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Nouveau à Combourg : une pension avec chambres et courettes pour vos chats

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Véronique Foucher a la passion des chats et vient d'ouvrir une pension pour les accueillir quand vous vous absentez

Véronique Foucher a la passion des chats et vient d’ouvrir une pension pour les accueillir quand vous vous absentez

Pour les propriétaires de chats, quand vient le départ en vacances, peut se poser la question de leur garde. Pour y répondre, Véronique Fouchery, ancienne assistante vétérinaire, vient d’ouvrir une pension féline à Combourg.

Pour mieux comprendre la genèse de cette toute nouvelle pension féline, il faut remonter quelques années en arrière.

Lire aussi : Combourg : un renard paniqué fait irruption dans la cuisine et casse la vaisselle

En 2012, la malouine Véronique Foucher, 31 ans quitte Saint-Malo « où je suis née et y ai fait mes études », pour venir s’installer en Bretagne romantique, à Couapichette en Combourg. La raison du départ de la cité corsaire, pour cette brunette tout en fraîcheur « amoureuse absolue et propriétaire de chats », tient au fait « que j’avais du mal à trouver quelqu’un de confiance pour les faire garder en cas d’absence. » Il n’en faudra pas plus, elle tourne les talons à son « métier d’assistante vétérinaire que j’exerçais depuis plus de cinq ans » pour se consacrer « à ce projet de pension féline. »

Lire aussi : Combourg : un parent d’élève condamné pour avoir insulté le directeur d’une école primaire

6 chambres

Début juin 2019, elle ouvre les portes de sa structure « exclusivement féline pour préserver la tranquillité des chats », composée de 6 chambres pouvant accueillir jusqu’à 2 chats d’une même famille. Une pension, pour laquelle Veronica a mis tous les atouts pour, « qu’elle soit rassurante. Et je me veux disponible pour que les propriétaires puissent partir l’esprit tranquille. »

Courettes privatives

Pour le bien-être des animaux, chacune des chambres « donne accès à une courette privative sécurisée. » Un agencement qu’elle a souhaité « à taille humaine, afin de pouvoir consacrer du temps à chaque pensionnaire. »

Partir l’esprit tranquille

Pour cette nouvelle vie professionnelle Véronique a obtenu le CETAC (Certificat d’études Techniques Animal de Compagnie) « afin de parfaire encore plus mes connaissances et répondre au mieux aux besoins de mes pensionnaires. »

Lire aussi : Pompier roué de coups à Combourg : un homme incarcéré, ses deux complices placés sous contrôle judiciaire

Comme pour chaque structure de collectivité, il y a quelques obligations : le chat doit être identifié, vacciné et traité contre les puces et vers.

« Je demande également aux propriétaires d’apporter la nourriture de leur animal pour éviter tout changement et préserver son régime alimentaire. »

A domicile ?

Votre chat n’aime pas les changements, vous ne souhaitez pas le perturber, Véronique propose des petits plus pour partir l’esprit tranquille, « des visites à domicile aux propriétaires qui préfèrent que le chat reste chez eux, cela dans un rayon de 20 km. » ; si vous ne pouvez pas apporter ou venir chercher votre chat, « je propose également le transport ».

Vous auriez bien fait le choix de confier votre chat à la pension de Véronique, seulement vous avez aussi un lapin, une souris ou un cochon d’Inde ? Cette passionnée peut les garder en même temps à son domicile.

Comment ?

Il suffit de convenir d’un rendez-vous à la pension « pour remplir le contrat de réservation aux dates souhaitées, ou je pré-remplis le contrat que j’envoie par mail aux propriétaires, qui me le retournent complété et signé par mail ou voie postale. »

 

Véronique Foucher, Coussin & Coussinets à Couapichette à Combourg. Horaires d’ouverture : 10 h 30 à 12 h 30 et 14 h 30 à 18 h 30 (le début de matinée étant réservé au nettoyage des chambres). Contact au 06 48 72 29 23, e-mail : contact@coussin-et-coussinets.com, site : coussin-et-coussinets.com A partir de 14 € par jour (pour un chat en espace individuel avec jardin).


En Normandie, la FREDON lance une opération exceptionnelle pour éviter la prolifération de certains insectes

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De gauche à droite. En haut, le capricorne asiatique, le cynips du châtaignier, le scarabée japonais. En bas, la punaise diabolique, le charançon rouge du palmier, l'agrile du frêne et la punaise américaine

De gauche à droite. En haut, le capricorne asiatique, le cynips du châtaignier, le scarabée japonais. En bas, la punaise diabolique, le charançon rouge du palmier, l’agrile du frêne et la punaise américaine (©Le Réveil Normand)

Les petites bêtes sont partout. Dans vos jardins, dans vos potagers et même dans vos maisons. Si tous les insectes ont normalement leur rôle à jouer, certains, venus de l’autre bout du monde, s’avèrent être très invasifs et très nocifs pour les végétaux.

Ils peuvent entraîner de grands dégâts chez certaines espèces. C’est le cas de l’agrile du frêne qui a déjà détruit plusieurs millions de frênes. Originaires de contrées lointaines, ces insectes nous sont parvenus avec le temps par le biais des échanges commerciaux.

L’exemple le plus connu de tous est l’arrivée en France du frelon asiatique mais d’autres espèces moins connues font tout autant, si ce n’est plus, de ravages.

Lire aussi : Dans l’Orne, des viticulteurs de Bourgogne font revivre le château de la Ferté-Fresnel

Opération VIGIFREDON

C’est pour cela que la FREDON lance l’opération VIGIFREDON afin de détecter le plus rapidement possible la présence de ces insectes sur le territoire normand et pouvoir réagir en conséquence en empêchant une prolifération trop importante. Parmi ces insectes, la FREDON Normandie en recense sept qui sont particulièrement recherchés. 

Le capricorne asiatique. Un coléoptère arrivé en Europe dans les années 2000, il s’attaque à un très grand nombre d’arbres dit feuillus comme les érables, les bouleaux, les ormes mais aussi les arbres fruitiers.

Le cynips du châtaigner. Il est arrivé en Europe par l’Italie en 2002 puis en France en 2007. Sa présence est difficilement visible. Le seul réel moyen de le détecter c’est par la présence de galles de couleur verte puis rosée, rouge, visibles généralement d’avril à octobre.

Le scarabée japonais. Un coléoptère arrivé en Europe en 2014, il peut attaquer plus de 300 espèces différentes. Il s’attaque au feuillage mais également directement aux racines des arbres.

La punaise diabolique. Elle s’attaque principalement aux fruits des arbres fruitiers mais aussi aux légumes et peut entraîner une perte massive dans les récoltes.

Le charançon rouge du palmier. Présent en France depuis fin 2012, il est implanté de façon disparate dans toutes les régions de France. Il s’attaque comme son nom l’indique principalement aux palmiers.

