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Val-de-Marne. Le Marché de Rungis va s'inviter au Grand Palais de Paris en novembre

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Le Marché de Rungis s'invite au Grand Palais à l'occasion de la première édition du festival du bien manger

Le Marché de Rungis s’invite au Grand Palais à l’occasion de la première édition du festival du bien manger (©Pixabay)

50 ans valent bien un retour dans la capitale ! L’emblématique Marché de Rungis (Val-de-Marne) s’apprêtent à revenir à Paris, en novembre prochain. Il s’installera en effet du 15 au 17 novembre au Grand Palais, à l’occasion de la première édition du festival du bien manger. Au programme ? « Chefs et ateliers découvertes, produits frais d’exception en direct des grossistes passionnés de Rungis, feront de cet évènement un rendez-vous à ne pas manquer autour de la convivialité, du partage et de la générosité », annonce l’organisation.

Célébrer le savoir-faire culinaire

Ce festival a été produit et orchestré par l’agence Øconnection en partenariat avec le Marché International de Rungis. L’objectif ? « Célébrer le savoir-faire culinaire et l’art de vivre à la française ». Que vont découvrir les visiteurs sur place ?

Un parcours unique, des rencontres authentiques, une expérience gustative et humaine. Le temps d’un savoureux week-end, sous la verrière du Grand Palais, un marché gourmand de 15000 m2 , composé de 120 exposants, interprofessions et acteurs du monde de la gastronomie, permettra aux 25 000 visiteurs attendus de découvrir une sélection de plus de 300 produits frais en provenance directe du Marché de Rungis et disponibles à la vente !

A noter également la présence de nombreux chefs et MOF (Meilleurs Ouvriers de France) qui animeront des masterclass ou des démonstrations.

Le festival du bien manger, ce sera aussi :

  • Des produits régionaux ou plus exotiques, feront aussi partie de l’invitation au voyage des sens pour faire découvrir les 5 secteurs d’activité du plus grand marché de produits frais au monde : Marée, produits carnés, fruits et légumes, produits laitiers et traiteurs, horticulture et décoration.
  • Un programme alléchant qui comptera notamment 20 ateliers « découvertes », un marché, une exposition photos, une librairie, un food court composé de bars, de food trucks et de paillotes, et qui permettra aux visiteurs de vivre des aventures gustatives uniques.
  • Les enfants, quant à eux, profiteront d’un espace dédié et d’animations ludiques, concoctés juste pour eux.

Pour les organisateurs, le festival du bien manger est « une opportunité de mettre en lumière les formations, les emplois des métiers de bouches, leur digitalisation et affirmer le rôle de Rungis, qui nourrit 1 français sur 4, comme point central dans l’écosystème de la chaîne alimentaire hexagonale ».

Un peu d’histoire

Il y a 50 ans, le transfert des Halles centrales de Paris à Rungis, appelé le « déménagement du siècle », a vidé le cœur de Paris de son activité alimentaire de gros au profit du nouveau Marché de Rungis. Aujourd’hui, Rungis est devenu le plus grand marché de produits frais au monde et le symbole mondial du cœur gastronomique français.


Exposition. L'univers en noir et blanc de Camille Couturier à Sap-en-Auge (Orne)

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Camille Couturier avec le maire de Sap-en-Auge devant les œuvres des enfants de l'école

Camille Couturier avec le maire de Sap-en-Auge devant les œuvres des enfants de l’école (©Le Réveil Normand)

Dans le cadre des expositions d’Arts en cités, le Conseil départemental propose des créations contemporaines d’artistes dans les lieux emblématiques de l’Orne. Un parcours culturel et patrimonial inédit, initié par le Fonds départemental d’art contemporain de l’Orne.

C’est à Sap-en-Auge, salle du conseil, que Camille Couturier expose ses œuvres réalisées à l’encre de Chine. Samedi soir, à l’heure du vernissage, le maire Gérard Rosé a accueilli l’assistance : 

« Notre conseil municipal porte aux activités culturelles une attention toute particulière dans le cadre des actions menées par l’association des Petites cités de caractère car si nous possédons un bâti remarquable que nous valorisons chaque jour par nos travaux de réhabilitation et d’embellissement notamment floral, nous ne disposons pas, dans notre patrimoine, de l’un de ces trésors culturels susceptibles d’attirer la foule des visiteurs ».

C’est la raison pour laquelle la commune accueille avec beaucoup d’intérêt cette exposition consacrée à Camille Couturier qui est un savant assemblage des œuvres de l’artiste avec celle des élèves de l’école publique Raymond Queneau et des adultes volontaires qui ont accepté de partager un après-midi avec l’artiste qui était en résidence à Sap-en-Auge. 

Lire aussi : Rugl’Art. L’exposition de Rugles dans l’Eure inaugurée en musique

Installée dans le Pays d’Ouche

Voilà treize ans que l’artiste réside dans l’Orne, auparavant elle vivait en Grèce. De formation littéraire, elle s’est découvert une passion pour la peinture, en totale autodidacte, depuis une bonne vingtaine d’années. « J’ai toujours éprouvé le besoin de créer et la peinture s’est avérée adaptée à ma démarche, à mon goût pour le silence. Il y a une dizaine d’années, j’ai eu un déclic total pour l’encre de Chine et depuis je suis restée dans cet univers en noir et blanc, je n’ai plus abordé la couleur », confie l’artiste qui démarre ses journées par son engagement sur la toile mais ne sait pas où les chemins picturaux vont la guider.

Elle est autant que possible dans l’immédiateté. Expérience aidant, elle s’est affranchie des contraintes techniques pour être au maximum dans la concentration, la médiation même. Elle avoue être quand même toujours surprise du résultat final.

Cette exposition a pu voir le jour grâce au concours du service culturel du Conseil départemental, des Petites cités de caractère et demeurera en place jusqu’au 28 août dans la commune. 

Pratique.
Lundi, mardi, jeudi et vendredi, de 9 h à 12 h et de 14 h à 17 h ; les mercredis de 9 h à 12 h.

Quartier de la gare de Dinan : les commerçants ont le blues depuis le début des travaux

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La vendeuse de la boulangerie, Mélissa, et Thomas Pivoine.

La vendeuse de la boulangerie, Mélissa, et Thomas Pivoine. (©Le Petit Bleu des Côtes d’Armor)

Barrée et interdite à la circulation à partir de la place du Général Leclerc et jusqu’à la gare, la rue Carnot à Dinan (Côtes d’Armor) est anormalement calme. Rares sont les personnes à s’y aventurer depuis le début des travaux de réaménagement du quartier, engagés au printemps. Et qui dureront jusqu’à la fin de l’année.

