivée de la police.

Arme blanche

Selon le parquet de la Sarthe, la victime a reçu plusieurs coups, portés à l’arme blanche.

Florent Balmont reconnaît que Caen méritait de gagner ce choc du bas de tableau, important pour la place de barragiste. (©Aline Chatel / Sport à Caen)

Les Dijonnais ont admis la supériorité du Stade Malherbe Caen dans la rencontre qui opposait les deux équipes, dimanche 28 avril au stade d’Ornano. Les réactions d’Antoine Kombouaré et Florent Balmont. 

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Antoine Kombouaré, entraîneur de Dijon : « Fajr a eu de la réussite mais c’est logiquement que Caen a ouvert le score. Ce qui est cocasse, c’est qu’en étant mauvais on aurait pu revenir au score et ramener un point. On n’a que ce qu’on mérite dans la vie. On ne fait pas un bon match et on repart bredouilles. Ce qui m’intéresse, c’est être devant Caen à la 38ème journée. Je savais qu’avec les efforts fournis pour gagner à Lyon et contre Rennes, cela nécessitait une énorme débauche d’énergie. Il y a une espèce de relâchement inconscient. On a été mou, en retard dans les duels, battu dans l’engagement. C’est une victoire logique de Caen. » 

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Florent Balmont, milieu de terrain de Dijon : « On n’a pas été bons, tout simplement. Caen mérite sa victoire. On est très déçus ce soir. On n’a pas mis les ingrédients qu’il fallait pour gagner un match. Quand on fait des matchs comme ça, il ne faut rien dire. Quand on n’est pas bon, il faut se remettre au boulot. Il nous reste des matchs. Ça va être tendu jusqu’au bout. »

Manifestation le 28 avril 2019 à Nantes pour protester « contre la guerre des quartiers ». (©AFP/Sebastien SALOM-GOMIS)

Quelque 500 personnes ont défilé simultanément dimanche 28 avril 2019 dans sept quartiers de Nantes (Loire-Atlantique), théâtre récent de fusillades en série ayant fait un mort et six blessés, pour protester « contre la guerre des quartiers », a constaté un photographe de l’AFP.

Cette marche inter-quartiers organisée pour dire « non à la guerre des quartiers » qui secoue les secteurs sensibles de la ville a démarré en milieu d’après midi depuis les quartiers de Bellevue, Dervallières et Breil, Nantes nord, Bottière, Malakoff et Clos-Toreau.

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« On croit en vous, en cette ville, en nos quartiers »

Les manifestants, principalement des habitants, dont beaucoup de jeunes, ainsi que des militants associatifs et des travailleurs sociaux, avaient revêtu un haut de couleur noire ou un tee-shirt sur lequel on pouvait lire « Ne laissons pas la violence tuer l’espoir dans nos quartiers ».

Les minots des quartiers nantais.
Marche interquartiers #Nantes pic.twitter.com/spwdipuIny

— Anne-Hélène Dorison 🗞 (@AnneHD44) April 28, 2019

Chaque cortège arborait une pancarte au nom de son quartier. Les manifestants ont ensuite convergé vers la place Royale, dans le centre-ville.

Vidéo. La marche de l’espoir contre la violence dans les quartiers de Nantes ?

« On croit en vous, en cette ville, en nos quartiers », a déclaré face à la foule Bouchra Akdim, organisatrice de la marche. Egalement présente, la maire de Nantes Johanna Rolland a prononcé un bref discours empreint d’émotion, au bord des larmes.

Johanna Rolland à Bellevue : « Des femmes et des hommes qui aiment leur quartier ». pic.twitter.com/a0abYTVvXv

— DIRECTPO (@DIRECTPO) April 28, 2019

Cette initiative fait suite à la mort par balle, dans la nuit de lundi à mardi, d’un employé de 24 ans dans un bar à chicha de la rue du Maréchal Joffre, située dans le centre de Nantes. La mère de la victime était présente ce dimanche dans le cortège, foulard rouge autour du cou et rose blanche à la main.