L’agrile du frêne. Insecte asiatique, il est responsable de la disparition de millions de frênes et représente une vraie menace pour cette espèce.

La punaise américaine. Arrivée en France en 2005, elle s’attaque aux cônes et aux graines de pins ou encore aux sapins.

Pratique. En cas de suspicion, deux solutions s’offrent à vous. Vous pouvez prélever un échantillon et le déposer directement à la FREDON au 1, rue Léopold Sédar Senghor à Colombelles (14460). Horaires d’ouverture : le lundi matin et le vendredi matin de 9h à 12h. Si ce n’est pas possible pour vous, vous pouvez envoyer des photos à l’aide du formulaire disponible sur le site Internet www.fredonbassenormandie.fr. En cas de forte suspicion, un prélèvement devra alors être effectué.

Cantal. Football : une assemblée générale porteuse d'espoirs pour le club d'Arpajon-sur-Cère

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« Même dans la difficulté, le CSA est une institution et rien ne pourra l'empêcher de vivre et d'avancer »

« Même dans la difficulté, le CSA est une institution et rien ne pourra l’empêcher de vivre et d’avancer »

En présence des élus de la municipalité et du Département, face à un auditoire plus que conséquent, les dirigeants du Cercle Sportif Arpajonnais ont dressé le bilan d’une saison des plus compliquées. Après avoir retracé l’historique de cet exercice 2018-2019 jalonné d’embûches de toutes sortes avec dés juillet 2018 une fuite massive des joueurs cadres, un désengagement de certains bénévoles et un changement de présidence, les coprésidents Viguès et Juignet, malgré des résultats sportifs négatifs ont pu en revanche s’enorgueillir d’avoir assaini les finances du club, d’avoir de nouveau rassemblé les nombreux dirigeants, d’avoir signé un partenariat avec le Clermont Foot 63 et de s’être mis en règle avec les nouveaux statuts de l’arbitrage.

Un club qui se structure

Ainsi, le club se restructure et va pouvoir dés la saison prochaine entamer une marche en avant. En effet, le projet sportif présenté par Sébastien Gramond, directeur sportif, validé par les élus du club ciel et blanc, a séduit de nombreux joueurs de niveau régional voulant s’impliquer pour certains auprès des jeunes de l’école de foot labellisée Elite depuis deux ans.

Le conseil d’administration

« Les licenciés du CSA ont beaucoup appris, faute d’avoir gagné » déclaraient les coprésidents à l’issue du rapport moral. L’ensemble des membres du comité directeur qui se présentaient ont été élus ou réélus à l’unanimité et le nouveau conseil d’administration a été établi comme suit : coprésidents : Cyril Viguès et Mathias Juignet ; secrétariat Carole Courbou, Patrick Serre et Maryline Gaillard ; Trésorerie : Claire Juignet, Christine Barrier, Pierre-Antoine Guittard, Fannie Arnoux et Chantal Lassagne, membre invité Serge Malzac.

Lire aussi : Cantal. Football : de grandes ambitions pour le Sporting Club Châtaigneraie

Reste à tous les licenciés d’atteindre les objectifs fixés qu’ils soient sportifs ou non, les élus du club, confiants en l’avenir devenu plus clair désormais s’y attacheront et pourront compter sur les nombreux dirigeants bénévoles du club qui sont à féliciter comme toujours.

Saint-Brieuc : une voiture fait plusieurs tonneaux sur la RN12, son conducteur entre la vie et la mort

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Les secours sont intervenus sur la RN 12 dans la nuit de dimanche 7 à lundi 8 juillet 2019

Les secours sont intervenus sur la RN 12 dans la nuit de dimanche 7 à lundi 8 juillet 2019 (©photo d’illustration Le Réveil Normand)

Les accidents se multiplient sur la RN12 : cette fois le drame est survenu en pleine nuit, vers minuit et demi lundi 8 juillet 2019, dans le sens Brest-Rennes, à hauteur de Coëtmieux (Côtes-d’Armor), entre Saint-Brieuc et Lamballe.

En état d’urgence absolue

Les pompiers ont été appelés vers 1h suite à la découverte d’une voiture immobilisée et détruite sur la voie de droite. Le conducteur, qui avait été éjecté, a été retrouvé à plusieurs dizaines de mètres.

Transporté à l’hôpital Yves Le Foll en état d’urgence absolue, rapporte Ouest-France, il s’agit d’un homme âgé de 62 ans.

Seine-et-Marne. Les pompiers tirent le signal d'alarme

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Les grévistes ont affiché leur mécontentement sur le fronton de leur caserne, comme à Provins où 100 % des pompiers étaient en grève en début de semaine dernière

Les grévistes ont affiché leur mécontentement sur le fronton de leur caserne, comme à Provins où 100 % des pompiers étaient en grève en début de semaine dernière

« C’est un mouvement qui a pour vocation de durer au moins jusqu’au 21 septembre, date de la grande manifestation inter-fonction publique qui aura lieu à Paris », explique Bruno Gibert, secrétaire général adjoint FO-SIS.

En grève depuis le 27 juin à l’initiative de sept syndicats, 60 % des sapeurs-pompiers professionnels non-officiers du département étaient mobilisés la semaine dernière pour protester contre la dégradation de leurs conditions de travail : « Beaucoup sont assignés pour assurer un service minimum, précise le syndicaliste. Les grévistes qui travaillent arborent donc un bandeau distinctif. »

Parmi les revendications des protestataires : la fin de la privatisation du service public, des suppressions de postes, ou encore l’augmentation de la prime de feu, fixée aujourd’hui à 19 % du régime de base, soit environ 300 € par mois pour un salaire de 2 000 € : « Nous demandons qu’elle soit fixée à 28 % pour avoir une équivalence avec les policiers, annonce Bruno Gibert. Nous sommes aussi inquiets par rapport à la réforme des retraites et au possible recul de l’âge légal de départ. »

« Des effectifs gelés depuis trois ans »

Aujourd’hui, un sapeur-pompier professionnel a en effet la possibilité de partir à la retraite à 57 ans, à condition de totaliser 17 ans de service et 27 ans dans la fonction publique : « En cas de recul à 64 ans comme l’envisagerait le Gouvernement, nous partirions à 59, voire 60 ans. Or, ce régime spécial n’est pas un cadeau, on surcôtise pour y avoir droit », rappelle le gréviste.