Lire aussi : Gare. Un quartier à métamorphoser

Les commerçants de cette artère sont loin de se réjouir de cette situation. A l’image de Christian et Thomas Pavoine, les responsables de la boulangerie-pâtisserie, Le Fournil de la gare :

« Ces travaux ont une très grosse influence sur notre chiffre d’affaires. Depuis le début, nous perdons en moyenne 700 € par semaine. Cela se ressent surtout sur la pâtisserie, c’est moins impactant sur le pain. Nous sommes installés depuis six ans et ce sera notre plus mauvaise année, alors que nous venions de refaire le magasin il y a un an et que le chiffre était en progression. Les autres commerçants vont sûrement faire une demande de perte d’exploitation auprès de la mairie, nous ne savons pas encore si nous allons la faire. Il est vraiment dommage que le maire ne soit pas passé nous voir, ne serait-ce que pour nous avertir des travaux et de la fermeture des routes. »

[PROJET GARE] 🚧🚉ÉTAPE 3 : PHASE OPÉRATIONNELLE – LES TRAVAUX DU SUD GARE 2019🔺Transfert des équipements et…

Publiée par Ville de Dinan sur Vendredi 17 mai 2019

Pas facile de porter un aspirateur

Sous le soleil et derrière les travaux, le commerce Aux délices d'Italie.

Sous le soleil et derrière les travaux, le commerce Aux délices d’Italie. (©Le Petit Bleu des Côtes d’Armor)

Un peu plus loin, chez Dinalux, la situation est semblable. Moins de passages pour cette activité spécifique. Mais puisqu’il est impossible de s’approcher en voiture, difficile d’apporter à réparer à bout de bras ne serait-ce qu’une machine à coudre.

Le plus impacté est certainement le tabac-presse. Les propriétaires, en vacances, ce sont des remplaçants qui tiennent en ce moment le magasin, mais qui se rendent bien compte qu’il y a beaucoup moins de passage qu’auparavant.

Lire aussi : Dinan : des arbres abattus par erreur à la gare

Sur le trottoir d’en face, un commerçant qui a des années de recul, François Rouxel, du magasin Aux délices d’Italie, relate :

« En mai, cela allait encore, mais depuis juin, c’est plus compliqué, car les personnes cherchent les places de stationnement. Le midi, je travaille presque autant qu’avant les travaux, mais le soir, la clientèle de passage ne peut stationner et cela va durer jusque fin octobre. Mais on n’a pas le choix, on va bosser ! Lorsqu’ils vont rouvrir cela ira déjà mieux. »

Attendre et voir…

Muriel Creno, bien que moins impactée que les autres, espère des jours meilleurs.

Muriel Creno, bien que moins impactée que les autres, espère des jours meilleurs. (©Le Petit Bleu des Côtes d’Armor)

En remontant la rue, le magasin Viceco. Pascale Kuemeneur observe :

« C’est beaucoup plus calme, même les piétons ont du mal à circuler. Je travaille beaucoup avec une clientèle de proximité, des personnes âgées et aussi avec quelques personnes de passage lors de la sortie du travail. Depuis mai, la chute a commencé. J’attends qu’il y ait un accès. »

Enfin, commerce en haut de la rue, près de la place du Général Leclerc, le bar le St Gorges est un peu plus excentré et donc moins susceptible d’être en proie aux affres des travaux :

« Nous avons moins de passage. Mais c’est vrai qu’il y a un peu moins d’incidences pour nous que pour d’autres. Nous avons toujours nos clients attitrés et quelques habitants du coin qui viennent. Nous avions été prévenus des travaux, mais n’avons pas vu le maire. Nous attendons de voir comment cela va fonctionner par la suite en espérant que des places de parking ne seront pas retirées. »

La situation est donc compliquée pour ces commerçants qui attendent avec impatience la fin des travaux afin de repartir sur de bons rails.

Lire aussi : A la gare de Dinan, les deux derniers bistrots fermés

Xavier Bizot (CLP)

Une commission pour indemniser
Une commission d’indemnisation à l’amiable a été créée en conseil municipal, le 3 juillet, pour les commerçants qui ont été sinistrés par ces travaux.
Par ailleurs, Yannick Hélio, adjoint chargé des travaux, a annoncé la réouverture prochaine de la rue Carnot. Ce qui devrait permettre aux commerçants de respirer économiquement cet été.

Honfleur : Marthe, la seule fille qui participe au jeu du mât incliné du 14 juillet

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Marthe FEsquet, orogine de Honfleur, issue d'une famille e pêcheurs, participe assidûment au jeu du mât incliné.

Marthe FEsquet, orogine de Honfleur, issue d’une famille e pêcheurs, participe assidûment au jeu du mât incliné. (©Le Pays d’Auge – Delphine Revol)

Marthe Fesquet n’a pas froid aux yeux. Cette jeune habitante de Honfleur (Calvados), âgée de 28 ans, s’apprête à participer ce dimanche 14 juillet 2019 (à 17h15 !) pour la troisième fois de sa vie au jeu du mât incliné. Elle est la seule fille à oser affronter dix autres hommes et s’élancer sur ce grand mât en bois de 12 mètres badigeonné de savon noir et glissant à souhait, pour tomber dans l’eau du bassin. Un événement qui amuse le public tous ans depuis 1880 dans la cité portuaire. 
En bonne honfleuraise qui se respecte, alors que depuis toute petite elle assiste tous les 14 juillet au spectacle, Marthe a décidé de se lancer dans l’aventure en 2016, l’année où il fût décidé de déplacer le jeu dans l’avant-port, à cause de la présence d’une bactérie dangereuse dans le vieux bassin.

Lire aussi : Honfleur : Le mât incliné sera de nouveau joué au-dessus du vieux bassin le 14 juillet

Je viens d’une famille de pêcheurs de Honfleur, pour moi cette épreuve typiquement honfleuraise est importante, surtout que cette année quand même, le mât va pouvoir retrouver le vieux bassin, c’est mythique !

Et pour sa grand-mère, Simone Cauchois, encore plus :

C’est ma plus grande fan. À 86 ans, elle a une pêche d’enfer, elle sera au premier rang sur un bateau avec toute la famille pour voir le spectacle.

De quoi encourager la jeune sportive, handballeuse par ailleurs, devenue dès 2016 la chouchoute du public agglutiné sur les quais ce jour-là.

Une véritable « casse-cou »

Ce n’est pourtant pas un rêve de petite fille que Marthe réalise.

En fait, je ne me suis jamais projetée dans ce jeu, car on m’a toujours dit que c’était réservé aux garçons. C’est pour ça que quand je suis allée m’inscrire la première fois, je ne pensais pas que les autres joueurs accepteraient ma présence.

Le contraire se produisit :

C’est vrai qu’ils étaient surpris de voir une fille s’inscrire mais ils m’ont super bien accueillie, m’ont donné des conseils, m’ont coachée, etc.

se souvient la jeune téméraire, qui reconnaît volontiers être une véritable « casse-cou ».

Marthe Fesquet, en 2018, concourrait pour la deuxième fois au jet du mât incliné à Honfleur.

Marthe Fesquet, en 2018, concourrait pour la deuxième fois au jet du mât incliné à Honfleur. (©Le Pays d’Auge – Delphine Revol)

Prendre des coups ne lui fait pas peur (même aller chez le dentiste ne l’impressionne pas, c’est dire) ! Malgré tout, Marthe reste prudente, pour le plus grand soulagement de sa mère, toujours inquiète pour elle avant l’épreuve, mais toujours présente néanmoins pour l’encourager :

Je suis toujours la dernière à me lancer sur le mât, comme ça, il y a moins de savon après le passage des dix autres avant. Et quand je cours, je reste focus sur le drapeau, tout en regardant où je mets les pieds : le moindre écart et c’est la glissade assurée.

Ce qui n’empêche pas de prendre des coups malgré tout.