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Cinq fusillades en quelques jours

Ces événements ont relevé d’un cran le niveau des violences engendré par des rivalités entre quartiers. Il s’agissait de la 5^e fusillade à Nantes en quelques jours, après celles qui avaient éclaté dans les quartiers de Bellevue, Dervallières et du Breil, selon la préfecture de Loire-Atlantique, causant six blessés par balles.

L’enquête a été confiée jeudi à la Juridiction interrégionale spécialisée (JIRS) de Rennes.

La préfecture a indiqué que des renforts de police étaient prévus pour « ramener le calme au plus vite ».

Manifestation le 28 avril 2019 à Nantes pour protester « contre la guerre des quartiers ». (©AFP/Sebastien SALOM-GOMIS)

Source : © 2019 AFP

Les joueurs de Vitré ont remporté leur finale, dimanche 28 avril. (©Le Journal de Vitré)

L’Aurore de Vitré rugby affrontait Châteaulin dimanche 28 avril, en finale du championnat de Bretagne première série.

Les Vitréens se sont imposés 16 à 12 grâce à un essai de Nicolas Corno, une transformation et trois pénalités.

Les joueurs de Châteaulin ont inscrit deux essais et une transformation.

L’église d’Aurignac date du XIIIe siècle. (©DR)

Lorsqu’ils les ont invités en France pour célébrer le mariage de leur fille, Isabelle, l’amitié guidait leur démarche. Ancien responsable de forages pétroliers chez Total, Gérald Ragnès avait rencontré Michael, l’Américain, dans le cadre de son activité professionnelle. Les épouses avaient sympathisé.

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Une amitié était née entre le couple occitan, impliqué dans l’association de sauvegarde du vieil Aurignac (ASVA), et son homologue texan :

Pour qu’Isabelle progresse en anglais, on l’envoyait à Houston chez Michael, pour qui elle faisait un peu de secrétariat en juillet. Au mois d’août, on recevait à notre tour les deux filles de Michael qui adoraient aller bronzer au Cap d’Agde ou participer aux ferias de Béziers.

Michael et Janet entourent Isabelle, la fille de leurs amis français, lors de son mariage avec Alexandre, à Aurignac, en 2012. (©DR)

C’est donc tout naturellement qu’au jour de marier leur fille, en 2012, Gérald et Renée ont convié Michael et Janet à participer à la fête à Aurignac (Haute-Garonne), à 70 kilomètres au sud ouest de Toulouse. Une dizaine de jours à s’imprégner de la région. Et la magie a opéré… 

De Sapiens à l’art roman

Connu pour avoir offert son nom à une période de la préhistoire (l’Aurignacien, durant laquelle Homo Sapiens serait arrivé en Europe de l’ouest, ndlr), Aurignac abrite aussi une petite église du XIIIe siècle, témoignage pittoresque de l’art roman en Occitanie.

Près d’1,5 M€ vont être dépensés pour rénover l’église d’Aurignac, au sud de Toulouse. (©/Google Streetview)

Perché au sommet du bourg, l’édifice dédié à « Saint-Pierre-aux-liens » fait cependant peine à voir. Le plâtre accuse son âge, une gouttière ne remplit plus son rôle, la voûte porte le poids des ans, les peintures sont dans un triste état. Sans parler de l’électricité, de la maçonnerie, des vitraux, du soubassement…

Lorsqu’il en franchit le porche, Michael est cependant charmé. Gérald raconte, sourire aux lèvres :

Michael avait installé ses bureaux de Houston (USA) dans une ancienne manufacture de tissage qu’il a d’ailleurs, depuis, transformée en musée. Pour lui, quelque chose de très vieux, cela remonte à… 1915 ! Alors, même s’il a beaucoup voyagé ou travaillé en Ecosse, par exemple, il s’émerveille toujours lorsqu’il voit des vieilles pierres.

Foi de Texan

Michael et Janet, les généreux donateurs, chez eux, à Houston (Texas, USA). (©DR)

Le couple texan est croyant et pratiquant. Lorsqu’il apprend que Gérald et Renée s’impliquent dans la restauration du patrimoine local à travers des actions (manifestations, ventes de livres…) afin de lever des fonds, il se montre très touché.

« Comme il y avait une fuite dans l’église lors de sa visite, il m’a dit qu’il participerai (aux travaux) », confie Gérald. Foi de Texan !