Enfin, les soldats du feu seine-et-marnais demandent la hausse de leurs effectifs : « Ils sont gelés depuis trois ans. Nous devrions compter 925 pompiers professionnels non-officiers en effectifs opérationnels contre, seulement 890 environ aujourd’hui, conclut Bruno Gibert. Une cinquantaine de recrutements est prévue cette année, mais ça ne compensera pas les 30 à 40 départs que nous connaissons annuellement. Nous demandons donc au moins 75 postes supplémentaires en 2020. »

Du côté de la direction du Service départemental d’incendie et de secours (Sdis), on se dit conscient du malaise : « Le Conseil d’administration est à pied d’œuvre pour apporter des réponses à ces problématiques, explique Isoline Millot, sa présidente. Je souscris à la volonté de la préfète de Seine-et-Marne de renforcer nos actions conjointes avec le Samu pour diminuer la pression opérationnelle du secours d’urgence aux personnes pour les sapeurs-pompiers. »

Quant aux effectifs : « Entre 2019 et 2020, ce sont plus d’une centaine de sapeurs-pompiers professionnels qui sont ou seront recrutés. Aujourd’hui, tous les postes sont pourvus et chaque départ sera remplacé dans les meilleurs délais. » De quoi éteindre l’incendie ?

M.B.

Val-d’Oise. Un enfant tombe du 1er étage à Argenteuil

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Les pompiers ont pris en charge la jeune victime après sa chute depuis la fenêtre de son appartement à Argenteuil (Val-d'Oise).

Les pompiers ont pris en charge la jeune victime après sa chute depuis la fenêtre de son appartement à Argenteuil (Val-d’Oise). (©Illustration Actu.fr )

Grosse frayeur à Argenteuil (Val-d’Oise). Dimanche 7 juillet, un enfant de 4 ans a été hospitalisé après être tombé depuis la fenêtre de l’appartement familial situé au premier étage. L’accident est survenu vers 13h30, rue du Poirier-Fourrier, dans le quartier du Val-d’Argenteuil.

Lire aussi : Val-d’Oise. Deux enfants de 2 ans et 18 mois hospitalisés après des chutes du 2e et du 1er étage à Cergy et L’Isle-Adam

Sur place, un habitant de l’immeuble explique aux policiers avoir vu l’enfant se pencher à l’une des fenêtres de son logement. Il lui a dit d’arrêter et de rentrer avant de pénétrer dans le hall. L’homme est alors alerté par un cri. L’enfant a basculé et est tombé.

Il a échappé à la vigilance de sa mère 

Prise en charge par les pompiers et le médecin du Samu, la jeune victime, qui présentait de légères contusions et se plaignait de maux de ventre, a été transportée à l’hôpital de Pontoise après avoir reçu les premiers soins sur place. Son pronostic vital n’est pas engagé.

Lire aussi : Val-d’Oise. Un enfant de 8 ans fait une chute d’une dizaine de mètres sur la Dalle d’Argenteuil

En état de choc, sa mère a également été hospitalisée. Cette dernière a confié que son enfant avait échappé à sa vigilance alors qu’elle rangeait des affaires dans sa chambre.

Teddy Riner revient en force à Montréal, cap sur les Jeux olympiques de Tokyo

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Teddy Riner montre sa médaille après sa victoire au Grand Prix de Montréal, le 7 juillet 2019.. (©AFP/MARTIN OUELLET-DIOTTE)

20 mois après son dernier combat et à un an des JO-2020 à Tokyo où il briguera un troisième sacre historique, le géant du judo mondial Teddy Riner est revenu en force dimanche 7 juillet 2019 en remportant le Grand Prix de Montréal.

Le Français, double champion olympique en titre des lourds, s’est imposé en finale sur le Japonais Hisayoshi Harasawa, et peut désormais mettre le cap sur la prochaine échéance olympique.

Lire aussi : Mondial 2019 : les Américaines dominent les Pays-Bas et s’offrent un 4e titre

« Je suis de retour ! »

« Je suis de retour ! », a lancé le Français après sa victoire en prolongation contre Harasawa, qu’il avait également battu en finale aux Jeux de Rio en 2016.

Je suis content du travail effectué. Je sais très bien qu’aujourd’hui, il y avait pas mal d’hésitations, pas mal de travail encore en suspens, mais l’essentiel c’était d’aller chercher cette médaille.

Pour son grand retour sur les tatamis, qu’il abordait sans « aucune crainte » mais avec toutefois quelques « appréhensions », le Français de 30 ans n’a pas tremblé et a remporté deux de ses quatre combats de la journée sur ippon, portant à 148 sa série vertigineuse de victoires consécutives depuis septembre 2010.

Bien que le tournoi de Montréal soit classé dans la deuxième catégorie du circuit mondial, il offrait un réel aperçu sur la forme du Français, qui avait repris l’entraînement en janvier.

« Pas beaucoup d’automatismes »

« Je ne suis pas encore mort! », a-t-il plaisanté, avant de revenir sur certaines faiblesses aux genoux, aux coudes et aux épaules: « Ca a tenu. Maintenant, il ne faut pas se le cacher, le poids des années, je le sens ».

Outre sa victoire en prolongation contre le Japonais, Riner a bataillé dur en demi-finale contre le Tchèque Lukas Krpalek, médaillé d’or aux JO-2016 de Rio dans la catégorie des -100 kg et actuel 2e mondial chez les lourds, la catégorie du Français. Offensif, le judoka de 28 ans a mis en difficulté Riner à plusieurs reprises et a finalement été vaincu au terme d’un âpre combat de six minutes.

« Je n’ai pas beaucoup d’automatismes, je n’ai pas eu mon judo que je connais, en dynamisme, mais voilà, l’essentiel c’est d’avoir rapporté cette médaille, c’est d’être allé au bout de soi-même », a observé le Tricolore.

Teddy Riner (en blanc) a battu le Japonais Hisayoshi Harasawa en finale du Grand Prix de Montréal, le 7 juillet 2019..

Teddy Riner (en blanc) a battu le Japonais Hisayoshi Harasawa en finale du Grand Prix de Montréal, le 7 juillet 2019.. (©AFP/MARTIN OUELLET-DIOTTE)

« Il faut qu’il retrouve un petit peu en vélocité, (qu’il soit) un peu plus vite sur ses relais, un petit peu plus vite dans ses déplacements, plus aérien, un petit peu plus précis, et surtout il faut qu’il ose un peu plus », a résumé son entraîneur Frank Chambily.

« Même s’il y a beaucoup de points négatifs, il y a quand même des points positifs à surligner », a relevé Riner.

La préparation avec mon staff a payé, parce que, même sans être à 100%, ça a suffi pour gagner.

Il participera à un autre tournoi au cours de l’été qui reste à déterminer, a déclaré Frank Chambily, sans toutefois confirmer sa venue aux Mondiaux de Tokyo, fin août.

Le double champion olympique en titre des lourds n’était plus apparu en compétition depuis novembre 2017 à Marrakech, théâtre de son dixième sacre mondial record (8 en +100 kg, 2 en toutes catégories).