L’année dernière, je m’en suis tirée avec un bel hématome sur la cuisse. Cette année, la marée sera basse, donc il faudra faire attention aux plats en tombant dans l’eau 

Et surtout, Marthe n’est pas là pour gagner, « même si je serais vraiment fière de remporter le drapeau ou le laurier un jour ».

Lire aussi : La météo du dimanche 14 juillet sur les plages de la Côte fleurie

Ambiance bon enfant

D’ici l’épreuve, Marthe n’a pas prévu d’entraînement spécial, et ne se laissera pas gagner par l’appréhension, tout au plus aura-t-elle la petite boule au ventre juste avant l’épreuve :

C’est du stress positif. J’ai plutôt hâte d’y être en fait. D’année en année, je prends un peu plus confiance, je commence à connaître le mât et trouver mon équilibre

répond-elle simplement. D’autant que l’ambiance le jour J est stimulante.

Avant le jeu, tous les joueurs se retrouvent à la Taberna, on s’encourage, on se connaît tous plus ou moins. Et quand le drapeau est décroché, tout le monde saute dans l’eau pour féliciter le vainqueur. C’est vraiment sympa !.

Alors, que le ou « la » meilleur(e) gagne !

Lire aussi : Jeu du mât incliné à Honfleur : Force Bleue revient sous les feux de la rampe

14 juillet : Emmanuel Macron ouvre le défilé, des sifflets entendus lors de la revue des troupes

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Emmanuel Macron au côté du général Francois Lecointre, le 14 juillet 2019. (©AFP/Lionel BONAVENTURE)

Le président Emmanuel Macron a ouvert dimanche les festivités du 14 juillet en descendant les Champs-Elysées à bord d’un « command car » avant le début du traditionnel défilé militaire, placé cette année sous le signe de la coopération militaire européenne.

Des sifflets émanant de « gilets jaunes » ont été entendus sur le passage du chef de l’État, dont c’est le troisième défilé depuis son élection en mai 2017.

Le Président déjà visé samedi soir

La veille au soir, quelques dizaines de manifestants, dont certains portaient des « gilets jaunes », avaient fait entendre leur voix devant l’Hôtel de Brienne, où Emmanuel Macron prononçait un discours, en visant le ministre de la Transition écologique François de Rugy, épinglé par Mediapart pour des dîners fastueux lorsqu’il était président de l’Assemblée nationale.

Après avoir entamé vers 10h la revue des troupes sur la célèbre avenue parisienne aux côtés de son chef d’état-major, le président a rejoint la tribune présidentielle place de la Concorde, où l’attendaient plusieurs dirigeants européens, dont Angela Merkel, ainsi que son épouse Brigitte Macron, ainsi que les membres du gouvernement dont François de Rugy.

Lire aussi : Robots, drones… La coopération militaire européenne à l’honneur au défilé du 14 juillet

Source : © 2019 AFP

Ballée : Les répétitions de l'opéra Le Trouvère ont commencé

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Une partie des 56 choristes en répétition.

Une partie des 56 choristes en répétition. (©Le Courrier de la Mayenne)

Depuis le lundi 8 juillet 2019, le logis de Linières à Ballée (commune de Val-du-Maine) résonne des premières vocalises des artistes venus préparer Le Trouvère, l’opéra de Verdi proposé par l’association de culture pour tous Les Zêlés de Linières.

Après Carmen en 2017, et Aïda en 2018, c’est un nouveau défi d’envergure qui attend Julien et Véronique Ostini, les propriétaires des lieux.

56 choristes, 68 musiciens, huit interprètes ont répondu bénévolement à l’appel du Trouvère de Verdi. Dans ce pari fou, ils seront entourés de 80 figurants de la région qui font partie depuis trois ans de cette belle aventure de culture pour tous en participant à l’élaboration des décors, au gîte et au couvert des artistes.

Le chef d'orchestre Frédéric Rouillon et la cheffe de chœur Désirée Pannetier plongés dans la partition du Trouvère.

Le chef d’orchestre Frédéric Rouillon et la cheffe de chœur Désirée Pannetier plongés dans la partition du Trouvère. (©Le Courrier de la Mayenne)

«  Je suis là depuis le début. Je chante dans le chœur de Désirée (Pannetier). L’opéra est mon genre préféré et l’idée de l’ouvrir à tout le monde m’a plu. Le concept est génial et on se retrouve entre copains », témoigne Pierre, un Rennais de 24 ans.

« J’ai commencé le chant lyrique cette année et un pianiste qui jouait à Linières m’a proposé de venir participer à cette production. J’ai tout de suite accepté. J’adore l’ambiance et la convivialité, c’est super ! », confie Melki, comédien de 27 ans venu de Lille.

«  J’avais vu Carmen il y a deux ans, c’était génial. Je me suis inscrite à la dernière minute pour faire partie des choristes. Je suis contente d’être là », confirme Maëlle, 27 ans, une musicienne de Laval intervenante en milieu scolaire.

Pratique : Le Trouvère, opéra de Verdi. Jeudi 18 et samedi 20 juillet, château de Linières, Ballée (Val-du-Maine). Tarifs : 15 € (gradins), 10 €. Gratuit jusqu’à 21 ans. Réservation par mail : contactlinieres@gmail.com ou par téléphone au 07 67 90 21 87.

Montpellier : quelques conseils pour ne rien louper du feu d'artifice

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Cette année, les réputés artificiers de la société Jacques Couturier Organisation s'occuperont des effets pyrotechniques.

Cette année, les réputés artificiers de la société Jacques Couturier Organisation s’occuperont des effets pyrotechniques. (©Ville Montpellier)

Comme chaque année ce sont les pompiers qui ouvriront le bal ce dimanche soir, dès 19h30. Les soldats du feu, en goguette, serviront en effet des canons de mousse -celle qui se boit, donc-, tandis que sur la grande scène installée derrière le Zénith Sud, l’orchestre Krystal Noir assurera le show avec des reprises des années 70 à nos jours.

Plan d'accès du domaine de Grammont pour ce 14 juillet.

Plan d’accès du domaine de Grammont pour ce 14 juillet. (©Ville Montpellier)

Soyez prudents et anticipez votre venue pour le feu d’artifice, prévu à 23h, car il risque d’y avoir du monde. D’autant que les accès au domaine de Grammont sont totalement fermés à la circulation. Il faudra donc se délester de son automobile dans l’un des 6 parkings d’Odysseum -gratuits pour l’occasion- et rejoindre le site de tir, à pieds, en empruntant l’avenue Manitas de Plata, sécurisée et aménagée pour cette soirée. 

Un service de navettes est également mis en service durant toute la soirée, de 19h à 1h20, au départ de la place de France à Odysseum.

Infos pratiques : comment suivre le feu d'artifice du 14 juillet à Montpellier

Comment suivre le feu d'artifice du 14 juillet à Montpellier ? La réponse en vidéo.

Publiée par Métropolitain sur Dimanche 14 juillet 2019

Le feu d'artifice est tiré ce soir à Fougères

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Le feu d'artifice sera tiré du château.

Le feu d’artifice sera tiré du château. (©Chronique républicaine)

Ce soir, dimanche 14 juillet, à la tombée de la nuit, le feu d’artifice sera tiré du château à Fougères.