Un courrier estampillé US Postal

En ce mois de décembre 2012, lorsqu’il relève sa boîte aux lettres, un courrier estampillé US Postal attire son attention. Le traditionnel échange de voeux entre les deux familles prend une allure irréelle :

Quand j’ai ouvert la carte, j’ai trouvé un chèque d’un montant de… 100 000 $. J’ai immédiatement appelé Michael pour lui demander s’il ne s’était pas trompé d’un ou deux zéros. Je savais qu’il était en train de vendre sa société pour plusieurs millions et qu’il avait largement de quoi vivre, mais c’était quand même assez inattendu.

Les années passent…

Une enquête fait suite à ce don conséquent. Durant trois mois, autorités françaises et américaines investiguent. S’agit-il de blanchiment ? D’évasion fiscale ? 

« La Wells Fargo et le Crédit Agricole ont collaboré », indique Gérald. Mais chacun dot se rendre à l’évidence : le généreux donateur est juste un personnage fidèle en amitié et désintéressé.

Gérald Ragnès et son ami Michael, lors d’une partie de pêche. Les deux hommes ont sympathisé dans les années 90, alors qu’ils participaient à des forages pétroliers pour le groupe Total. (©DR)

… et rien ne bouge

« La seule chose qu’il ait demandé, est que cet argent soit affecté exclusivement à la rénovation de l’église ».

C’est là que les ennuis ont débuté. Le bâtiment appartient à la commune. Et monter un dossier complet de restauration pour un bâtiment classé monument historique est chronophage. Les années passent. Rien ne bouge :

Notre association ne souhaitait pas s’engager sans la mairie. Faire de la ‘cosmétique’ sans que l’église soit hors d’air et hors d’eau n’avait aucun sens. A un moment, nous avons même envisagé de restituer son chèque à Michael. Il a découvert à cette occasion les différences entre la France et les Etats-Unis…

Le pétrole transformé en eau

Depuis sept ans, donc, les fonds ont été soigneusement épargnés. Le temps de faire réaliser l’ensemble des devis de rénovation de l’édifice et d’identifier les différents acteurs potentiel du financement. Coût total annoncé : 1,5 M€.

« Cela pourra se faire en plusieurs tranches. Quant à savoir quand ces travaux vont commencer, difficile à dire. Bientôt, j’espère », prie Gérald Ragnès.

Michael, quant à lui, profite de sa retraite pour développer son esprit philanthropique. Il a créé une société de forages hydrologiques au Nicaragua, qui intervient dans le monde entier pour offrir le précieux liquide à ceux qui en manquent. Le pétrole transformé en eau. Un miracle texan.   

Pas le premier philanthrope texan du village. Michael a eu un prédécesseur. En 1859, un enfant d’Aurignac, Bertrand Adoue, 20 ans, a traversé l’Atlantique pour vivre le rêve américain. Le petit épicier y devint… banquier près de Houston (Texas) et fit fortune. A sa mort, il a légué 54 000 F (soit l’équivalent de… 17 M€ de 2019 !) destinés aux pauvres de sa commune natale. Un boulevard Bertrand-Adoue lui est dédié à Aurignac.  

Laurent Derne

Pendant 2 mois, les étudiants mettront à profit les connaissances accumulées pendant l’année. (©Illustration / Pixabay)

Après plusieurs mois de formation, ils sont prêts à se jeter dans le grand bain. Des étudiants de l’Ecole Supérieure Hôtelière (ESH Lille), située à Tourcoing (Nord), vont bientôt inaugurer Le Saisonnier, un restaurant éphémère ouvert du lundi 6 mai au vendredi 28 juin 2019.

Pour ces jeunes, c’est l’occasion d’appliquer en situation réelle toutes les connaissances accumulées au cours de l’année : pratique de la restauration bistronomique à gastronomique, techniques de service et connaissances en œnologie, gestion, marketing et communication. Mais c’est surtout un projet monté de A à Z qu’ils devront valider afin de passer à la classe supérieure.