Lire aussi : Euro 2019 : les Bleues corrigées en finale par l’Espagne

« Super content »

Riner s’était ensuite accordé une longue pause pour souffler, avant de reprendre sérieusement l’entraînement fin janvier. Jamais, depuis le début de sa carrière, il n’avait coupé aussi longtemps.

Revenu à l’entraînement début 2019 avec « quelques suppléments de bagage », selon les mots de Frank Chambily, Riner s’est délesté « de dix à quinze kilos » depuis.

Cette pause a « fait du bien, mais le travail pour perdre du poids, pour retrouver son niveau (était) encore plus difficile », a souligné Teddy Riner.

Donc du coup, je suis super content.

De retour à la compétition, il rêve maintenant d’un troisième titre olympique à Tokyo: « Il faut se laisser le temps, on a encore un an avant les Jeux, on donnera tout le jour J. »

Source : © 2019 AFP

Vélo et course à pied à Bayeux : les inscriptions pour la Course à la Bayeusaine sont ouvertes !

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En 2018, plus de 500 participants s'étaient pressés pour cette course. Combien seront-ils cette année ?

En 2018, plus de 500 participants s’étaient pressés pour cette course. Combien seront-ils cette année ? (©Frédéric Bourgeois/La Renaissance du Bessin)

Vous avez tout l’été pour préparer la Course à la Bayeusaine ! Elle revient pour sa 21e édition le dimanche 1er septembre 2019 dans les rues du Bessin. Chaque année, près de 300 participants se mobilisent pour cette course originale qui mêle course à pied et vélo. En 2018, ils étaient plus de 500 sur la ligne de départ.  

Les inscriptions sont d’ores et déjà ouvertes jusqu’au vendredi 30 août à midi. Pour les courses de 12 et 21 km, il suffit de cliquer ici

Lire aussi : 60 000 personnes aux 33e Médiévales de Bayeux : « une édition exceptionnelle »

Petite nouveauté cette année

Plusieurs parcours son proposés : 21 km, 12 km et la Marche de 7,4 km. L’objectif pour le coureur et le VTTiste de la même équipe, est de franchir la ligne d’arrivée en même temps. Attention cette année, les organisateurs ont élaboré les parcours dans le sens inverse du sens habituel ! 

Les différentes courses sont au profit de l’association de Bayeux, « Honorine, Lève-toi »

Pratique. Dimanche 1er septembre 2019. Départ du stade Maurice Laquerbe à Bayeux. Retraint des dossards à 8 heures. Premier départ à 9h30. Toutes les informations sont à retrouver sur le site officiel.


Saint-Nazaire : une motarde blessée sur la route des Bassins

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Les pompiers sont rapidement intervenus pour venir en aide à la victime

Les pompiers sont rapidement intervenus pour venir en aide à la victime (©L’Echo de la Presqu’île)

Une motarde d’une vingtaine d’années a été victime d’un accident de la route, ce lundi 8 juillet 2019 vers 9h30 à Saint-Nazaire (Loire-Atlantique), sur la route des Bassins, près du bassin de Guindreff.

Au guidon de son deux roues, la jeune femme qui arrivait de L’Immaculée a percuté un véhicule qui avait pilé devant elle pour laisser passer un joggeur qui s’engageait sur le passage piéton.

Touchée notamment à l’épaule, elle a été transportée par les services de secours à la cité sanitaire de Saint-Nazaire.

La circulation a été perturbée sur ce secteur pendant l’intervention des pompiers qui s’est terminée vers 10h10.

Autorisation de tuer le loup en Meurthe-et-Moselle : une pétition lancée pour le sauver

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L'Office national de la chasse et de la faune sauvage a identifié la présence d'un loup entre le Tarn et l'Hérault sur une photographie, jeudi 5 juillet 2018.

Le préfet de Meurthe-et-Moselle a autorisé le tir de prélèvement contre le loup, signant l’arrêt de mort de l’animal dans le département. (©Illustration/Adobe Stock)

Le loup solitaire de Meurthe-et-Moselle n’est plus tout seul. En tout cas, une partie de l’opinion publique est en train de se soulever contre la décision du préfet du département, qui a autorisé la semaine dernière le tir de prélèvement contre l’animal. Ce tir acte la mise à mort du seul loup qui vit sur ce territoire. Une pétition pour le sauver vient d’être lancée en ligne. 

Près de 8 000 signatures ont été récoltées sur le site MesOpinions.com. La pétition réclame la suspension de l’autorisation des tirs de prélèvement. 

Nous demandons de mettre fin à la politique des tirs et de faire appliquer une véritable protection du loup, de faire cesser la haine qui sévit autour du loup et de ses protecteurs, et de de favoriser un élevage responsable et compatible avec la conservation de la biodiversité. Aimer le loup n’est pas délaisser le berger !

Lire aussi : ENQUÊTE. Cohabiter avec le loup : mission impossible ?

« Le nombre d’attaques double d’années en années »

Dans une interview accordée à Lorraine Actu vendredi 6 juillet 2019, le préfet de Meurthe-et-Moselle, Eric Freysselinard, a défendu sa décision.

« Le nombre d’attaques double d’années en années. Tous les tests génétiques montrent que c’est un spécimen unique. Nous avons donc décidé de tuer ce loup », a-t-il expliqué. « Le loup est une espèce protégée et nous veillons qu’elle le reste en France. Mais dans certains cas particuliers nous devons procéder à des tirs de prélèvement », a ajouté le représentant de l’Etat. 

Des loups meurent régulièrement en France et cela ne provoque pas tant de polémiques. Nous continuerons à préserver le loup. Celui là par les dégâts qu’il provoque, l’hostilité qu’il suscite dans la population ne sert pas forcément la cause du loup. Je veux une situation plus pacifiée.

Un patou, chien de berger gardant son troupeau de moutons, un des moyens de lutte contre les attaques de loup.

Un patou, chien de berger gardant son troupeau de moutons, un des moyens de lutte contre les attaques de loup. (©illustration Adobe Stock)

Lire aussi : Meurthe-et-Moselle : tir autorisé pour abattre le seul loup du département

« L’heure est grave », pour les associations

L’annonce du préfet n’a pas vraiment satisfait les associations de défense des animaux et les écologistes. Selon un communiqué signé notamment par l’association ASPA Vosges

Le loup est une espèce protégée par la Convention de Berne (1979) et par la directive européenne relative à la conservation des habitats naturels.

Elles rappellent que ces « deux textes interdisent toute mise à mort intentionnelle du loup ».

Lire aussi : Autorisation de tuer le loup en Meurthe-et-Moselle : critiqué, le préfet se défend

Boucherie, charcuterie et traiteur, la Maison Récapé ouvre officiellement ses portes à Revel

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Etienne Thibault, Alain Chatillon, Max Récapé et Michel Rayssac lors de l'inauguration du nouveau site de la Maison Récapé.