Pour l’admirer, le mieux est de s’installer au jardin public, sur la butte à Bigot ou à la Carrière du Rocher Coupé.

Avant d’admirer le feu d’artifice, il est aussi possible d’aller danser. Le Castle bar organise une soirée avec quatre DJs, place Raoul II, à partir de 18h :  Robin P, Tom Thomas, Bruno RX – Prestataire Événementiel et Anthony C.


Sarthe. Accord UE-Mercosur : le monde agricole et le géant volailler LDC inquiets

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Ce lundi 8 juillet 2019, Christelle Morançais a visité un poulailler « Le Gaulois » qu'exploite Isabelle Leballeur (à gauche) à Pruillé-le-Chétif.

Ce lundi 8 juillet 2019, Christelle Morançais a visité un poulailler « Le Gaulois » qu’exploite Isabelle Leballeur (à gauche) à Pruillé-le-Chétif. (©Les Nouvelles de Sablé)

Le monde agricole s’inquiète de l’accord UE-Mercosur conclu le 28 juin 2019. En tête de ligne, le groupe LDC et sa marque Le Gaulois.

Aujourd’hui, la France importe 45 % du poulet consommé dans l’hexagone essentiellement à destination de la restauration hors domicile.

L’accord de libre-échange entre le Mercosur (Argentine, Brésil, Paraguay et Uruguay) et l’Union européenne prévoit notamment des droits de douane nuls sur 180 000 tonnes de volaille.

En Sarthe, l’information a fait l’effet d’une bombe notamment au pays des Fermiers de Loué et de LDC, le géant du secteur.

« Coup d’épée dans le dos »

Après avoir manifesté leur colère devant la préfecture de la Sarthe le mardi 2 juillet au soir, les représentants de la FDSEA 72 accompagné du président de la Chambre d’Agriculture de la Sarthe Michel Dauton se sont donnés rendez-vous sur l’exploitation d’Isabelle, Jean-Pierre et Julien Leballeur au lieu-dit Le Haut Coudray à Pruillé-le-Chétif pour accueillir et alerter la présidente de la région des Pays de la Loire Christelle Morançais.

Cet EARL produit pour Le Gaulois et vient d’investir 170 000 € pour moderniser un poulailler désormais doté de fenêtres pour améliorer le bien-être des animaux.

Des efforts qui pourraient poser problème si l’accord Mecorsur se concrétise…

D’une manière générale, les agriculteurs sont vent debout : « c’est un coup d’épée dans le dos » déclarait il y a quelques jours Denis Pineau, le président de la FDSEA 72.

Directeur de LDC Amont, Gilles Huttepain a échangé avec Christelle Morançais.

Directeur de LDC Amont, Gilles Huttepain a échangé avec Christelle Morançais. (©Les Nouvelles de Sablé)

74 % des phytos utilisés dans les pays du Mercosur sont interdits en Europe

En cause notamment les différences sur les réglementations en vigueur de part et d’autre de l’Atlantique. Un seul exemple : 74 % des phytos utilisés dans les pays du Mercosur sont interdits en Europe !

C’est dire le fossé qu’il existe entre l’agriculture industrielle d’Amérique du Sud et l’agriculture à la française. La pilule est dure à avaler.

Le Brexit pourrait compliquer la situation

Chez LDC, les regards se tournent également vers le Royaume-Uni car si le Brexit s’en mêle, l’UE devra absorber davantage de volumes.

Un dossier suivi de prêt par Gilles Huttepain, directeur de LDC Amont :

Selon les accords de l’OMC, la totalité de la production importée par les anglais reviendra sur le marché intérieur européen »

Au niveau économique, les 180 000 tonnes importés dans le cadre de l’accord UE-Mécorsur représentent une menace pour 4 500 emplois directs soit trois fois le groupe Doux qui avait fait couler tant d’encre et donc LDC a contribué au sauvetage avec une reprise partielle l’an dernier…

Lire aussi : Doux. LDC reprend 290 salariés et propose à 247 « des solutions de reclassement au sein du groupe »

Un impact moindre pour Loué mais…

Si le poulet standard est en première ligne, les volailles label sont davantage protégées mais le volume pourrait complètement bouleverser le paysage au grand dam d’ Yves de la Fouchardière, directeur des Fermiers de Loué :

 Le Brésil c’est le numéro 1 mondial du poulet. Ils sont toujours prêt à ouvrir les frontière encore plus largement »

Christelle Morançais (présidente de la région des Pays de la Loire) : « on marche sur la tête »

A l’heure où l’on parle de développement des circuits courts, d’agriculture durable et de sécurité alimentaire, l’accord UE-Mercosur va à contre courant des politiques publiques déployées notamment au niveau local et régional.

Désireuse d’apporter son soutien au monde agricole, la présidente de la région des Pays de la Loire n’a pas mâché ses mots lors de sa visite à Pruillé-le-Chétif :

Le monde devient fou ».

Ce mercredi, elle devait rencontrer plusieurs de ses homologues et proposer une tribune. Pour elle, une bataille de la communication doit être engagée pour sensibiliser les consommateurs.

Sarthe : Edwige Lesiourd, auteure photographe met l'Homme à sa place par ses photos et sans clichés !

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Edwige Lesiourd a décroché le coup de cœur du jury au concours photos des Pays d'Essay dans la catégorie monochrome. Ici, elle est devant la fontaine de Sillé. Ça coule de source.

Edwige Lesiourd a décroché le coup de cœur du jury au concours photos des Pays d’Essay dans la catégorie monochrome. Ici, elle est devant la fontaine de Sillé. Ça coule de source.

Basée à Montreuil-le-Chétif (Sarthe) dans un écrin de verdure, l’auteure-photographe Edwige Lesiourd, 37 ans à fleur de peau, est un personnage qui sort de l’ordinaire. Rencontre avec une femme qui veut mettre la nature au cœur de la préoccupation de l’Homme. Son arme fatale ? La beauté de ses clichés et la douceur de son phrasé.

 

Mais d’où sortez-vous ?

Des bois ! Je suis de la Sarthe. J’ai passé mes 18 premières années près de la forêt de Perseigne. J’ai grandi à Ancinnes.

 

Votre parcours ?

Je suis allée à l’école et au collège à Ancinnes avant le lycée à Alençon puis la Fac à Tours où j’ai étudié la philosophie. Après, j’ai obtenu une licence de communication politique, à Créteil. L’appel de la philo a été plus fort que moi. Je suis donc retournée à la fac de Tours. J’ai fini par passer un diplôme de français et langues étrangères. J’ai commencé l’enseignement dans le milieu carcéral.

Conseillère d’insertion à la maison d’arrêt d’Angers

Et après ?

Je suis partie dans les Balkans pour un service volontaire européen, en Macédoine. J’ai profité de cette occasion pour visiter les pays de l’ex-Yougoslavie. Je suis revenue en France pour enseigner la philo au lycée de Mamers avant de faire la même chose à Angers puis conseillère d’insertion à la maison d’arrêt d’Angers.

J’ai travaillé aussi dans l’audiovisuel à la tête d’une équipe afin de réaliser un documentaire sur le patrimoine immatériel. Il s’agit tout simplement d’un travail sur la mémoire des anciens salariés de l’industrie des bijoux Murat.