Menu à petit prix

Situé au sein même du campus Ecosup, Le Saisonnier disposera de 50 couverts. Il sera ouvert tous les midis, du lundi au vendredi. Pour y déjeuner, il faudra impérativement avoir réservé une table au préalable. Une fois installé, les étudiants seront aux petits soins pour leurs convives. Le but étant de faire bonne impression, y compris auprès des professeurs jamais bien loin.

Il faudra cependant faire preuve d’indulgence. Le service sera peut-être hésitant, la fourchette mal placée ou encore la serviette pliée maladroitement… Mais, en contre-partie, le menu affiche un prix très attractif : entre 12,50 euros et 18 euros pour entrée, plat et dessert. 

Ce sont des étudiants en formation, on ne peut pas mettre des prix trop élevés. Et c’est aussi un bon plan pour les gens qui viennent manger », assure Faustine, également étudiante sur ce campus et chargée de l’événementiel.

Circuit court

Des partenariats avec des producteurs locaux ont été conclus afin de promouvoir le circuit court et favoriser l’économie locale. Dans les assiettes, on retrouvera donc des produits issus de la Ferme du Vinage située à Roncq ou de la Ferme Castel à Tourcoing. Voici un exemple des mets qui seront servis aux convives lors de ces deux mois :

• Entrée : Asperges vertes, œuf cocorette croustillant et haddock
• Plat : Cabillaud, fondue de carottes à l’ail noire, betteraves et radis roses
• Dessert : Religieuse à la framboise

La carte évoluera tous les 15 jours et devra respecter le thème du restaurant Le Saisonnier : le développement durable.

Infos pratiques :
Restaurant éphémère Le Saisonnier
Du lundi 6 mai au vendredi 28 juin 2019
Service tous les midis du lundi au vendredi
Chez Ecosup Campus, 17 place Charles Roussel à Tourcoing
Réservations par téléphone au 03 20 70 06 06

La Nouvelle-Aquitaine, à l’instar d’autres régions en France, est touchée par une pénurie de tests de dépistage du cancer colorectal. (©Photo d’illustration – Fernando Zhiminaicela – Pixabay)

Les stocks réalisés fin 2018 n’ont pas été suffisants. L’antenne régionale du Centre Régional de Coordination des Dépistages des Cancers (CRCDC-NA) a annoncé que la région Nouvelle-Aquitaine était touchée par une pénurie de tests de dépistage du cancer colorectal. 

Le sud-ouest de la France n’est pas seul à être impacté, à en croire le communiqué du centre régional qui indique que d’autres régions en France sont touchés par cette pénurie, qui s’explique par un imbroglio judiciaire.

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Un nouveau marché invalidé

Le CRCDC-NA explique que cette rupture de stock est consécutive à un marché invalidé : 

Le marché national géré par l’Assurance Maladie a été confié au laboratoire Cerba jusqu’à la fin de l’année 2018 et le nouveau marché a été invalidé suite à un recours devant la justice

Il ne s’agit donc pas de remise en cause de ce test ni de sa validité. Malgré les stocks réalisés, fin 2018, la majorité des médecins en Nouvelle-Aquitaine n’ont plus de tests permettant le dépistage du cancer colorectal et le centre régional n’est plus en mesure de les réapprovisionner. 

Vidéo > Mode d’emploi du test de dépistage du cancer colorectal par l’Institut national du cancer

Une liste d’attente pour les patients

Le Centre Régional de Coordination des Dépistages des Cancers de Nouvelle-Aquitaine va suspendre l’envoi d’invitations pour ce test.

De leurs côtés, les médecins sont invités à établir des listes de leurs patients souhaitant réaliser ce dépistage, dans l’attente que cette situation se règle. 

Le cancer du côlon et du rectum se développe à partir d’une cellule initialement normale qui se transforme et se multiplie de façon anarchique, à la suite d’une mutation. S’il met du temps à se développer, il peut être efficacement pris en charge, grâce aux tests de dépistage. D’autant plus qu’il peut être guéri dans neuf cas sur dix à partir d’un dépistage précoce. 

Une arrivée sur le cours Clémenceau à Dole au terme d’une épreuve de 163,5 km a permis au Belge Kobe Goossens, vainqueur déjà de la première étape samedi, de remporter cette 14e édition du Tour du Jura cycliste.