Etienne Thibault, Alain Chatillon, Max Récapé et Michel Rayssac lors de l’inauguration du nouveau site de la Maison Récapé.

La Maison Récapé est une entreprise bien connue en Lauragais. Boucherie, charcuterie et traiteur de la marque sont installés dans les communes de Lanta, Saint-Orens, Quint-Fonsegrives, Drémil-Lafage ou Caraman… Les unités de découpe de viande et charcuteries étaient quant à elles installées à Lanta, alors que la cuisine centrale était à Verfeil. Mais c’était avant l’ambitieux projet de centralisation du Président-directeur-général (PDG), Michel Rayssac. Depuis le mois d’avril, l’ensemble des unités de production sont installées dans la zone de la Pomme à Revel.

L’occasion pour l’entreprise de lancer quelques invitations pour une inauguration le jeudi 27 juin 2019 avec une visite des lieux, en présence du sénateur de Haute-Garonne Alain Chatillon et du maire de Revel Etienne Thibault.

Lire aussi : À Revel, ce jeune éleveur a transformé la ferme familiale en exploitation high tech

De Lanta à Revel

À la suite de cette visite, le PDG a fait le point sur l’historique de la société :

Récapé, ce n’est pas de Revel… Ça a été inventé par Max Récapé qui est présent aujourd’hui… C’était le boucher de Lanta. Nous avons vécu plus de 45 ans avec un siège à Lanta. Aujourd’hui, j’ai l’honneur de dire qu’il est à Revel parce que la commune a voulu nous accueillir et c’est avec grand plaisir que l’on a pu venir… 

La Maison Récapé a donc créé ce nouveau site à partir de bâtiments existants. Le premier coup de pelle du nouveau site a eu lieu le 1er mars 2018. « Dans mes rêves, on devait ouvrir six mois après, j’ai dû attendre six mois de plus », plaisantait Michel Rayssac.

On a voulu garder notre image d’artisan tout en pouvant massifier un maximum de volume de façon à être plus compétitif mais aussi à garder nos produits et notre savoir-faire de façon totalement naturelle… On a une image qui est la remise directe aux consommateurs puisqu’on a nos magasins dans le Lauragais. On a d’ailleurs choisi Revel parce qu’on était dans le Lauragais.

La restauration collective à Revel

Depuis 2001, le boucher charcutier fait aussi de la restauration collective. En tout, la Maison Récapé disposait donc de trois unités de production : à Lanta, Verfeil et une plateforme logistique à Rouffiac. « Nos capacités de production étaient limites, expliquait Michel Rayssac. On avait besoin d’un outil qui nous permettrait de nous améliorer tout en gardant notre savoir-faire. »

Aujourd’hui, la Maison Récapé a acquis cinq agréments qui lui permettent de réunir l’ensemble de ses activités sur le site revélois. Le dernier agrément en date, la restauration collective, a été acquis le 19 avril. Depuis, l’ensemble des activités de la Maison Récapé est centralisé à Revel.

Lire aussi : À Revel, de nouveaux commerces vont voir le jour d’ici fin 2019 afin de dynamiser la ville

Une quinzaine d’embauches

La Maison Récapé a intégré l’activité de Jérôme Chaulet alimentaire (JCA), ainsi que son équipe, et a invité ses collaborateurs de Lanta, Verfeil et Rouffiac à rejoindre le site de Revel. « Ce qui n’a pas été facile car ça pouvait représenter 40 km du lieu de travail, et même plus loin par rapport à leur domicile, mais je crois que nous sommes à 95 % de personnes qui ont suivi… », se satisfaisait l’entrepreneur.

Le PDG prenait également un air réjoui quand il évoquait les embauches depuis que l’entreprise est dans la zone de la Pomme :

Sur le bassin d’emploi de Revel, nous sommes à peu près à 15 recrutements… 

Le moins d’intrants possible

Enfin, Michel Rayssac abordait la stratégie de production et les différents outils dont l’entreprise s’est munie pour ce faire :

L’objectif, c’est de pouvoir produire avec l’absence, le plus possible, d’intrants ; les molécules de synthèse qu’on met dans les produits afin d’améliorer le goût, la couleur… Ce qu’on fait dans la viande, l’idée, c’est aussi de le faire dans le légume, voire dans le fruit. L’objectif est de créer de vraies filières et encourager le fait qu’il y ait le moins possible d’intrants pour pouvoir manger sainement.

Vitré : deux voitures incendiées sur un parking samedi 6 juillet

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Les traces de l'incendie étaient encore nettement visibles sur place deux jours après les faits

Les traces de l’incendie étaient encore nettement visibles sur place deux jours après les faits (©Le Journal de Vitré)

Un incendie s’est déclaré tôt samedi 6 juillet sur un parking d’immeuble qui fait l’angle avec la rue Pierre Lemaître, à Vitré. Les pompiers étaient sur place vers 6h.

Une enquête en cours

Le feu s’est déclaré sur un véhicule stationné au pied de l’immeuble. Il a ensuite touché un véhicule voisin avant de se propager à la façade de l’immeuble.

Lire aussi : Vitré : un blessé dans un accident impliquant trois voitures, en centre-ville

D’après les premières constatations des pompiers et gendarmes, l’origine de l’incendie serait « délictuelle ».

L'une des voitures endommagées a été enlevée lundi 8 juillet

L’une des voitures endommagées a été enlevée lundi 8 juillet (©Le Journal de Vitré)

Les explications du capitaine de gendarmerie Gautron :

Au vu de l’état de la première voiture incendiée, on penche plutôt vers l’intervention d’une tierce personne mal intentionnée plutôt que vers un problème électrique ou de batterie. Une enquête est en cours pour étudier toutes les pistes : bêtise humaine, envie de dégrader, réglement de compte…

Lire aussi : Vitré : cambriolé en plein jour, il témoigne

Le capitaine Gautron confirme que ce genre d’événement est « très inhabituel » à Vitré.

Des fenêtres du local occupé au rez-de-chaussée par la Pharmacie du 70è sont endommagées. Les dégâts sont plus conséquents au premier étage au niveau des volets.

Les traces de l'incendie étaient encore nettement visibles sur place deux jours après les faits

Les traces de l’incendie étaient encore nettement visibles sur place deux jours après les faits (©Le Journal de Vitré)

Super Rugby. Le résumé vidéo de la victoire en finale des Crusaders face aux Jaguares

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Les Crusaders ont remporté leur troisième Super Rugby consécutif face aux Jaguares.

Les Crusaders de Codie Taylor ont remporté leur troisième Super Rugby consécutif face aux Jaguares. (©Capture écran YouTube All Blacks)

Pour la première finale de Super Rugby depuis la création de la franchise, les Jaguares n’auront jamais existé. Ce samedi 6 juillet, ils avaient rendez-vous avec leur histoire face au Crusaders à Christchurch, mais sont totalement passés à côté de leur finale.