 

Comment êtes-vous arrivée l’écriture et à la photographie ?

Après l’enchaînement de plusieurs contrats en CDD dans diverses communes, j’ai éprouvé le besoin de poser mes valises. Je suis revenue en Sarthe précisément à Montreuil-le-Chétif, pour créer mon entreprise d’auteure-photographe. Elle s’intitule Edwige Lesiourd Photographie.

« J’aime le milieu rural »

Pourquoi Montreuil-le-Chétif ?

Parce que je suis Sarthoise et je voulais retrouver mon département. Et comme j’aime le milieu rural, j’ai trouvé mon bonheur à Montreuil-le-Chétif. J’habite à 250 mètres de la forêt de Sillé (côté bois de Pezé).

 

Pourquoi le choix de devenir auteure-photographe ?

C’est pour me mettre au service de la Nature et de l’Environnement. Je ne prends que des photos de la nature. Je travaille sans aucune retouche. Je suis au numérique mais je procède comme avec l’argentique. Je fais tous les réglages manuellement. Je veux être la plus proche possible de la réalité sans tronquer la couleur ni l’exposition. Je prends la lumière telle quelle.

 

Que faites-vous de vos photos ?

Des expositions afin de les vendre ou des ouvrages pour sensibiliser les gens à la nature. Il y a des personnes qui me commandent des photos grand format sur la nature faisant un mètre cinquante sur un mètre cinquante.

Je fais des créations. Il s’agit de photographies d’art en série limitée. Jamais plus de trente exemplaires. Elles sont signées et numérotées.

 

Quels sont les tarifs ?

Ça va de 60 à 500 euros.

 

Vous arrivez à en vivre ?

Ce n’est pas évident. J’ai le statut pro depuis décembre 2018. Je vais voir comment ça va évoluer.

En tout cas, même si je ne gagne pas très bien ma vie avec pour l’instant, ça reste cohérent avec mon mode de vie.

Vivre en harmonie avec la nature

Vous êtes verte dans l’âme…

Il faut le croire !

En tout cas, j’essaie de vivre le plus harmonieusement possible avec la nature. Je fais mon petit potager et j’ai une ruche. J’ai de la chance de compter sur Daniel Papillon, apiculteur expérimenté qui me transmet son savoir.

 

Revenant à la photo. Vous avez édité un livre-photos.

Oui. Le titre est Antr’eau. Il s’agit d’une navigation photographique dans l’univers de l’eau. Il y a 9 pages et 80 photographies uniquement sur le thème de l’eau. C’est une opportunité de se laisser toucher par cette dimension émotionnelle et vitale de l’eau.

Interpeller les personnes avec ce qui est beau

Combien coûte-il et pourquoi le choix de l’eau ?

Il vaut 55 euros. Quant au thème, j’ai voulu travailler sur l’eau par ce que toutes nos émotions sont véhiculées par l’eau. Toutes nos émotions sont extériorisées par le liquide.

L’eau est sacrée. La molécule est constitutive de ce qui est vivant. Pour moi, l’eau via ce livre, est une porte d’entrée pour sensibiliser les gens sur l’Environnement. C’est une manière de rappeler à l’Humain qu’il est constitué de 90 % d’eau comme la terre et tout ce qui est vivant.

C’est une volonté de réconcilier l’Homme avec ses origines naturelles.

Ces dernières années, il y a eu une déconnexion de l’Homme avec la nature. Mon ouvrage est une piqûre de rappel qui se veut poétique par l’originalité des clichés et des textes expliquant la nature sans être donneur de leçon. Je préfère interpeller les personnes avec ce qui est beau et ce qui les touche : la poésie, la douceur et l’intimité.

Quand on prend les choses d’une façon frontale et agressive, il n’y a pas d’échange et ce n’est pas porteur car les gens se ferment.

 

Votre prochaine exposition ?

Elle a lieu du 1er juillet au 1er septembre, dans le Domaine du Gasseau, dans la très belle région de Saint-Léonard-des-Bois. J’enchaînerai par une autre à Bonnétable, dans l’enceinte de l’Office du Tourisme (ex-écurie du château).

 

Outre, la photo, l’écriture, le jardinage et l’apiculture, que fait la passionnée de la nature ?

Je retape ma maison. Il s’agit de l’ancien fournil. Il me reste eu moins deux ans de travaux.

Avec tout ça, j’ai dit adieu à l’escrime et au badminton, deux disciplines où j’ai été championne régionale et départementale.

On ne peut pas tout faire !

 

Propos recueillis par Chafik AOUNI.

 

Pratique :

Edwige Lesiourd 06 58 05 87 82.

www.edwigelesiourdphotographeecrivainsarthe.com

 

Courriel : ed.lesiourd@laposte.net

Burgers, fromages, crêpes et cocktails… Un food court éphémère au cœur de la cité de Carcassonne

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Un food court éphémère est installé au cœur de la Cité méidévale de Carcassonne.

Un food court éphémère est installé au cœur de la Cité médiévale de Carcassonne. (©DR)

Régalade à la cité, c’est le nom du food court éphémère qui a ouvert ses portes à Carcassonne (Aude), au sud-est de Toulouse, le 19 juin 2019. C’est au cœur de la cité médiévale, sur la route des vacances des habitants de la Ville rose, que ce nouvel espace gourmand a pris place.

Après les halles gourmandes à la Cour des consuls

C’est l’agence de Toulouse One conseil qui est derrière cette nouvelle adresse. C’est cette même agence qui, cet hiver, avait installé une halle gourmande à l’Hôtel 5 étoiles de la Cour des consuls, dans le quartier des Carmes, à Toulouse.

L’équipe explique :

Régalade a pour vocation de faire vivre une expérience gustative, festive et conviviale aux Carcassonnais et aux touristes.

Huit établissements représentés

Huit établissements ont installé leur cuisine dans ce food court installé sous un chapiteau. Cuisine méditerranéenne, cuisine française, burgers du sud-ouest, brasserie, fromagerie, bar à cocktails… attendent ainsi les clients sur une place de marché reconstituée. Les produits proposés dans les différentes échoppes sont pour la plupart locaux et de saison.

L’espace est ouvert jusqu’au 18 août 2019. Des concerts et des sets de DJ’s seront proposés tous les soirs sur la scène installée dans les lieux. Petit plus : les lieux sont ouverts tard et pourront accueillir les spectateurs du festival de Carcassonne après les concerts.

Lire aussi : The Black Eyed Peas, Chris, Shaka Ponk et Orelsan à l’affiche du festival de Carcassonne

Infos pratiques :
Food Court éphémère à la Cité de Carcassonne
17 rue du Plô, à Carcassonne
Ouvert de 17h30 à 1h30 jusqu’au jeudi 18 août.

Légion d'Honneur. Montpellier : la lieutenant-colonel de gendarmerie Danièle Goury promue chevalier

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Danièle Goury chevalier de la Légion d'Honneur

Danièle Goury chevalier de la Légion d’Honneur (©Métropolitain)

La traditionnelle fête nationale du 14 juillet a été célébrée ce dimanche matin sur la place de la Comédie, à Montpellier, en présence de Pierre Pouëssel, préfet de l’Hérault et de personnalités civiles et militaires.