Avant d’arriver à Goux. (©Voix du Jura / Mathilde Ducerf)

Au départ de Moissey, les 98 coureurs engagés pour cette deuxième journée ont pris la grêle au démarrage et on roulé entre averses et ensoleillement dans une étape qui les a mené jusqu’à Salins pour revenir via la forêt de Chaux et le Val d’Amour à Dole pour clôturer ce Tour du Jura.

Le podium de l’étape Moissey-Dole. (©Voix du Jura / Mathilde Ducerf)

Le Belge succède au Norvégien Carl Fredrik. Pas de Français encore cette année même si Jérémy Cabot termine 3e du général et 2e de l’étape du jour.

« Ce sont des coureurs que l’on va retrouver au plus haut niveau dans quelques années et ce fût une belle course même si la météo a été rude », souligne le directeur de la course Laurent Monrolin.

Une course 100 % organisée par des bénévoles qui a permis de drainer du public sur deux jours dans de beaux panoramas jurassiens pour ces futurs grands du cyclisme. 

Le vainqueur de cette édition 2019 du Tour du Jura Kobe Goossens. (©Voix du Jura / Mathilde Ducerf)

La réouverture du cinéma historique du centre-ville de Taverny, fermé depuis fin 2017, est prévue pour fin juin. (©La Gazette du Val-d’Oise.)

Le cinéma historique de Taverny (Val-d’Oise), au 207, rue de Paris, va rouvrir ses portes, juste avant les vacances d’été !

Créé en en 1965 par Jacqueline Paccioni et son mari (décédé), le Studio 207, après cinquante ans de vie, fin 2017, fermait ses portes.

Un crève-cœur pour beaucoup. Car il avait ses inconditionnels.

Ceux qui préféreront toujours ces petites salles aux multiplexes.

Deux petites salles, rénovées et modernisées, avec du son numérique et 287 fauteuils. 

« Un cinéma de quartier comme on les aime »

Un cinéma magique, d’autant plus que les salles sont d’une propreté inouïe », lançait un client. « Un cinéma de quartier comme on les aime, familial et bien tenu. Cela change des grandes salles impersonnelles », estimait un autre. « Petit cinéma qui a son charme. manque juste quelques trucs comme la 3D mais rien de grave ».

Subvention de la Ville de 60 000 €

Florence Portelli, maire (Lr) de Taverny, cinéphile, s’était engagée durant sa campagne à « sauver le cinéma ».

Le premier Festival de cinéma de Taverny avait d’ailleurs été lancé au Studio 207. 

Cette reprise du cinéma, « c’était un pari », reconnaît l’élue, qui dit avoir eu de très longues discussions avec la propriétaire du cinéma.

La Ville a fini par nouer un partenariat avec un repreneur local. 

« On travaille avec lui depuis plus de six mois. On s’était aussi rencontré avec Mme Paccioni », explique Florence Portelli, qui rend hommage à son travail durant toutes ces années.

Le tribunal de commerce de Pontoise, qui avait placé le cinéma en liquidation judiciaire le 7 septembre 2018, a décidé, lors d’une seconde audience, de rendre une décision en faveur de ce repreneur et le projet défendu et soutenu financièrement par la Ville.

« Le travail a payé, se félicite Florence Portelli. C’est une nouvelle exceptionnelle pour notre commune. Ce cinéma fait partie intégrante de l’identité historique du territoire. De nombreux Tabernaciens y sont profondément attachés et sa sauvegarde était devenue une question prioritaire du projet municipal. »

Lors du débat d’orientations budgétaires 2019, la Ville avait dégagé une enveloppe de 60 000 € afin de soutenir ce projet de reprise, avec l’expertise du Département, à travers la Mission Image et cinéma et les contacts noués par la municipalité. Un choix confirmé lors du budget.

Lors des vœux du maire, en janvier, Valérie Pécresse, présidente (Lr) du Conseil régional d’Île-de-France, qui était présente, avait également dit qu’elle pourrait aider la commune. « Rouvrir un cinéma de centre-ville, c’est pile-poil le type de projet qu’on pourrait soutenir ».