Après une bonne entrée en matière et un premier quart d’heure bien maîtrisé par les Argentins, la machine néo-zélandaise s’est mise en route. Très vite, les Jaguares n’ont plus su où donner de la tête, jusqu’à un essai d’école du talonneur Codie Taylor, après une belle accélération de Sam Whitelock sur l’aile.

Les Crusaders en démonstration

Après cet essai, intervenu pendant un temps fort argentin, les coéquipiers de Joaquin Diaz vont maintenir leur pression sur les doubles tenants du titre. Sans réalisme, à l’image de Moroni qui commet un en-avant juste devant l’en-but, oubliant totalement son coéquipier à l’intérieur.

En seconde mi-temps, les Crusaders vont mettre définitivement la main sur le jeu, bien aidé par le 100 % au pied de Richie Mo’Unga, qui concrétise les temps forts de la franchise de Canterbury. Pris de vitesse et acculés dans leur moitié de terrain, les Jaguares se mettent à accumuler les fautes et creusent petit à petit un retard irrattrapable.

« Et de trois ! » 

Les Crusaders remportent le Super Rugby pour la troisième fois consécutive (19-3), leur dixième titre en 23 ans d’existence. Pour les Jaguares, la première finale ne restera pas dans les mémoires, les Argentins n’étant parvenus à faire jeu égal seulement pendant une demi-heure avant de sombrer sous les assauts néo-zélandais.

Fédérale 1. Pamiers recrute un Baby Black, champion du Super Rugby avec les Crusaders !

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Ereatara Enari (au centre), champion du monde U20 en 2017 avec les Baby Blacks, champion du Super Rugby avec les Crusaders cette saison, signe à Pamiers (Occitanie) en Fédérale 1.

Ereatara Enari (au centre), champion du monde U20 en 2017 avec les Baby Blacks, champion du Super Rugby avec les Crusaders cette saison, signe à Pamiers (Occitanie) en Fédérale 1. (©Icon Sport)

C’est un énorme coup qu’a réussi Pamiers (Occitanie). Le club, à peine promu en Fédérale 1, s’offre un Baby Black, qui plus est champion du Super Rugby avec les Crusaders ! Ereatara Enari, demi de mêlée de 22 ans, est champion du monde U20 en 2017. Il est même le vice-capitaine des jeunes néo-zélandais lors de ce trophée.

Blessé en début de saison, « Ere » Enari n’a joué que 4 matches dont un comme titulaire (un essai). Numéro trois dans l’esprit du coach, le jeune Baby Black a donc décidé de tenter sa chance en troisième division française

Le point d’orgue d’un recrutement colossal

Enari n’est pas le seul recrutement ahurissant de Pamiers. Le promu a décidé de faire un recrutement XXL pour pouvoir combattre dans l’arène de la Fédérale 1, en allant chercher des joueurs notamment dans le vivier du Castres Olympique, ou encore à Montauban. On fait le point. Infos transferts de La Dépêche.

Arrivées : Tekassala (Montauban), Marcelin (Rieumes), Turashvili (Colomiers), Panizzo (Carcassonne), Kemayou (Mazamet), Brody (Castanet), Capella (Castres), Boscus (Rodez), Campino (EAB XV), Ereatea (Crusaders).
Départs : Galy (Villefranche), Richard (Nouvelle-Zélande)

Athlétisme. Deux centièmes de retard sur le podium : cruel dénouement pour Romane Cruchon et Ana Egler

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Romane Cruchon échoue à deux petits centièmes de la médaille de bronze.

Romane Cruchon échoue à deux petits centièmes de la médaille de bronze. (©Aline Chatel / Sport à Caen)

Échouer une fois à deux centièmes de seconde du podium, c’est dur. Subir deux fois cette sanction avec deux athlètes d’un même club, c’est encore plus cruel. Romane Cruchon sur le 200 mètres et Ana Egler sur le 3000 mètres ont toutes les deux terminé à deux petits centièmes de la troisième aux championnats de France juniors disputés le week-end dernier à Angers. Quatrièmes de leur épreuve respective, les deux jeunes filles de l’Entente Athlétique Mondeville-Hérouville n’ont pu alimenter le compteur médailles de leur club, rentré bredouille de la compétition.

Ana Egler a bouclé le 3000 mètres en 9’49s10, à dix secondes de son record personnel. Romane Cruchon, qui avait remporté sa série en 24s27, a battu son record personnel en finale. Ses 24s24 n’ont donc pas suffi pour accrocher une breloque. 

Lire aussi : Athlétisme. Mondeville-Hérouville peut espérer des podiums aux championnats de France juniors

Flavie Renouard cinquième

L’autre chance de médaille mondevillaise a terminé à la cinquième place. Flavie Renouard a réalisé un chrono de 6’56s71 sur le 2000 mètres steeple, à un peu plus de quatre seconds du podium. Les trois Mondevillaises arrivaient avec le troisième temps au bilan français.

Déception pour Flavie Renouard et Ana Egler.

Déception pour Flavie Renouard et Ana Egler. (©Aline Chatel / Sport à Caen)

Pas de miracle pour celles et ceux qui partaient avec beaucoup moins d’ambition. Antoine Thoraval a été disqualifié sur sa série du 100 mètres. Carla Vincent (3m15 à la perche junior), Dorian Goupillot (4m05 à la perche cadet), Julien Morel (13m12 au lancer de poids cadet) et Léonie Boulent (1m63 à la hauteur cadette) ne se sont pas qualifiés pour la finale. Idem pour Aminata Jobe sur le 400 mètres haies (69s31). 

Pas plus de réussite pour les athlètes du Caen Athletic Club qui n’ont pas non plus passé le stade des qualifications. Lola Saliou a dû se contenter de 3m à la perche cadette, alors que Nathan Duval a passé 6m05 chez les garçons. Robin Halix (6m65 à la longueur junior) n’a pas non plus vu la finale, pas plus qu’Eugénie Barranco (2’22s15 au 800 mètres junior). 


Villeneuve-d'Ascq. Première saison culturelle de Marie Didier à la Rose des Vents

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Marie Didier, nouvelle directrice de la Rose des vents

Marie Didier, nouvelle directrice de la Rose des vents

« Il nous faut à présent imaginer un théâtre pour demain, nous tourner vers le futur, en célébrant les héritages, en respectant les mémoires, dans leurs pluralités, pour mieux embrasser la nouveauté », explique Marie Didier, qui arrive en 2019 à la direction de la Rose des Vents de Villeneuve-d’Ascq (Nord). Elle annonce qu’elle souhaite rester sur les fondamentaux de la maison marquée par la longue direction de Didier Thibaud. Zoom sur ce qui attend les spectateurs, pour la saison 2019-2020.