Lors de cette cérémonie publique, des gendarmes du groupement de l’Hérault ont été médaillés, dont Danièle Goury, lieutenant-colonel, qui s’est vu épingler la médaille de chevalier de la Légion d’Honneur par le général Jean-Valéry Letterman.

Une des 25 femmes au grade de lieutenant-colonel

Un grand moment que cette distinction qui honore une carrière déjà bien remplie de l’une des 25 femmes au grade de lieutenant-colonel dans la Gendarmerie nationale. Elle est en poste à l’état-major du groupement de l’Hérault, dans la caserne de Font-Couverte, située dans l’ancienne enceinte de l’école d’application d’infanterie à Montpellier

Danièle Goury occupe les fonctions de de cheffe de bureau en charge de la sécurité publique. La lieutenant-colonel a eu un parcours chargé : elle a notamment été une des premières enquêtrices en brigade de recherches -à la compagnie de Narbonne où elle a rencontré le commandant de compagnie devenu son mari-, en 2014, elle était à Millau, au commandement d’une compagnie opérationnelle avec 130 gendarmes sous ses ordres.
Elle a également exercé en section de recherches et a travaillé sur des dossiers marquants.

Elle fut par ailleurs cheffe de la cellule communication à la Région de gendarmerie de l’ex-Languedoc-Roussillon. Métropolitain présente ses sincères félicitations à Danièle Goury.

Les promus du 14 juillet

La promotion du 14 Juillet de la Légion d’honneur compte 423 personnes, dont Thomas Pesquet, Jean-Paul Belmondo et Jean-Michel Jarre, mais aussi d’anciens résistants et des héros de l’attentat de Strasbourg de décembre dernier.

Les anciens résistants luttant contre le racisme Jacqueline Fleury, présidente d’honneur d’une association de déportés et internés de la Résistance, et Jean Nallit, Juste de France ont été élevés à la dignité de grand-croix, la plus haute distinction.

Un gardien de la paix et un citoyen qui sont intervenus pendant l’attentat de Strasbourg ont été nommés chevaliers. Ils sont distingués pour « services exceptionnels nettement caractérisés » grâce à une disposition du Code de la Légion d’honneur qui dispense des 20 ans de services habituellement exigés.

Damian Myna, musicien de 28 ans, est notamment distingué pour avoir tenté de plaquer au sol Chérif Chekatt qui lui tirait dessus dans un bar. L’agresseur lui a asséné onze coups de couteau avant de poursuivre son épopée meurtrière (5 morts au total). Après plusieurs semaines à l’hôpital, il est rentré chez lui début mai. Françoise Rudetzki, fondatrice de SOS Attentats, a de son côté été promue grand officier. Le spationaute Thomas Pesquet est fait chevalier pour « services exceptionnels nettement caractérisés ». La culture est illustrée avec les comédiens Jean-Paul Belmondo et Claudia Cardinale, tous deux élevés à la dignité de grand officier, le musicien Jean-Michel Jarre, promu commandeur, ou la danseuse Marie-Claude Pietragalla, promue officier.

Dans le secteur de l’innovation et du développement économique figurent Francis Holder, fondateur des boulangeries Paul et propriétaire de la maison Ladurée, et Guillaume de Seynes, directeur général d’Hermès.

Le service de l’État est notamment représenté par les commandeurs Michel Cadot, préfet d’Île-de-France, et Corinne Le Quéré, présidente du Haut Conseil pour le climat, nommée chevalier. Il est également incarné par les élus : Valérie Pécresse, présidente du conseil régional d’Île-de-France qui vient de quitter LR, et Vanik Berberian, président de l’Association des maires ruraux de France, qui deviennent chevaliers. En février, en pleine crise des Gilets jaunes, Emmanuel Macron avait fait à Gargilesse-Dampierre (Indre), la commune dont Vanik Berberian est le maire, l’une de ses réunions-marathons dans le cadre du grand débat.

Danièle Goury à l'honneur.

Danièle Goury à l’honneur. (©Métropolitain)

Une rave party rend fou la population d'un village de la Manche depuis plusieurs heures !

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A Saint-Germain-sur-Haye, une rave party a empêché de dormir un grand nombre d'habitants.

A Saint-Germain-sur-Haye, une rave party a empêché de dormir un grand nombre d’habitants. (©Illustration Pxhere)

De la colère il y en avait ce matin à Saint-Germain-sur-Ay. Il faut dire que de nombreux habitants ont eu de grandes difficultés pour trouver le sommeil. D’autres n’ont même pas fermé l’œil de la nuit.

La raison ? Une rave party qui dure depuis des heures dans un champ à proximité de la ville. Ce matin, vers 10 h 30, la musique était encore audible sur la place de Saint-Germain.

Présent au Vent des Isles, brasserie de la commune, Michel, client du camping municipal témoigne : 

Tous les gens sont remontés ! En particulier les clients du camping. J’ai entendu des « boom-boom » toute la nuit… 

Lire aussi : Portbail : un ouvrier blessé à la tête après avoir traversé un plancher

Plusieurs plaintes affluent 

Plus tôt dans la matinée, dans le camping Aux Grands Espaces, l’énervement et l’agacement étaient également palpable. L’agent d’accueil de celui-ci témoigne : 

Je ne comprends pas pourquoi la gendarmerie n’est pas intervenue dans la nuit… Je suppose même qu’il restait des animaux dans le champ où était organisée cette « fête ». 

Vers 10 heures du matin, le responsable du camping avait déjà pris la direction de la gendarmerie pour déposer une plainte. Très tôt dans la matinée, plusieurs de ses clients lui avaient fait part de leur mécontentement. 

Lire aussi : Homme renversé à Montmartin-sur-Mer : la gendarmerie lance un appel à témoins pour retrouver le chauffard

Légion d'honneur du 14-Juillet : qui sont les nouveaux distingués en Normandie ?

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L'astronaute Thomas Pesquet, originaire de Dieppe, est allé à la rencontre des indiens Kogis, en Colombie, cet été.

L’astronaute Thomas Pesquet, originaire de Dieppe (Seine-Maritime), a été nommé chevalier de la Légion d’honneur, dimanche 14 juillet 2019. (©Camille Larher/Les Informations Dieppoises)

Six personnalités bien connues en Normandie ont été nommées ou promues dans la nouvelle promotion de la Légion d’honneur du 14-Juillet 2019.

Thomas Pesquet à l’honneur

Le plus célèbre et le plus connu de tous est évidemment Thomas Pesquet. L’ingénieur aéronautique et spationaute originaire de Dieppe (Seine-Maritime) est fait chevalier de la Légion d’honneur pour ses 18 ans de services et sa qualité d’« ambassadeur de l’aérospatiale auprès de la jeunesse ».

La première sous-préfète du Havre, Marie Aubert, a également été nommée chevalier de la Légion d’honneur pour ses 22 ans de services. Mercredi 10 juillet 2019, elle a été nommée préfète déléguée à l’égalité des chances auprès du préfet de la région Provence-Alpes-Côte-d’Azur.

Lire aussi : Près de Dieppe, l’école des jeunes sapeurs-pompiers porte désormais le nom de Thomas Pesquet

C’est au tour de Marie-Christine Join-Lambert, vice-présidente du conseil départemental de l’Eure, maire de Brétigny d’être nommée Légion d’honneur pour ses 45 ans de services.