Le maire de Taverny compte donc solliciter des aides régionales.

Projet d’agrandissement avec une troisième salle

Il y a quelques mois, Florence Portelli avait exprimé son souhait d’agrandir ce cinéma avec la construction d’une troisième salle, évoquant aussi l’idée d’y accueillir des spectacles de stand-up.

L’idée est toujours d’actualité. « La 3e salle, oui, au cours du second mandat », explique l’élue, qui ne se fait aucun souci pour remplir les deux salles. 

« Nous avons prévu des tarifs réduits pour les jeunes et les familles. Nous ne voulons pas d’un cinéma élitiste. Nous voulons attirer tous types de publics à travers une programmation diverse, grand public et cinéphile. Il y a aura des cycles. On travaille aussi avec Ecrans Vo (Ndlr, association relevant du Conseil départemental) pour faire venir les scolaires et les collégiens ».

Des travaux vont être menés jusqu’à l’été pour redonner un coup de neuf au cinéma.

Des chantiers devraient être menés (type peinture) pour associer les jeunes de Taverny au projet.

L’impressionnant slalom de Damian Penaud (Clermont) face au Stade Français. (©Capture écran Canal +)

Damian Penaud, c’est l’un des plus beaux joyaux du rugby français. Et son passage à l’aile est une vraie belle réussite. Offensivement, le Clermontois est plus que redoutable. Dimanche 28 avril 2019, l’international français (11 sélections) a éclaboussé de tout son talent la rencontre face au Stade Français.

Lire aussi : Top 14. Ramos, Clermont, Retière, Castres… Nos Tops et Flops de la 23e journée

Servi en bord de touche au niveau de la ligne médiane (49^e minute), Damian Penaud a rentré sa course et débuté un slalom d’anthologie. Passant toute la défense parisienne en revue, il a échappé à pas moins de cinq adversaires pour franchir le rideau adverse, contourné un autre Parisien avant de servir en bout d’aile Peter Betham. La suite ? Jedrasiak, Vahaamahina et Simutoga au relais, une passe au pied par-dessus magique de Nanaï Williams et la conclusion de Apusai Naqalevu. Fabuleux !

Clermont proche d’une qualification en demie

Certes, Damian Penaud n’a pas marqué lors de cette rencontre, mais il a grandement participé au succès bonifié décroché par Clermont sur la pelouse du Stade Français (25-41). L’ailier international, sauf blessure, devrait bien être du voyage avec le XV de France pour la Coupe du monde.

Lire aussi : Vidéo. Damian Penaud marque un essai après une course de 95 mètres contre Montpellier

Avant cela, il reste la saison à terminer avec son club. Celui-ci est tout proche d’une qualification directe pour les demi-finales du Top 14. Et jouera une finale de Challenge Cup face au Stade Rochelais le 10 mai prochain. Sérieusement, après une année sans, Clermont revient en force sur le devant de la scène.

🚨 Grosse performance de @ASMOfficiel qui s'impose avec le bonus offensif sur la pelouse du @SFParisRugby 💪 #rugby #top14 #SFPASM pic.twitter.com/YukkKSRkuF

— Actu Rugby (@acturugbyfrance) April 28, 2019

Capture d’écran d’une vidéo où apparaît Abou Bakr al-Baghdadi, publiée par le média de propagande Al-Furqan le 29 avril 2019. (©AL-FURQAN MEDIA/AFP/-)

Le chef du groupe Etat islamique (EI/Daech) Abou Bakr al-Baghdadi est apparu pour la première fois en cinq ans dans une vidéo de propagande diffusée lundi 29 avril 2019 par l’organisation djihadiste.

La date à laquelle cette vidéo a été tournée n’est pas connue mais Abou Bakr al-Baghdadi, chef du « califat » djihadiste autoproclamé en 2014, y déclare « la bataille pour Baghouz est maintenant terminée », en référence au dernier réduit du groupe ultraradical dans l’est de la Syrie, tombé le 23 mars 2019.

Lire aussi : Le groupe djihadiste EI vaincu en Syrie, son « califat » éliminé

L’homme, qui apparaît assis les jambes croisées sur un coussin, affirme que l’EI « se vengera » au nom de ses membres tués et que le combat contre l’Occident est « une longue bataille ».