Lire aussi : Villeneuve-d’Ascq. Marie Didier succède à Didier Thibaud à la direction de la Rose des Vents

50 % des spectacles étrangers

Dans cette nouvelle programmation, on verra du théâtre et de la danse bien sûr, mais aussi les arts de cirque et la musique. Près de 50 % des spectacles sont des productions étrangères, souvent centrées sur la vision que les artistes ont de l’état du monde).

Et la création sera présente, notamment avec 3 artistes associés : Thiphaine Ratier après sa formation et son compagnonnage au Théâtre du Nord, Aliénor Bouchez et son théâtre musical, et Éric Arnal-Burtschy qui entreprendra une nouvelle exploration sociologique de la ville de Villeneuve-d’Ascq.

Le nouveau Next

Le festival Next sera présent à l’automne (10 spectacles à la rose des vents). Comme prévu, le festival du théâtre-objet ne connaîtra pas de quatrième édition mais laissera place à un nouveau festival. Dire, consacré à la production littéraire, prendra le relais en février. Il y aura des lectures, des spectacles, des performances, des ateliers d’écriture. On y annonce de grandes voix : Virginie Despentes, Beatrice Dalle, Lydie Salvayre. Et on pourra découvrir les coins et les recoins de l’équipement qui seront chacun utilisés pendant cette période.

Autre innovation, le théâtre participatif : pour six des prochains spectacles, on recherche des comédiens ou des figurants ou des musiciens amateurs qui seront partie prenante de la mise en scène.

Lire aussi : Le Next festival cherche 70 artistes pour participer au spectacle d’ouverture 2019

Aller à la découverte

Comment se repérer à travers les 42 spectacles proposés ? Il n’y a plus de spectacle réservé au jeune public : tout le monde peut tout voir, même si, pour chaque spectacle un âge minimum est conseillé. Pour le reste, il faut aller à la découverte, faute de pouvoir s’appuyer sur des œuvres connues.

Comme le disait un spectateur tournant les pages du programme de la saison 2019-2020 ‘quand je constate que je connais très peu de textes et encore moins de metteurs en scène, je me dis que je vais avoir de vraies découvertes.’

Jean-Michel Stievenard

Bon à savoir
La campagne d’abonnements est ouverte (2 727 lors de la saison dernière) en ligne, sur le site officiel de la Rose des Vents.

Rixe à Montpellier : un jeune SDF blessé, l'agresseur est en fuite

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Les pompiers et un infirmier au chevet du SDF blessé hier soir.

Les pompiers et un infirmier au chevet du SDF blessé hier soir. (©JMA. Métropolitain)

Grosse effervescence dimanche vers 23h15, sur la place de la Comédie, à Montpellier, où il y avait une forte affluence de Montpelliérains et de vacanciers : ils ont assisté à une dispute, suivie d’une bagarre entre deux piétons.

L’un d’eux, un SDF de 22 ans, a reçu des coups à la tête, probablement portés avec une arme, dont la nature est indéterminée, et s’est retrouvé allongé au sol, perdant beaucoup de sang. Le jeune SDF qui était conscient présentait des plaies au crâne, au nez et à la bouche.

Un pompier hors service

Un sapeur-pompier hors service qui se trouvait sur l’artère a prodigué les premiers soins d’urgence, jusqu’à l’arrivée de ses collègues, avec une ambulance et un infirmier du Sdis 34.

Le blessé a été transporté aux urgences du CHU Lapeyronie. Les policiers de la Sécurité publique du commissariat central sont intervenus, alors que le SDF, déjà connu de la justice d’ici pour divers délits et pour être un toxicomane et un alcoolique notoire, était soigné dans l’ambulance : il a déclaré ne pas vouloir déposer plainte dans l’immédiat.

Une querelle entre SDF ?

Selon les nombreux témoins de ces violences volontaires, l’agresseur a pris la fuite en direction de la rue Victor Hugo. Il pourrait s’agir également d’un SDF connu pour squatter les rues du centre-ville de Montpellier autour de la Comédie.

Une querelle entre ces sans abri n’est pas exclue par les policiers, qui, même sans dépôt de plainte de la victime ont déclenché une enquête, supervisée par le parquet de Montpellier. L’agresseur est recherché.

Les policiers de la Sécurité publique et de la municipale sont régulièrement appelés par des passants, des cafetiers, des restaurateurs et autres commerçants de l’Écusson pour se plaindre d’incidents entre les groupes de SDF, accompagnés de chiens.

Pompiers et policiers sur place hier soir.

Pompiers et policiers sur place hier soir. (©JMA. Métropolitain.)

Les policiers de la Sécurité publique sont intervenus hier soir sur la Comédie.

Les policiers de la Sécurité publique sont intervenus hier soir sur la Comédie. (©JMA. Métropolitain)

Après l'incendie de Notre-Dame, les pompiers de Paris reconnus citoyens d'honneur de la ville

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500 pompiers ont été mobilisés pour éteindre l'incendie de Notre-Dame de Paris, en avril 2019. Lundi 8 juillet, ils ont été reconnus citoyens d'honneur de la Ville de Paris.

500 pompiers ont été mobilisés pour éteindre l’incendie de Notre-Dame de Paris, en avril 2019. Lundi 8 juillet, ils ont été reconnus citoyens d’honneur de la Ville de Paris. (©SL / actu Paris)

Tous les bras se sont levés à l’unisson, lundi 8 juillet 2019 dans la salle du Conseil de Paris, afin de voter l’octroi de la citoyenneté d’honneur de la Ville de Paris à la Brigade des sapeurs-pompiers de Paris. Cette distinction, qui fait suite à leur engagement lors de l’incendie de Notre-Dame en avril dernier, est accompagnée d’une « prime de mobilisation exceptionnelle » pour ces militaires.

Lire aussi : Incendie d’un appartement à Paris : un corps découvert dans les décombres

Six pompiers morts en opération depuis 2014

« C’est une belle unanimité », a salué la maire (PS) de Paris, Anne Hidalgo, à l’issue des prises de paroles des différents groupes au sujet de la délibération proposée en ouverture du conseil de Paris. Il s’est agi, comme l’avait annoncé la maire lors de l’hommage rendu aux pompiers le 18 avril dernier, de faire de la brigade et de ses pompiers des citoyens d’honneur de la Ville. 

« On se demanderait presque pourquoi il a fallu attendre l’incendie de Notre-Dame pour élever ce corps d’élite au rang de citoyen d’honneur », a soulevé David Belliard, à la tête du groupe écolo de Paris.

Dans leurs prises de parole, les conseillers ont énuméré les risques pris et tributs payés par les pompiers de Paris. « Les noms des six sapeurs-pompiers morts depuis 2014 sont lus chaque lundi matin dans vos casernes », a relevé Pierre-Yves Bournazel (100% Paris). Les deux derniers – Simon Cartanaz et Nathanaël Josselin – sont décédés en janvier, dans une explosion rue de Trévise (9e).