Emmanuel Hyest, agriculteur de l’Eure et président de la Fédération nationale des sociétés d’aménagement foncier et d’établissement rural (Safer) a également reçu le grade de chevalier de la Légion d’honneur pour ses 37 ans de services.

Ils reçoivent le grade d’officier

Catherine Picard, l’ancienne présidente de Union nationale des associations de défense des familles et de l’individu victimes de sectes (Unadfi), ancienne députée de l’Eure, ancienne conseillère régionale de l’ex Haute-Normandie, avait été sacrée chevalier le 10 novembre 2009. Elle est désormais promue officier de la Légion d’honneur.

Dominique Sorain, ancien préfet de l’Eure, s’est fait connaître en tant que préfet de Mayotte, où il avait été dépêché en urgence en mars 2018, alors que l’île était en pleine crise. Il a été nommé Haut-Commissaire en Polynésie française, mercredi 10 juillet 2019. Sacré chevalier de la Légion d’honneur le 31 janvier 2007, il est désormais officier.

Lire aussi : Le maire d’Évreux Guy Lefrand décoré de la Légion d’Honneur

Retrouver la nouvelle promotion de la Légion d’honneur du 14-Juillet 2019, ici

Un guet-apens à Angicourt jugé au tribunal correctionnel de Beauvais

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Le prévenu a été jugé dans le cadre d'une comparution immédiate s'est tenue vendredi 12 juillet au tribunal correctionnel de Beauvais

Le prévenu a été jugé dans le cadre d’une comparution immédiate vendredi 12 juillet au tribunal correctionnel de Beauvais (©Adobe Stock)

Le 10 juillet, Jérôme, qui est retourné vivre chez sa mère à Clermont, boit 2,5 litres de bière en deux heures, en sortant de chez le juge de l’application des peines. Objet du rendez-vous : l’aménagement d’une condamnation d’avril 2019 pour conduite en état alcoolique et sans permis.

« J’ai bu cinq bières de 50 centilitres, de la forte », précise-t-il au président du tribunal de Beauvais François Detton, où il est jugé en comparution immédiate vendredi 12 juillet. « Un litre par heure », calcule le magistrat.

Il menace son ex et confisque ses clés de voiture

Jérôme se rend ensuite à Angicourt, où il sait que son ex petite amie accompagne leurs deux enfants, âgés de huit mois et trois ans, qu’ils ont eus ensemble. Depuis leur séparation, qui remonte au 14 juin, il ne les a pas vus et son ex, qui réside toujours dans son appartement de Liancourt, évite tout contact.

Lorsqu’elle arrive dans la commune, Jérôme l’attend. Il surgit devant elle et lui bloque le passage. C’est lui-même qui gare la voiture de son ex et en conserve les clés pour être sûr qu’elle ne redémarrera pas. Il la menace :

Tu ne vas pas finir la journée ! Après, je me fous en l’air ! »

La famille avance en direction du parc d’Angicourt lorsque la jeune femme, paniquée, aperçoit quelqu’un à l’intérieur d’une maison. Elle s’y précipite. L’occupant des lieux appelle les gendarmes.

Son permis annulé

Jérôme est interpellé dans une rue à proximité. Il indique aux gendarmes s’être rendu à Angicourt avec une voiture appartenant à son entreprise alors que son permis est annulé. Détail qu’il avait omis de signaler à son employeur qui s’apprêtait à l’embaucher en contrat à durée indéterminée.

A la barre du tribunal, il confirme avoir menacé son ex-compagne dans les termes précités, mais une seule fois. Il indique : « Je n’accepte pas la rupture. Je suis privé de mes enfants et elle refuse le dialogue ». Pour lui, il n’y a qu’une explication à son dépôt de plainte :

Elle a fait cela pour se débarrasser définitivement de moi » !

Jérôme écope de neuf mois de prison, dont trois mois avec sursis et mise à l’épreuve, obligation de soins, interdiction de paraître au domicile de son ex petite amie et de se présenter au permis de conduire avant un délai de six mois. Le tribunal a décerné un mandat de dépôt pour la partie ferme de la peine.


Les bons plans de la rédaction : où pique-niquer au Havre et à Rouen ?

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Young people having picnic near the river. Young friends relaxing by the river

La rédaction de 76actu a listé, pour vous, les meilleurs endroits pour pique-niquer au Havre et à Rouen ! (©Illustration Adobe Stock)

Fan du céléri remoulade ? Passionné de piémontaise ? Professionnel du sandwich rosette-cornichon ? Qu’il n’en déplaise aux adeptes des bonnes tables, l’été, c’est aussi la saison des pique-niques et de ses menus à la bonne franquette !

La rédaction s’est alors creusé la cervelle pour répondre à une question cruciale : où poser sa nappe à carreaux et son panier en osier à Rouen et au Havre pour déjeuner ? Une enquête au cœur des espaces seinomarins. 

À Rouen :

  • Jardin de l’hôtel de ville, en plein cœur du centre historique, entourés d’arbres. À proximité de l’abbatiale Saint-Ouen et de l’Hôtel de ville. 
  • La route des moulins, au départ du centre-ville historique. Ce pique-nique se vit après une balade à vélo ou à pied ! La route des moulins est située à l’est du centre-ville, le long du Robec ou de l’Aubette.
  • Un véritable poumon vert de la rive gauche, le jardin des plantes est l’un des spots les plus connus des adeptes du pique-nique ! Un grand espace de verdure, de l’ombre, des animaux et de la fraîcheur ramenées par les grands bassins.
  • L’île Lacroix se prête particulièrement à un pique-nique champêtre avec, en toile de fond, le lent passage des péniches et bateaux de croisière sur la Seine.
  • La prairie Saint-Sever sur la rive gauche ou encore la presqu’île Rollet offrirent un cadre enchanteur pour se restaurer en regardant les péniches passer sur la Seine.
  • Spot incontournable pour les touristes de passage à Rouen, la colline Sainte-Catherine est également l’un des lieux préférés des Rouennais pour pique-niquer. Assis dans l’herbe, vous pourrez profiter d’une vue imprenable sur la ville de Rouen.

Au Havre

  • Le parc de Rouelle, avec ses prairies, étangs et bois s’étendent sur 150 ha, offrant un écrin exceptionnel au manoir de la Bouteillerie et à son colombier du 17e siècle, représentatifs de l’architecture du Pays de Caux.
  • En forêt et toujours au Havre ! Le parc de Montgeon et ses 230 hectares sont en fait une véritable base de loisirs consacrée à la nature et à la détente pour toute la famille.
  • Petit poumon du centre-ville, les deux hectares de verdure du square Saint-Roch, en plus d’abriter plus de nombreuses espèces végétales, permet aux adeptes de la nappe à carreaux de dénicher un spot bien placé.
  • Un petit pique-nique sur la plage, c’est bien aussi ! On vous propose la plage située à proximité du centre nautique Paul-Vatine avec, en toile de fond, la grande digue nord. Un lieu à préférer au soleil couchant.
  • Un joli petit parc situé à mi-chemin entre la ville basse du Havre et la ville haute. Le bas du parc Hausser est en effet aménagé en parc paysager tandis que la partie haute est traitée en espace naturel.