S’adressant à trois hommes dont les visages ont été floutés, il promet d’autres actions de l’EI « après cette bataille ».

Il apparaît avec une longue barbe grise qui semble être teinte au henné et parle doucement, s’arrêtant quelques secondes au milieu de ses phrases.

Selon SITE, le centre américain de surveillance des mouvements extrémistes et l’expert irakien de l’EI Hicham Hachemi, l’homme dans l’enregistrement est le chef de l’EI.

Caché dans le désert syrien ?

Le dernier message attribué à Abou Bakr al-Baghdadi était un enregistrement audio diffusé en août 2018.

Le chef djihadiste est apparu pour la première et dernière fois en public en 2014 à Mossoul, dans le nord de l’Irak, où il a proclamé le « califat » de l’EI.

Selon des spécialistes, l’homme le plus recherché au monde se terrerait dans le désert syrien.

A la tête de son « califat », Abou Bakr al-Baghdadi a un jour présidé aux destinées de sept millions d’habitants, dans de larges pans de la Syrie et près d’un tiers de l’Irak.

La chute du « califat » de l’EI a été annoncée le 23 mars après la conquête de l’ultime fief des djihadistes dans l’est de la Syrie, au terme d’une offensive des combattants arabes et kurdes des Forces démocratiques syriennes, soutenue par une coalition dirigée par les Etats-Unis. L’Irak avait déclaré la « victoire » sur l’EI en décembre 2017.

Les Etats-Unis offrent 25 millions de dollars pour la capture d’Abou Bakr al-Baghdadi. 

Malgré ses défaites en Irak et en Syrie, l’EI continue de commettre des attaques dans ces pays où il garde des cellules basées dans des zones difficiles d’accès.

Lire aussi : Etat islamique : le chef Abou Bakr al-Baghdadi appelle ses partisans à poursuivre le « djihad »

Source : © 2019 AFP

Ce lundi 29 avril 2019, une petite centaine de salariés de CKB-TE Connectivity se sont ressemblés devant la préfecture de la Sarthe où une délégation a été reçue. (©Les Nouvelles de Sablé)

Le projet de délocalisation des activités du fabriquant de connecteurs pour le ferroviaire et l’industrie pétrolière, TE Connectivy à Allonnes (Sarthe) continue de faire des vagues à Allonnes (Sarthe).

« On est loin du compte »

La CGT dénonce des « négociations indignes et non respectueuses des salariés ».

L’activité ferroviaire est touchée de plein fouet avec l’objectif de délocaliser les activités en Pologne.

Face à une direction inflexible avec un business plan déjà ficelé, un mouvement de grève a débuté ce vendredi 26 avril 2019 alors que le travail ne manque pas avec un carnet de commande plein à craquer…

« On a claqué la porte des négociations »

En février, la direction a pourtant revu sa copie passant de 141 emplois menacés à 87 aujourd’hui (sur un effectif total de 162 salariés) mais pour les syndicats on est loin du compte comme l’explique le délégué CGT Denis Halna :

On a claqué la porte des négociations jeudi dernier. On ne reviendra pas autour de la table si on ne nous propose pas quelque chose de correct. Les raisons économiques ne tiennent pas la route »

Lire aussi : [VIDÉO] Sarthe. Projet de délocalisation de TE Connectivity : la direction fait volte-face

Les actions vont donc se poursuivre pour obtenir des conditions de départ décentes.

Ce lundi 29 avril 2019, une assemblée générale du personnel a acté la reconduite de mouvement au moins jusqu’au jeudi 2 mai.

Un rassemblement devant la mairie d’Allonnes est prévu ce mardi 30 avril, à 10 h.

Présent devant la préfecture, le secrétaire général de l’Union départementale CGT Didier Jousse a invité les salariés à sa joindre au traditionnel rassemblement syndical du 1er-Mai pour « exiger plus de justice sociale, fiscale et climatique ».

Le rendez-vous est fixé ce mercredi devant la Préfecture de la Sarthe, à 10 h 30. Une délégation d’anciens salariés de la papeterie Arjowiggins est notamment attendue.