Lire aussi : Vidéo. Seine-Saint-Denis : cinq membres d’une même famille sauvés des flammes à Bobigny

Une aide financière pour des pompiers « sur-sollicités »

Avec ce rappel, les élus ont aussi rappelé les difficultés vécues au quotidien par les pompiers « sur-sollicités », comme le dénonçait leur général, Jean-Claude Gallet, présent en tribune. Chaque élu y est allé de son chiffre : 1 500 interventions par jour, 3 120 heures par an pour 1 700 euros mensuels, un renouvellement des premiers contrats de 53% aujourd’hui contre 87% en 2017, 520 000 interventions dans une brigade dimensionnée pour en réaliser 450 000 avec une intervention sur cinq qui ne nécessite aucun geste de secours… 

Lire aussi : 19 millions d’appels dont un tiers abusifs ou inutiles : les pompiers saturent

Pour répondre à cette augmentation des interventions, la Ville de Paris a aussi voté « un effort budgétaire de 2,8 millions d’euros », afin de soutenir « le plan de fidélisation et de modernisation de la brigade », a expliqué Anne Hidalgo. Ce montant inclura une aide pour l’implantation des pompiers en Île-de-France et une « prime exceptionnelle de mobilisation » que toucheront les 8500 pompiers parisiens actifs dans 124 communes de Paris, des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne.

Val-d'Oise. Il percute un policier après un rodéo à moto à Argenteuil

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La patrouille de police avait repéré l'individu en plein rodéo à moto dans les rues d'Argenteuil (Val-d'Oise).

La patrouille de police avait repéré l’individu en plein rodéo à moto dans les rues d’Argenteuil (Val-d’Oise). (©Illustration T.H.)

Sur sa moto, l’individu roule à vive allure et réalise des figures acrobatiques dangereuses. Vendredi 5 juillet, il est 21h40 lorsqu’une patrouille repère un jeune homme en plein rodéo rue du Docteur Pierre-Rouques, dans le quartier d’Orgemont, à Argenteuil (Val-d’Oise).

Le fou du guidon, lui, n’a pas remarqué les policiers qui s’approchent. Tandis qu’il s’est arrêté pour discuter avec des copains, les fonctionnaires tentent de le coincer pour le contrôler. Mais au moment où ils interviennent, l’individu redémarre et percute un des membres des forces de l’ordre.

Lire aussi : Val-d’Oise. Il percute un policier au guidon de son scooter à Sarcelles

Les deux hommes chutent, le conducteur de la moto réussissant à se relever et à prendre la fuite. Pas pour longtemps.

Le policier souffre de deux entorses 

Le jeune homme de 18 ans sera interpellé une dizaine de minutes plus tard devant son domicile, rue de Béthune, à Épinay-sur-Seine (Seine-Saint-Denis). Il a été placé en garde à vue.

Quant au policier renversé, il a été conduit à l’hôpital d’Argenteuil. L’homme de 25 ans souffre de deux entorses, l’une au genou gauche, l’autre au poignet droit. Il s’est vu prescrire trois jours d’Itt.

Rugby à XIII : Vianney Morin pré-selectionné pour une tournée en Nouvelle-Zélande avec l'équipe de France U19

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Joueur de La Réole Gironde), Vianney Morin a déjà porté le maillot de l équipe de France U16 de rugby à 13, face à lAngleterre.

Joueur de La Réole (Gironde), Vianney Morin a déjà porté le maillot de l’équipe de France U16 de rugby à XII, face à l’Angleterre. (©Photo Archives – Le Républicain)

Il fait partie des 35 candidats qui pourraient participer à une tournée historique aux côtés de l’équipe de France. Vianney Morin, joueur de La Réole XIII (Gironde), fait partie de la pré-selection de Florian Chautard, manager de l’équipe de France U19 de rugby à XIII, en vue d’une tournée en Nouvelle-Zélande

Le jeune Réolais va ainsi participer aux stages préparatoires à Port-Barcarès, avec l’espoir d’être dans la sélection des 24 qui prendra l’avion pour cette première dans l’histoire des U19 de l’équipe de France de rugby à 13. 

Lire aussi : Les fils du Poteau, l’équipe de rugby à 5 de Captieux, qualifiée pour le championnat de France

Il faudra gagner sa place

Cinq jours de stage et une rencontre, c’est ce qui va permettre au manager Florian Chautard d’affiner sa liste.

Vianney Morin, qui déjà porté le maillot tricolore contre l’Angleterre, devra gagner sa place à Port-Barcarès, en Occitanie, où se dérouleront les stages préparatoires les 30, 31 août et 1er septembre ainsi que les 9 et 10 septembre. 

Ces cinq jours intenses seront clôturés par un match, le 15 septembre, face à une sélection de joueurs d’Elite 2 ou de Fédérale, et par l’annonce de la sélection officielle, qui passera de 35 à 24 joueurs. 

La liste des 35 pré-sélectionnés pour la préparation dune tournée historique en Nouvelle-Zélande.

La liste des 35 pré-sélectionnés pour la préparation d’une tournée historique en Nouvelle-Zélande. (©FFR 13)

Une tournée historique en Nouvelle-Zélande

Pour les heureux élus, la tâche ne sera pas aisée. Bien au contraire, l’équipe de France va se frotter à de gros poissons, du 27  septembre au 6 octobre. Au programme, quatre matchs à disputer face à South Island U19 (27 septembre), Toa Samoa U19 (30 septembre), NZ Residents U19 (3 octobre) et Auckland U20 (6 octobre), avec un rythme effréné d’un match tous les trois jours.

Lire aussi : Mercato. Girondins de Bordeaux : le transfert de Jules Koundé vers Séville officialisé

Sur le site de la Fédération Française de Rugby à XIII, Mathieu Khedimi, vice-président en charge du Haut Niveau, explique l’importance de cette tournée, qui permettra de tester la capacité d’adaptation des jeunes français mais aussi leur mental : 

Ces quatre matchs sont destinés à aguerrir les meilleurs jeunes français, dans l’optique de la Coupe du monde seniors 2021. Dans un contexte différent de celui auquel ils sont habitués, sur la scène internationale européenne, les joueurs seront appelés à réagir dans le dur, sans plage d’entraînement entre les rencontres

Récupération et mise en place tactique de l’équipe seront au programme des deux entraîneurs Jean-François Albert et Yannick Butignol, compte-tenu de ce calendrier resserré.

De son côté, Vianney Morin fait sans doute la fierté de La Réole XIII avec cette pré-sélection qui prouve qu’il n’est pas obligatoire d’être dans un grand club du rugby à XIII pour intégrer l’équipe de France U19.

 

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