Le Lions Club de L'Aigle offre un chèque de 2 000 euros à Enfants Cancer Santé

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Pascale Grieve, au centre, a reçu un chèque de 2 000 euros

Pascale Grieve, au centre, a reçu un chèque de 2 000 euros

Une délégation du Lions Club de L’Aigle (Orne) et Vallée de la Risle s’est rendue au CHU de Caen, mercredi 26 juin, pour y rencontrer Pascale Grieve, présidente d’Enfants Cancer Santé et lui remettre un chèque de 2 000 euros. Laurent Portet, président du Lions Aiglon a affirmé que « cette somme est le résultat de diverses opérations de bénévolat conduites par des membres du Lions Club L’Aigle et Vallée de la Risle ».

Guérir plus et mieux

Il a été rappelé que l’objectif de l’association Enfants Cancer Santé est de guérir plus et guérir mieux. « Guérir plus en recherchant des projets de recherches validés et guérir mieux en facilitant l’accès des parents et familles à l’information ». L’association régionale vient de créer au CHU de Caen « V@SI ». C’est une structure permettant la reprise d’une vie normale après traitements et guérisons.

Lire aussi : A L’Aigle, il frappe sa mère, la mord et la fait tomber dans les escaliers

A ce jour, les avancées de la recherche permettent en France une guérison de 83 % des cancers chez l’enfant. Malheureusement, 440 enfants meurent du cancer chaque année en France.

Pascale Grieve, présidente d’Enfants Cancer Santé a souligné que la recherche sur les cancers de l’enfant est financée à 70 % par le mécénat.

« La souffrance des enfants est insoutenable pour nous, parents, grands parents, etc. Chaque don est un pas de plus pour la recherche ».

Pratique
Des infos sur l’association sur le site https ://www.enfants-cancers-sante.fr/

Condé-sur-Sarthe. Pierre Patry expose ses œuvres très colorées

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Des strates de peintures, collages et jus colorés, de Pierre Patry, une exposition à voir tout l'été

Des strates de peintures, collages et jus colorés, de Pierre Patry, une exposition à voir tout l’été

Pierre Patry expose à la mairie de Condé-sur-Sarthe (Orne) ses strablos constitués de strates de peintures qui reflètent ses voyages de vacances personnelles.

« Mes tableaux sont des témoignages abstraits de ma vie, d’un souvenir, d’un voyage.

Mon épouse Véronique apporte son regard sur mes œuvres et m’aide à les concrétiser avec ses remarques.

Je projette de la peinture sur la toile et je laisse dégouliner, ensuite je travaille par zones en intégrant des coupures de journaux, des collages, et j’ajoute des strates, des épaisseurs colorées d’acrylique ».

L’artiste de 53 ans est né en région parisienne, il est arrivé à Alençon à l’âge de 3 ans, puis il a fait les beaux-arts de Cherbourg, Bordeaux, Angers.

Chargé de communication à la Mutualité sociale agricole de l’Orne, il est passionné de peinture : « mes formats sont carrés, à la limite je peux les mettre dans n’importe quel sens sans dominante de couleurs mais par exemple je suis plus à l’aise avec le bleu qu’avec le vert. Pour aider le visiteur, chaque tableau porte un titre énigmatique en jeux de mots accompagné d’un texte qui donne la clé pour découvrir et comprendre ma toile. J’aime que l’on regarde mes strablos longuement, qu’on y revienne, sans vouloir chercher à les expliquer à tout prix ».

Exposition jusqu’au 30 août 2019 à la mairie du lundi au vendredi de 9 h à 12 h 30 et de 14 h à 17 h 45.

Découvrez la navette fluviale écolo accessible gratuitement pendant quatre mois, à Rouen

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La navette fluviale

La navette fluviale permettra aux Rouennais de franchir la Seine, durant quatre mois à partir du 15 juillet 2019. (©AV/76actu)

Vous avez peut-être déjà aperçu cet engin aux airs futuristes en vous promenant sur les quais de la rive droite de Rouen (Seine-Maritime). À partir du lundi 15 juillet 2019, et pendant quatre mois, la Métropole Rouen Normandie propose, en partenariat avec l’Union portuaire rouennaise, Transdev et avec le soutien d’Engie et du Grand port maritime de Rouen, un nouveau moyen de transport en commun : une navette fluviale écologique.

Lire aussi : Nouveau. À Rouen, une navette électro-solaire en test pour franchir la Seine !

Une navette électro-solaire

Entre les ponts Guillaume-le-Conquérant et Flaubert, cette navette électro-solaire relit deux pontons, de la rive droite à la rive gauche de Rouen.

Propulsée par un moteur électrique, elle fonctionne grâce à ses 50 m2 de panneaux solaires installés sur le toit. La navette possède 60 places assises et il est possible de monter avec son vélo.

Le coût global de cette expérimentation de quatre mois s’élève à 150 000 euros pour la Métropole. Pour l’instant, les traversées sont gratuites mais, si ce nouveau transport en commun est un succès, il pourrait être prolongé et devenir payant.

Cette expérimentation inédite à Rouen avait été annoncée en juin 2018 par le président Frédéric Sanchez, et décidée par la Métropole en décembre. Parallèlement à ces tests, des études pour imaginer la construction d’une passerelle devaient être finalisée, mais le sujet a divisé les élus communautaires. Les études ont été abandonnées sur demande du maire de Rouen. Seule l’expérimentation de cette navette est sortie vivante de cette polémique.

Informations pratiques :
Traversées du lundi au vendredi, en continu aux heures de pointe de 7h30 à 9h30, puis de 11h30 à 14h30 et de 16h30 à 19 heures. Du samedi au dimanche et jours fériés, de 10 heures à 18 heures, en continu.

Courdemanche : Six hectares d'herbes sèches en feu menacent la forêt

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Heureusement, le blé était coupé et c'est donc du chaume qui a brûlé à Vaas dans un champ avant d'être éteint par les pompiers. Photo d'illustration.

Un feu a brûlé . Photo d’illustration. (©Le Petit Courrier – L’Echo de la Vallée du Loir / Jimmy CHARLOT)

Dimanche 14 juillet 2019, le feu a pris dans un champ d’herbes sèches à Courdemanche. Six hectares ont brûlé et les flammes menacent la forêt à proximité.

Lire aussi : Sarthe : les pompiers mobilisés sur de nombreux incendies

Les pompiers de la Sarthe sont sur place au niveau du lieu-dit « La Perrocherie » et ont engagé d’importants moyens pour éviter une propagation à la forêt. L’intervention est en cours.

Deux équipages de pompiers à Vaas

Ce même jour ce sont 3 000 m2 de blé coupé qui ont brûlé à Vaas au niveau du lieu-dit « La Davière » à 9 heures du matin.

Lire aussi : La voiture fait une sortie de route en Sarthe : 5 blessés dont 2 graves dans l’accident

Deux équipages des centres de Saint-Germain-d’Arcé et d’Aubigné-Racan sont intervenus.

Un début d’été très sec en Sarthe

Les pompiers sont extrêmement sollicités en ce début d’été particulièrement sec en Sarthe.

Lire aussi : 14 juillet en Sarthe : le préfet interdit la vente de feux d’artifice et de combustible au détail

Il est recommandé d’être particulièrement vigilant notamment aux mégots jetés par la vitre d’un véhicule ou lors d’une randonnée.

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